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Votre avis sur Bad Boys II ?
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Finalement, y a t'il un seul bon film avec Will Smith à part "Ennemi d'état" ?
Pour Martin Laurence, la réponse est plus facile !
Un catalogue des idées beaufs dans toute leur splendeur. Celui qui a osé comparer la poursuite automobile à celle de "Matrix" n'a rien compris au cinéma. Dans "Reloaded", les dégâts et les morts sont virtuels et la caméra est en plan continu. Dans "BB2", c'est une poursuite dans une vraie ville avec une accumulation d'accidents
graves sinon meurtriers, uniquement spectaculaires avec des parties en synthèse un peu trop visibles, mais surtout une caméra systématiquement tremblante et hachée.
Impossible de se rendre compte des cascades ou même de l'action !
Scénario accumulant les pillages des quatre "Armes fatales", erreurs de scripts monumentales et fréquentes, enfin, cascadeurs bien mal dissimulés.
Vous avez dit bâclé ?
Reste une BO efficace, un bon vidéo gag (utilisé deux fois !) et une photo aérienne souvent magnifique (mais bien en dessous de "Tonnerre de feu").
Enfin, la scène cubaine met mal à l'aise. Si le réalisateur veut montrer que les mines ne tuent que les méchants, c'est oublier un peu vite que les principales victimes sont les enfants du monde entier et que les États-Unis n'ont toujours pas adhéré au traité anti-mine. En plus du choix de Guantanamo qui n'a rien à faire dans un film pseudo comique, c'est la goutte d'eau qui fait déborder le vase... de la médiocrité.
Mention spéciale à Dell et Cadillac qui envahissent les écrans depuis "Fast and Furious". Mais il est vrai qu'au niveau look, la berline Cadillac assure un max !
Pour Martin Laurence, la réponse est plus facile !
Un catalogue des idées beaufs dans toute leur splendeur. Celui qui a osé comparer la poursuite automobile à celle de "Matrix" n'a rien compris au cinéma. Dans "Reloaded", les dégâts et les morts sont virtuels et la caméra est en plan continu. Dans "BB2", c'est une poursuite dans une vraie ville avec une accumulation d'accidents
graves sinon meurtriers, uniquement spectaculaires avec des parties en synthèse un peu trop visibles, mais surtout une caméra systématiquement tremblante et hachée.
Impossible de se rendre compte des cascades ou même de l'action !
Scénario accumulant les pillages des quatre "Armes fatales", erreurs de scripts monumentales et fréquentes, enfin, cascadeurs bien mal dissimulés.
Vous avez dit bâclé ?
Reste une BO efficace, un bon vidéo gag (utilisé deux fois !) et une photo aérienne souvent magnifique (mais bien en dessous de "Tonnerre de feu").
Enfin, la scène cubaine met mal à l'aise. Si le réalisateur veut montrer que les mines ne tuent que les méchants, c'est oublier un peu vite que les principales victimes sont les enfants du monde entier et que les États-Unis n'ont toujours pas adhéré au traité anti-mine. En plus du choix de Guantanamo qui n'a rien à faire dans un film pseudo comique, c'est la goutte d'eau qui fait déborder le vase... de la médiocrité.
Mention spéciale à Dell et Cadillac qui envahissent les écrans depuis "Fast and Furious". Mais il est vrai qu'au niveau look, la berline Cadillac assure un max !
Un sacré blockbuster qui dépasse beaucoup de films et même son prédécesseur. Dès le début, on est tout suite embarqué par le très bon duo de Will Smith et Martin Lawrence avec ses paroles et leurs tactiques d'attaques. Des scènes d'actions époustouflants qui nous font tenir en haleine jusqu'à la fin et il y en a plus sans arrêt des détournements de situation. Des prises de tournages bien effectuées comme la rotation dans la grande maison rose. Des explosions, des cascades et des effets spéciaux bien exécutes. Des costumes bien choisis et de très beaux décors américains. Cependant le film peut se montre écœurant à certains moments. Un très bon blockbuster à voir d'urgence.
