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Roy Batty
160 abonnés
215 critiques
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2,5
Publiée le 17 mars 2024
"The Substitute" est un film bien bourrin, qui aborde le thème de la violence juvénile au lycée, comme pas mal d'autres films avant et après lui ("Graine de violence", "Le Proviseur", "Esprits rebelles"...). Ce n'est ni le meilleur, ni le pire film du genre. Tom Berenger s'en sort bien, mais les jeunes acteurs incarnant les lycéens à problème (dont un certain Marc Anthony, meilleur chanteur qu'acteur, loin s'en faut) sont très stéréotypés.
Là où Esprits Rebelles ou Le Proviseur restaient mesurés (encore que), The Substitute est si excessif qu'il en devient proprement ridicule du début à la fin. On connaît le topo. Un lycée, ou en tout cas l'équivalent des lycées aux États-Unis, gangréné par des racailles et du trafic de drogue. On ne sait pas trop ce que ces racailles viennent faire là. Elle n'étudient pas. N'ont pas envie de le faire. Mais elles sont là pour empêcher les autres de s'en sortir. Tom Berenger aurait là une raison toute trouvée d'être furax. Mais Tom Berenger est un mercenaire et il n'a qu'une seule obsession : rejouer avec ses copains dans cet établissement scolaire la guerre du Vietnam. Son cours (d'histoire ?) traite essentiellement de ce conflit et de ses débuts comme mercenaire. C'est sûr que parler de morts, d'actes de bravoure, de gros flingues, ça les fascine ces jeunes dont Scarface est le film de chevet. C'est un peu leur quotidien. Le quotidien, c'est aussi la drogue planquée dans le lycée, un proviseur corrompu, ancien flic et de mèche avec ses anciens collègues. Berenger transformera l'enceinte en véritable champ de bataille. Il n'y a plus de bibliothèque mais une zone de guerre. Plus de jeunes étudiants mais du trafiquant de drogue en puissance dont la seule issue sera la mort. Plus de cahiers, de livres ou de classeurs mais des flingues. Bizarre de voir ça en 1996 bien que le film a l'air de dater de 1986 ou alors ça venait de mon DVD mais j'en doute. Et après, on dit que les profs français sont les rois du chahut.
Une série B d'action qui a vieilli mais reste efficace grace au numéro de Tom Berenger qui pour une fois n'est pas mauvais et une histoire invraisemblable sauvée par des scènes d'action bien foutues qui maintiennent l'interet jusqu'à la fin. Un bon divertissement sans se prendre la tete.
The Substitute est une série B musclée typique des 80's/90's où l'on ne s'embarrasse pas trop de psychologie pour privilégier l'action et les tartes dans la tronche. Tom Berenger y est fidèle à lui même lui qui a la gueule et les épaules pour assurer dans ce type de rôles. Le scénario quant à lui est sympathique et le fait de dérouiller des petites frappes au lycée est assez jubilatoire. Il y a aussi une dimension sociale intéressante notamment dans la 1ere partie qui s'évapore vite dans la seconde pour laisser place aux affrontements et gunfights en pagaille. C'est efficace, un rien longuet, pas mal joué et ça a acquis son petit statut culte. Il y aura également 3 suites avec Treat Williams un peu en dessous. C'est totalement à l'ancienne et ça défoule.
Surprise de Noël. Bah oui je sais m'en faire mdr. Je me suis dit , soit ça sera The Family Man, soit The Holiday ... Et voilà que je tombe sur Netflix, sur The Substitute
Se faisant passer pour un professeur suppléant, un mercenaire va nettoyer un lycée de Miami de tous les trafiquants de drogue qui y font la loi.
Scénario on ne peut plus simple. Casting d'époque, HILARANT. Bruitages tout aussi drôle. Et je ne parle pas de la VF. Bref, je découvre une saga qui se compose de 4 films, mais j'éviterai de regarder les autres , trop de bonheur d'un coup, ça peut heurter les cœurs fragiles . Et Joyeux Noël
The Substitute c'est la meilleure réponse que l'Amérique peut apporter au problème de ses sauvageons à savoir un mercenaire vétéran du Viêt Nam qui va les ramener dans le droit chemin avec des cours d'histoire essentiellement basés sur les bonnes raisons qu'il y avait à tuer des Viet Congs et pour les récalcitrants qui préfèrent le trafic de drogue au jeu de la marelle dans la cour il va les ramener dans la jungle à grand coup de poing dans la gueule et de quelques prises de self défense. C'est donc un film d'action bien bas du front, mais bien fait avec quelques "gueules", suffisamment de n'importe quoi pour que cela soit amusant comme le personnage du collègue mercenaire de Tom Beranger que l'on pourrait qualifier de soupe au lait. Bref un divertissement tout droit sorti de la période vidéo club qu'il faut prendre au second troisième voir plus pour passer finalement un bon moment.
Un mercenaire qui remplace sa petite amie professeur dans un lycée qui a été tabassée et doit rester chez elle, la rotule cassée. Au départ, on se dit qu'il va s'agir d'ados turbulents qui n'en ont rien à faire des cours et font la loi en classe. L'idée c'est que ce mercenaire va botter les fesses de ces gamins, leur donner une leçon pour les ramener dans le droit chemin. Sauf que cela ne se situe pas du tout à ce niveau là. On enchaîne sur du plus gros calibre et l'action va se faire bien plus violente. Pour ma part, la première partie me semblait presque plausible alors que la seconde dégénère trop à l'américaine pour y adhérer.
Un premier épisode d'une franchise qui a mal vieilli, j'entre dans un style comme "esprit rebelle" qui montrait également une classe gangrèné par la drogue, et je fini dans un film d'action violent. Tom Berenger est très bon en instit redresseur de tord. Même si il ne révolutionne pas le genre, Robert Mandel nous film avec un réalisme qui prend aux tripes. Le twist est cependant assez tôt découvert et gâche un peu le plaisir. J'ai retrouvé un Ernie Hudson en contre emploi. Je me suis cru un moment dans un épisode de 21 jump street. Assez convenue mais distrayant !
Certes ce film a très mal vieilli mais il est sympa à regarder. Une histoire banale mais plutôt efficace. C'est assez drôle par moment. Ce n'est pas un chef-d'œuvre loin de là mais il se laisse bien regarder.
L'action et les personnages sont sympathiques comme une production des années 80, bien que pas majeure lors de sa mise en chantier en 96. Le Proviseur près de 10 ans auparavant, en 87, chauffait déjà les bancs du collège et James Beluchi mois missionnaire nous apportait plus de nuance. Pourtant ici, on retrouve la simplicité des actionneurs de l'époque et un Berenger en forme. Notons la première apparition de Maurice Compte qui reçoit admirablement la première cannette cinématographie.
Après avoir été oscarisé pour son rôle dans " Platoon " Tom Bérenger à sombré dans les films de seconde zone ( hormis dans " Gettysburg". Jamais sa carrière n' a decollé. The substitute est un produit de la Schoolexploitation , genre qui a éclot du milieu des années 90 au début du présent millénaire. Esprit critique, mettez-vous au repos : la connerie c est la décontraction de l' intelligence. Et l' on se détend bien avec cette pellicule ! Une séquence parmi d ' autres : un lycée ,situé en pleine agglomération à forte densité humaine, qui se transforme en champ de bataille pour mercenaires et ce , sans que la police ne montre le bout de son nez ! Et deux compères qui quiitent le lycée en ruine , tranquillement au petit matin , en devisant sur leurs futurs missions ... Voilà, vous êtes avertis !