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Malevolent Reviews
986 abonnés
3 207 critiques
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2,5
Publiée le 1 juillet 2013
Après le succès-surprise de La Malédiction, une suite quasi-obligatoire est immédiatement mise en route mais demeure tout de même décevante. L'histoire suit bien les précédentes péripéties des Thorn mais le film souffre de plusieurs longueurs et force est d'admettre que les scènes de meurtres ont quand même mal vieillies. Restent heureusement une assez bonne interprétation d'époque, un scénario plutôt solide et une musique envoutante, le tout sous la direction d'un Don Taylor bien inspiré. On a vu mieux comme suite d'œuvre culte, mais on a également vu pire ; contentons-nous du peu donc...
un scénario intelligent, une réalisation bien meilleure que celle du 1, un casting impeccable, de la profondeur, une musique prenante...un classique, quoi.
Nettement moins réussi que son prédécesseur, cette suite de la Malédiction laisse de côté la réalisation classieuse du premier volet pour aller s'enfermer dans le genre alors à la mode du slasher. Le grand guignol de certaines scènes auraient pu faire virer le film dans le n'importe quoi le plus total, heureusement, le scénario préfère s'appuyer sur l'évolution du personnage de Damien et du microcosme qui gravite autour de lui.
Cette suite de "La malédiction" est beaucoup mieux que le premier opus. Avec des scènes à coupée le souffle. L'acteur qui incarne "Damien" est diaboliquement FOR-MI-DABLE.
Une chose est sûr on sait sur quel trilogie la saga destination finale a puisai son inspiration. Ceci étant dit cet épisode déçoit énormément comparé à l'original, d'abord par sa linéarité, le déroulement de l'intrigue et par des acteurs bien moins convaincant que dans le précédent opus! Une suite décevante mais dans la continuité.
J'ai autant adoré que le premier volet ! Je dirais même que je préfère légèrement celui-ci, avec un Damien plus maléfique que jamais. La mise en scène est toujours aussi maitrisée, et le scénario est assez bon et travaillé, pas autant que pour le 1, mais c'est pas non plus du travail baclé. Quand aux acteurs, ils sont efficaces, mais celui qui interprète Damien est vraiment remarquable ! La bande Originale est beaucoup plus efficace que dans le premier chapitre ! Bref, si vous avez vu le 1 et que vous l'avez apprécié, cette suite est vraiment indispensable !
A la fin du premier épisode, malgré son sourire maléfique, on pouvait sérieusement se demander comment l'Antéchrist en personne allait asseoir sa domination sur le monde, bloqué qu'il était dans le coprs d'un marmot de cinq ans, qui plus est du genre chétif à se prendre des tartes à répétition dans la gueule à chaque récré par des mômes moins démoniaques mais plus costauds. Et bien rien, justement. Il mit ses penchants destructeurs en veilleuse pour vivre une enfance classique, trop occupé à passer par les affres que sont les oreillons, la coqueluche, le pipi au lit, l'Oedipe et autres délices. Ensuite, arrivé à l'âge de la puberté, ça le reprend et là, au lieu de commencer à se gratter les couilles en buvant de la bière tout en écoutant Metallica, il commence à empiler les cadavres en claquant des doigts. Une infernale perte de temps que ce navet, aussi douloureuse qu'un des cercles de l'enfer de Dante sans doute. Y a eu erreur de casting, l'Antéchrist, c'est pas le môme, c'est le producteur!
Une suite sans grande saveur du classique de 1976. On retiendra les musiques et le jeune comédien qui campe Damien avec la tête de l'emploi. À part ça, beaucoup de blabla, des scènes inutiles et interminables et un budget probablement dérisoire au vu des effets spéciaux ... En outre, il y a peu voire pas de frayeur et on passe le plus clair de notre temps à s'ennuyer, ou à sourire c'est selon. À oublier.
Dans la lignée du 1er, ce second volet manque de rythme, et sa réalisation est plus terne. Malgré tout, La malédiction 2 rempli son contrat et nous amène directement sur le 3eme volet. Plutôt un film de transition de bonnes factures.
On est descendu d'un cran, niveau effroi et ambiance horrifique : ici, le Mal, c'est une satanée corneille qui pourchasse la tête des gens. Damien - La Malédiction 2 aurait pu s'arrêter avec l'achat d'un casque de moto (la corneille peut picorer, si ça l'amuse), heureusement que les autres "accidents" (pas très impressionnants) sont là pour pimenter un peu l'ambiance horrifique (vraiment très loin de celle du premier film). Une plaque de glace qui cède, un spoiler: AVC du petit cousin (?... On ne comprend rien à ce que joue le gamin, alors on va tenter d'y voir un spoiler: AVC ), et d'autres malheurs qui arrivent partout où Damien passe (quel beau cadeau pour son oncle et sa tante). Vous l'aurez compris, on ne sauve pas grand chose de cette suite qui surfe complètement sur le succès du premier film, sans atteindre une once de l'ambiance malsaine qu'il possédait (et ne joue plus vraiment avec l'aspect moral de s'en prendre à un petit garçon possédé, comme l'acteur a vieilli entre les deux films), se contentant d'une vague d'accidents peu impressionnants, et dont le meilleur acteur reste toujours la corneille. On a surtout pensé au très récent film parodique "Little Evil" qui se moque du premier opus (et le fait assez bien : on a rigolé quelques fois, et on vous le recommande), puisqu'il est la suite (aussi bas du front soit-elle) que méritait La Malédiction, en lieu et place de celle-ci qui est d'une mollesse absolue, et pense déjà à d'autres suites... Oh, pitié, achetez-vous un casque.
Après un premier volet honnête, qui m'avait laissé un souvenir plutôt agréable sans toutefois être la sensation de l'année, réalisé par Richard Donner, le second opus de la trilogie "La malédiction", un film d'épouvante qui s'avère relativement efficace et prenant surtout dans sa dernière partie en dépit d'une mise en scène qui a immanquablement pris un sérieux coup de vieux et d'un scénario assez brouillon et confus. Quelques passages qui fonctionnent encore relativement bien, une atmosphère oppressante, insidieuse qui rappelle les classiques psychologiques du genre comme "Rosemary's baby" par exemple. Un casting de classe avec des acteurs de l'acabit de William Holden ou Lance Henriksen pour un ensemble divertissant sans plus.