Bad Boys II : La Surenchère Explosive de Michael Bay
Bad Boys II, c’est comme un Big Mac version XXL : t’en as pour ton argent en termes de calories cinématographiques, mais tu sais que c’est pas de la grande cuisine. Michael Bay revient avec son duo de choc, Will Smith et Martin Lawrence, et cette fois, il a décidé de balancer la sauce. Les premières minutes, c’est un peu comme si t’attendais que ta console se mette à jour : c’est long, c’est chiant, mais une fois que ça démarre, ça ne s’arrête plus.
La scène d’autoroute, c’est du Bay pur jus : ça explose de partout, les bagnoles volent comme des legos jetés par un gosse en colère, et toi, t’es scotché à ton siège comme devant une cinématique de Grand Theft Auto en mode live-action. Alors ouais, c’est gros, c’est lourd, ça pue l’essence et le plastique fondu, mais merde, ça marche. Bay, il connaît la recette pour te coller une baffe visuelle, et il le fait bien.
Will Smith et Martin Lawrence, c’est comme Mario et Luigi, ça fonctionne en duo et c’est indissociable. Les mecs se balancent des vannes qui volent aussi bas que les balles qui fusent autour d’eux, mais c’est justement pour ça qu’on les aime. Leur complicité fait passer la pilule des quelques longueurs du film. Le hic, c’est que l’humour est parfois aussi fin qu’un char d’assaut, mais bon, c’est du Bad Boys, pas du Molière.
La dernière demi-heure, c’est comme si Bay avait trouvé un cheat code pour décupler l’action. On débarque à Cuba, et là, ça dégénère encore plus. Alors ouais, c’est peut-être un peu too much, mais qui s’en plaindrait ? C’est comme commander une pizza avec triple dose de fromage : tu sais que t’en fais trop, mais c’est bon, alors tu fermes les yeux et tu profites. Si t’es du genre à aimer le cinéma d’action qui frôle l’indigestion, cette partie est faite pour toi.
Bad Boys II ne prétend pas être un chef-d'œuvre, et c’est tant mieux. C’est du pur divertissement, une avalanche d’explosions, de fusillades, et de répliques bien senties. Ça manque peut-être de subtilité, mais c’est pile ce qu’on attendait. Alors, si t’as deux heures et demie à tuer et que tu veux juste voir des flics flinguer des méchants dans un festival de pyrotechnie, tu sais où cliquer.
Plus de critiques sur https://www.instagram.com/oni_s_reviews/?hl=fr
Bad Boys II, c’est comme un Big Mac version XXL : t’en as pour ton argent en termes de calories cinématographiques, mais tu sais que c’est pas de la grande cuisine. Michael Bay revient avec son duo de choc, Will Smith et Martin Lawrence, et cette fois, il a décidé de balancer la sauce. Les premières minutes, c’est un peu comme si t’attendais que ta console se mette à jour : c’est long, c’est chiant, mais une fois que ça démarre, ça ne s’arrête plus.
La scène d’autoroute, c’est du Bay pur jus : ça explose de partout, les bagnoles volent comme des legos jetés par un gosse en colère, et toi, t’es scotché à ton siège comme devant une cinématique de Grand Theft Auto en mode live-action. Alors ouais, c’est gros, c’est lourd, ça pue l’essence et le plastique fondu, mais merde, ça marche. Bay, il connaît la recette pour te coller une baffe visuelle, et il le fait bien.
Will Smith et Martin Lawrence, c’est comme Mario et Luigi, ça fonctionne en duo et c’est indissociable. Les mecs se balancent des vannes qui volent aussi bas que les balles qui fusent autour d’eux, mais c’est justement pour ça qu’on les aime. Leur complicité fait passer la pilule des quelques longueurs du film. Le hic, c’est que l’humour est parfois aussi fin qu’un char d’assaut, mais bon, c’est du Bad Boys, pas du Molière.
