Les Bad Boys vous manquait, vous vouliez les revoir?...Non? Ben tant pis car ils reviennent quand même. Déjà que le premier volet ne brillait pas beaucoup par ses qualités scénaristiques ou le jeu des acteurs, il passe presque pour une référence comparé à ce nouvel opus. Fraichement sorti et apparemment irrité de la réception de Pearl Harbor, lui ayant rapporté railleries et insultes au lieu de la respectabilité tant fantasmée, Michael Bay a décidé de se lâcher. Et pas qu'un peu. Bruckheimer a apparemment donné carte blanche à son poulain. Pour faire quoi? Le Buddy-movie ultime? Non, on dirait plutôt l'inverse quand on voit l'ardeur que Bay a employé dans le but de flinguer le genre. Pas la peine de détailler les différents points, l'ensemble est du même acabit, c'est à dire une catastrophe. Le scénario tient à peine sur un ticket de métro. En résumé: Mike (Smith) sort en secret avec Syd, la soeur de son coéquipier Marcus(Lawrence), et ils essaient d'arrêter un méchant baron de la drogue. Bim Bam Boum, vannes censées être drôles...et le pire, c'est que ça s'étale sur deux heures et demie! Autant dire une épreuve de force qui pourrait même amener à reconsidérer les Direct-to-DVD de Van Damme, Seagal et consorts...Les acteurs font aussi partie de la fête, si l'on peut dire: Smith n'a jamais été si insignifiant. Martin Lawrence semble motivé à lui discuter ce titre, et je dois admettre qu'il est encore pire. Le reste ne va rien arranger. Tout le reste de la distribution est du même niveau. Au milieu de cette désolation, y-a t-il quelque chose à sauver? Oui, la course poursuite, très bonne. Malheureusement, elle ne représente que 10 minutes de presque bonheur (à peine parasitées par les cris hystériques de Martin Lawrence) sur deux heures et demie propres à déclencher des envies suicidaires. Si la nullité cinématographique était une discipline olympique, ce film (ainsi que Pearl Harbor, du même "auteur") est en pôle position pour la médaille d'or. Et d'offrir à Michael Bay un nouveau dan à sa ceinture de réalisateur de nanars.
Un film policier qui ne brille pas par son scénario. Toutefois on y trouve un peu d'humour et d'action qui nous permettent de regarder ce film sans trop de mécontentement.
Bad boys 2 est pour moi un bon film que j'adore revoir. J'adore ses scènes d'actions que je trouve loin d'etre mal faites, j'apprécie beaucoup le jeu des acteurs principaux et les pointes d'humour qui sont présents tout au long du film. Le scénario est pas mal ; mais pour etre honnete sans plus car il n'y a pas vraiment de rebondissements, on peut prévoir assez facilement ce qui va se passer tout au long du film. Nos deux héros ne se battent pas tout seul et ca c'est un plus(car dans le trois quart des films, les héros a eux seul font tous le boulot et se font pas aider). C'est donc un film a voir sans modération.
du grand spectacle ,surtout pour la poursuite sur l'autoroute et ouf!!!!y'a pas tea leoni!!!rien que pour ca ca merite 4 etoiles!!ca se regardesans avoir a supporter ses cris toutes les 2 secondes et son jeu d'actrice digne de twilight .
Alors que le premier opus posait les bases et manquait cruellement de rythme, ce second opus part au contraire dans tous les sens et représente bien la signature d'un Michael Bay. Le scénario intègre quelques éléments nouveaux intéressants, notamment le fait que spoiler: Marcus apprend que sa soeur sort avec Mike et que celle-ci est membre de la brigade des stups. Mais on sent bien que tout a été renforcé autour du duo qui ont beaucoup plus de scènes décalées et de comique de situation, spoiler: la scène de la prise d'ecstasy est vraiment drôle, et Martin Lawrence apparait beaucoup plus libéré dans cet opus que le premier. L'alchimie est vraiment palpable entre lui et Will Smith et ça renforce la mécanique comique des 2 personnages. Au-delà de cela, tout est beaucoup plus spectaculaire, les scènes de cascades et de poursuites sont de grande envergure et poussées à l'extrême, cette descente en bagnole détruisant les maisonnettes une à une en fin de film était tellement tiré en longueur que ça en était drôle et la destruction de la résidence de Tapia était tellement overacting. Du pur Michael Bay en puissance. Il faut dire qu'il avait de quoi faire joujou, le budget de ce 2ème opus s'élevant à 175 millions $ contre seulement 20 millions $ pour le 1er. Pourquoi s'en priver. Pour ne pas se prendre la tête, et admirer le duo à l'oeuvre fonctionner à merveille, ça fait le job. Cela reste un pur divertissement, mais avec un meilleur scénario le film aurait pu s'élever beaucoup plus haut.
8 ans après le 1er on garde la même recette mais avec un budget en nette hausse. Cette fois l'image et le son sont au top, et ça explose dans tous les sens. Et comme on apprécié toujours notre duo, c'est un top divertissement.
Michael Bay signe un deuxième volet sans temps mort, plus jouissif et plus rythmé dans les scènes d'action que ne le faisait le film précédent. Décors somptueux, cascades explosives à la pelle et le casting est au top du top. Le scénario est aussi simple que ridicule nous faisant décrocher notre attention au bout d'heure, ce film d'action pure réussi sa mission : divertir et se regarde avec un petit plaisir coupable.
Que dire, que dire.... Un film de Michael Bay tout simplement, un tas d'explosions inutiles a n'en plus entendre les dialogues. Mais voila c'est le cinema pop-corn avec quelques scenes droles.
Marcus & Mike enquêtent sur un important baron de la drogue qui est prêt à tout pour inonder Miami de sa nouvelle drogue…
8 ans après le premier opus et son succès au box office (rapportant plus de 7 fois sa mise de départ !), Jerry Bruckheimer & Michael Bay remettent le couvert, avec des liasses de billets sur la table. Et pour cause, le film suinte le fric par tous ses pores, passant de 19 M$ (pour le 1er) à 130 M$ (pour le 2ème). Le réalisateur a clairement mis les petits plats dans les grands où tout n’est que surenchère.
De la folle course-poursuite en plein coeur de Miami (pendant près de 5 minutes, fusillade sur l’autoroute avec destruction de multiples véhicules) aux scènes de gunfight, en passant par l’explosion d’une villa (une véritable bâtisse, achetée par la production pour être pulvérisée), le réalisateur n’aura de cesse de vouloir constamment rappeler qu’il est le maître du blockbuster écervelé, posant sciemment ses ɔouilles sur la table pendant qu’il fait tout péter à l’écran et ne se refuse rien (pêle-mêle, ses héros s’en prennent au Ku Klux Klan, aux russes, aux haïtiens et aux cubains).
La mise en scène reste ce qu’elle est, certes moins ringarde que dans le premier film et le tandem incarné par Will Smith & Martin Lawrence nous apparaît moins insupportable que dans le premier opus (et on avouera avoir esquissé un sourire devant la séquence “confession” dans le magasin de vidéo).
L’ensemble n’en reste pas moins un condensé de surenchère pyrotechnique et de démesure, au coeur d’un récit parfaitement débilisant et tout juste divertissant.