La dernière demi-heure, c’est comme si Bay avait trouvé un cheat code pour décupler l’action. On débarque à Cuba, et là, ça dégénère encore plus. Alors ouais, c’est peut-être un peu too much, mais qui s’en plaindrait ? C’est comme commander une pizza avec triple dose de fromage : tu sais que t’en fais trop, mais c’est bon, alors tu fermes les yeux et tu profites. Si t’es du genre à aimer le cinéma d’action qui frôle l’indigestion, cette partie est faite pour toi.
Bad Boys II ne prétend pas être un chef-d'œuvre, et c’est tant mieux. C’est du pur divertissement, une avalanche d’explosions, de fusillades, et de répliques bien senties. Ça manque peut-être de subtilité, mais c’est pile ce qu’on attendait. Alors, si t’as deux heures et demie à tuer et que tu veux juste voir des flics flinguer des méchants dans un festival de pyrotechnie, tu sais où cliquer.
Plus de critiques sur https://www.instagram.com/oni_s_reviews/?hl=fr
Yetcha
Ce film fait mal à la tête et aux yeux. Tout va vite, trop vite, ça crie ça hurle ça tire ça change de plan toutes les 2 secondes, c'est exténuant et usant. C'est Michael Bay quoi. Souvent considéré comme un canon du genre, je reste totalement circonspect et ne suis pas du tout touché. Je vais aller prendre une aspirine, bon courage...
Après Pearl Harbour, Michael Bay est bien peu convaincant ici. Trop de blablas et de papotages mais surtout trop peu d'épaisseur. Le talent de la caméra est toujours là mais n'illustre rien
spoiler:
et la piscine qui tombe à l'eau ne fait même pas sourire
. On a l'impression que Bay essaie de donner dans le Fast & Furious dont le 1er opus est sorti deux ans plus tôt. C'est raté. Le concept F&F ne fonctionne pas uniquement parce qu'il y a des voitures qui vont vite mais parce qu'il y a des personnages bien campés caricaturaux auxquels on accorde sa sympathie sans croire une minute que de tels personnages peuvent exister. Bay au contraire donne vie à des personnages auxquels on croit, le mélange ne fonctionne pas. Dans le même ordre d'idées, on a parfois l'impression que l'on est dans un Peckinpah dans lequel il manquerait l'humour et le décalage, dans tous les cas ça ne prend pas, on ne retrouve même pas l'atmosphère sympathique du premier opus.
Le résultat est beaucoup d'ambitions et peu de réussite. Un des plus mauvais Michael Bay de sa meilleure période.
. On a l'impression que Bay essaie de donner dans le Fast & Furious dont le 1er opus est sorti deux ans plus tôt. C'est raté. Le concept F&F ne fonctionne pas uniquement parce qu'il y a des voitures qui vont vite mais parce qu'il y a des personnages bien campés caricaturaux auxquels on accorde sa sympathie sans croire une minute que de tels personnages peuvent exister. Bay au contraire donne vie à des personnages auxquels on croit, le mélange ne fonctionne pas. Dans le même ordre d'idées, on a parfois l'impression que l'on est dans un Peckinpah dans lequel il manquerait l'humour et le décalage, dans tous les cas ça ne prend pas, on ne retrouve même pas l'atmosphère sympathique du premier opus.
Le résultat est beaucoup d'ambitions et peu de réussite. Un des plus mauvais Michael Bay de sa meilleure période.
Le duo d’acteurs fonctionne toujours aussi bien et ces deux acteurs sont très complémentaires. Quelques scènes sont hilarantes et Martin Lawrence me régale toujours autant dans ses attitudes. L’histoire est excellente, les scènes d’actions sont époustouflantes, surtout celle de l’autoroute. Cette suite est encore meilleure que le premier épisode.
Yannickcinéphile
Michael Bay livre sans doute avec Bad Boys II son film le plus outrageusement crétin qui soit. Pour être honnête, tout en appréciant généralement le réalisateur, ici il force le trait jusqu’à l’indigestion parfois, et les acteurs en font des méga-caisses.
Ok, c’est vrai, et comme souvent avec le réalisateur, visuellement ça envoie. Scènes d’action spectaculaires, décors nombreux et amples, mise en scène qui parvient à être fluide en dépit de la grandiloquence de ce qui nous est montré, Bad Boys II est un film qui bourrine, et qui profite de l’efficacité habituelle du réalisateur pour en mettre plein les yeux. A souligner que le film est parfois étonnement gore, donc il ne vaut mieux pas le prendre comme un buddy-movie avec juste des vannes, il y a aussi de la violence graphique, et de l’humour noir. La bande son est dans le ton du film, mais moins marquante que pour d’autres films de Bay. Elle ne retient pas outre mesure l’attention.
Le casting est bien sympa, mais le duo principal en fait des tonnes. Concours de vanne à deux francs six sous, surjeu éhonté (surtout Martin Lawrence, parfois à la limite de l’insupportable), personnages en carton-pâte, notre duo de héros est étrangement antipathique en fait ! Certes le scénario qui de façon très artificielle cherche à les confronter est bien moisi, et ne les aident pas, mais Will Smith et Martin Lawrence, en dépit d’une évidente alchimie, sont plus souvent consternants qu’enthousiasmants. A la limite Smith semble à l’aise, et assure plutôt bien, même le second degré, mais Lawrence est à la masse. Autour de ce duo des seconds rôles souvent inutiles (Gabrielle Union par exemple), mais un grand méchant assez cocasse campé par Jordi Mollà. Pour moi c’est l’inverse de notre duo de héros. S’il se retrouve avec un personnage excentrique et excessif qui pouvait déboucher sur un surjeu horrible, il trouve le ton juste, et pour moi c’est la meilleure surprise du casting.
Le scénario reste cependant ce qu’il y a de plus affligeants ici. Tant qu’on reste sur l’intrigue du parrain de la drogue, à la limite, ça passe. Des histoires avec pas mal d’invraisemblances dans un film d’action de ce genre, ce n’est pas nouveau, et ici il y a une certaine drôlerie, et un rythme solide. Après ça n’en reste pas moins bien creux. Mais le souci c’est que visiblement soucieux de ne pas donner cette impression de creux, le scénariste a pensé bon d’introduire des sous-intrigues : disputes entre les deux héros (pour une fesse !), histoire d’amour qui nous gratifie de l’une des scènes les plus invraisemblables du film… et là c’est la cata ! Ça blinde le métrage de bavardages superflus et souvent grotesques, et ça casse le rythme. Le spectateur pourra presque être gêné de voir ces morceaux de film, qui généralement arrive dès lors qu’une scène d’action se termine. Ah, parfois il y a aussi quelques gags, et je peux vous dire que certains ont la finesse d’une enclume (les rats, mais purée !).
Bad Boys II est un spectacle hautement régressif, que j’ai trouvé personnellement efficace dans l’action, et qui sans nul doute témoigne du côté moins politiquement correct de Bay que la saga Transformers. Reste qu’entre la stupidité incroyable de certains dialogues et de certaines situations, le cabotinage des acteurs principaux, et l’humour qui plaira trop souvent uniquement aux amateurs de comédies franchouillardes bien grasses des années 80, le spectacle s’en trouve amoindri. Si je donne la moyenne, c’est vraiment parce que le film dépote niveau action, que la mise en scène est solide et qu’il y a quand même une teinte un peu trash pas désagréable. 2.5
Ok, c’est vrai, et comme souvent avec le réalisateur, visuellement ça envoie. Scènes d’action spectaculaires, décors nombreux et amples, mise en scène qui parvient à être fluide en dépit de la grandiloquence de ce qui nous est montré, Bad Boys II est un film qui bourrine, et qui profite de l’efficacité habituelle du réalisateur pour en mettre plein les yeux. A souligner que le film est parfois étonnement gore, donc il ne vaut mieux pas le prendre comme un buddy-movie avec juste des vannes, il y a aussi de la violence graphique, et de l’humour noir. La bande son est dans le ton du film, mais moins marquante que pour d’autres films de Bay. Elle ne retient pas outre mesure l’attention.
Le casting est bien sympa, mais le duo principal en fait des tonnes. Concours de vanne à deux francs six sous, surjeu éhonté (surtout Martin Lawrence, parfois à la limite de l’insupportable), personnages en carton-pâte, notre duo de héros est étrangement antipathique en fait ! Certes le scénario qui de façon très artificielle cherche à les confronter est bien moisi, et ne les aident pas, mais Will Smith et Martin Lawrence, en dépit d’une évidente alchimie, sont plus souvent consternants qu’enthousiasmants. A la limite Smith semble à l’aise, et assure plutôt bien, même le second degré, mais Lawrence est à la masse. Autour de ce duo des seconds rôles souvent inutiles (Gabrielle Union par exemple), mais un grand méchant assez cocasse campé par Jordi Mollà. Pour moi c’est l’inverse de notre duo de héros. S’il se retrouve avec un personnage excentrique et excessif qui pouvait déboucher sur un surjeu horrible, il trouve le ton juste, et pour moi c’est la meilleure surprise du casting.
Le scénario reste cependant ce qu’il y a de plus affligeants ici. Tant qu’on reste sur l’intrigue du parrain de la drogue, à la limite, ça passe. Des histoires avec pas mal d’invraisemblances dans un film d’action de ce genre, ce n’est pas nouveau, et ici il y a une certaine drôlerie, et un rythme solide. Après ça n’en reste pas moins bien creux. Mais le souci c’est que visiblement soucieux de ne pas donner cette impression de creux, le scénariste a pensé bon d’introduire des sous-intrigues : disputes entre les deux héros (pour une fesse !), histoire d’amour qui nous gratifie de l’une des scènes les plus invraisemblables du film… et là c’est la cata ! Ça blinde le métrage de bavardages superflus et souvent grotesques, et ça casse le rythme. Le spectateur pourra presque être gêné de voir ces morceaux de film, qui généralement arrive dès lors qu’une scène d’action se termine. Ah, parfois il y a aussi quelques gags, et je peux vous dire que certains ont la finesse d’une enclume (les rats, mais purée !).
Bad Boys II est un spectacle hautement régressif, que j’ai trouvé personnellement efficace dans l’action, et qui sans nul doute témoigne du côté moins politiquement correct de Bay que la saga Transformers. Reste qu’entre la stupidité incroyable de certains dialogues et de certaines situations, le cabotinage des acteurs principaux, et l’humour qui plaira trop souvent uniquement aux amateurs de comédies franchouillardes bien grasses des années 80, le spectacle s’en trouve amoindri. Si je donne la moyenne, c’est vraiment parce que le film dépote niveau action, que la mise en scène est solide et qu’il y a quand même une teinte un peu trash pas désagréable. 2.5
Avec "Bad Boys II",l'équilibre précaire du premier opus,entre humour potache et action pure et dure vole en éclats.La faute à Michael Bay,qui a entre temps perdu toute lucidité.On est face à un blockbuster de deuxième génération.Trop long,excessivement bourrin,moralement douteux et filmé comme un clip géant.Si l'on n'est pas d'humeur,ça peut faire très mal au crâne.Dans ce jeu vidéo géant,les 2 flics de la brigade des stups de Miami deviennent des pions,qui se vannent quand il faut vanner,qui dézinguent quand il faut le faire.Finalement,les meilleures scènes restent celles où Will Smith et Martin Lawrence lâchent la bride,et s'insultent gaiement,tout en persévérant dans la cool attitude.Normal,Michael Bay n'est pour rien dans ces échanges souvent drôles.Il préfère rajouter des explosions,des poursuites homériques et des gunfights interminables au cas où il n'y en aurait pas assez...Il faut tout de même reconnaître que c'est parfois un vrai plaisir coupable que de voir des vingtaines de voitures se faire démolir sur l'autoroute!Si l'on oublie un final de très mauvais goût sur l'île de Cuba,on peut apprécier ce genre de film qui utilise le mot exagération comme étendard.Mais c'est limite.
lhomme-grenouille
Le premier était plutôt sympa, genre film d'action léger qui dépote sans trop se prendre la tête. Seulement, pour ce numéro 2, Michael Bay eut l'erreur de penser que pour faire deux fois mieux, il fallait faire deux fois plus. Du coup, ce qui était léger et sympa devient ici très lourd et très gonflant. Ça bouge dans tous les sens et n'importe comment. Ça hurle de tous les côtés. Martin Lawrence et Will Smith sont à baffer. Quant à Tea Leoni et ce bon vieux Tcheky Karyo qui apportaient tous deux une petite note de fraîcheur dans le 1, ils ont été remplacés par toute une troupe sortis tout droit d'un clip de R n' B. En somme, quitte à vouloir se mater des images mal filmées pleines de gogo-danceuses blacks sur fond de musique de merde, callez vous plutôt devant M-TV plutôt que de voir ce nanar ; au moins vous pouvez zapper à tout moment et ça ne vous aura pas coûté le prix d'une location.
voici une suite carrément louper et le film est bien trop long et voir ennuyeux
Une suite de pas grand chose cela ne donne rien.
La preuve avec ce film anecdotique.
La preuve avec ce film anecdotique.
Beaucoup de défauts dans ce film : scénario plat, humour bas de gamme, stéréotypes inutiles... Mais on prend son pied pendant plus de deux heures, est c'est ça l'essentiel. Fun, rythmé, spectaculaire, un pur concentré d'adrénaline. Un excellent film d'action !!
Cette suite de bad boys brille par une très bonne réalisation de Michael Bay et une bonne dose d'humour.
Par contre, le scénario est ennuyeux couplé à une durée monstre pour ce type de film (2h20), on espère qu'une seule chose la fin de film pour nous soulager d'un film qui nous aura pas marquer.
Par contre, le scénario est ennuyeux couplé à une durée monstre pour ce type de film (2h20), on espère qu'une seule chose la fin de film pour nous soulager d'un film qui nous aura pas marquer.
Cinéphiles 44
“Bad Boys 2” fait suite au gros succès “Bad Boys” sorti huit ans plus tôt. Will Smith et Martin Lawrence enfilent de nouveau leurs habits de flics pour une nouvelle enquête. Cette fois, les deux amis sont à la poursuite de trafiquants de drogues et d’armes. Marcus apprend alors que sa soeur sort avec Mike et que celle-ci est membre de la brigade des stups. Si le premier épisode pouvait tenir la route, ce nouveau concentré d’actions en oublie totalement de raconter une histoire. Tout est superficiel et nos deux protagonistes ne séduisent même plus par leurs rapports virevoltants. Question nanar à la testostérones, nous y sommes.
D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
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Le premier était sympa, ça dégommait, ça se marrait et le duo Will Smith/Martin Lawrence fonctionnait bien. Bien sûr, ce n'était pas au même niveau que les productions cadors du genre, mais bon, c'était cool. En revanche, pour ce deuxième volet, la musique n'est plus du tout la même. Si le premier, malgré ses faiblesses, possédait de la sympathie. Ce deuxième opus est une bouse taille 2XL. Will Smith, tout comme Martin Lawrence est insupportable. Bon à prendre des baffes. Et le méchant, fait plus rire qu'autre chose. On est bien loin d'un Wesley Snipes dans "Demolition Man", d'un Charles Dance dans "Last Action Hero", d'un Alan Rickman ou d'un Samuel Jackson dans "Die Hard 1 et 3" ou d'un Denis Hooper dans "L'extrême limite". En plus de ça, Bay en rajoute trois tonnes et filme ça comme un manche. Restent la plastique de Gabrielle Union et les petites gonzesses des plages de Miami pour faire passer ça un peu moins douloureusement.
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