Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
MCinéma.com
par Jean-Christophe Derrien
L'ensemble n'est pas désagréable et même distrayant... si on ne tient pas compte des vingt dernières minutes, parfaitement hors sujet, sorte de mission à la DELTA FORCE en plein Cuba où la baie de Guantanamo devient le refuge de la démocratie ! Ce qui était un pur divertissement Bruckheimer devient un pensum post 11 Septembre douteux. On peut cependant très bien faire abstraction de cette dimension et se laisser aller au fil des péripéties. C'est à vous de voir...
Première
par Mathieu Carratier
Si vous êtes pour la décadence pyrotechnique (...) Bad boys II est un gros machin souvent incompréhensible et bruyant qui ne connaît aucune limite, aucune inhibition. Deux heures et demie d'un spectacle décadent de destruction massive, au demeurant enivrant et régulièrement brillant dans sa forme.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Cécile Mury
Il y a bien une histoire de trafic d'ecstasy, mais tout le monde s'en fout dans le fracas des bagnoles qui explosent. Tout pète en permanence, même les cadavres dans la morgue, où enquêtent nos deux compères. C'est vous dire si on rigole.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Aden
par Philippe Piazzo
Il y a ce qu'il faut de boucan pour vous empêcher de vous endormir, (...) ce qu'il faut de vulgarité (homophobie, machisme, antifreudisme primaire) pour ravir les farouches défenseurs du politiquement incorrect, et ce qu'il faut d'hymne patriotique pour s'avérer en fait politiquement très correct : les aventures de ces deux flics rigolos (...) qui mettent à terre la mafia cubaine de Miami a quelque chose de pathétique : son absence totale de scrupules.
La critique complète est disponible sur le site Aden
L'Express
par Arnaud Malherbe
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Monde
par Thomas Sotinel
Il faudrait un avertissement prophylactique sur l'affiche : prendre deux comprimés d'aspirine avant la projection sous peine de migraines et de nausées. Cent cinquante minutes de destruction gratuite (dans ses motivations, par ailleurs ce film a coûté près de 200 millions de dollars), de plaisanteries lamentables et de cabotinage ne peuvent être tolérées par tous les organismes.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par La rédaction
Michael Bay (...) reste le plus mauvais cinéaste hollywoodien en activité. Aucune faute de goût ne lui fait peur.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Studio Magazine
par Juliette Michaud
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
TéléCinéObs
par Olivier Bonnard
Malgré lui, le film brosse le portrait préoccupant d'une Amérique gangrenée par la violence, définitivement malade de l'intérieur. Infect.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Zurban
par M.D.
Ciblant les consommateurs de hip-hop, Bad Boys joue des codes pour flatter son public. Comme dans un mauvais clip de rap, ça tchatche, ça frime, ça flingue de partout, des filles plantureuses se dandinent en tenues moulantes et les dealers habitent de somptueuses villas. Même sur le ton de la comédie, c'est insupportable, surtout quand ça dure plus de deux plombes.
MCinéma.com
L'ensemble n'est pas désagréable et même distrayant... si on ne tient pas compte des vingt dernières minutes, parfaitement hors sujet, sorte de mission à la DELTA FORCE en plein Cuba où la baie de Guantanamo devient le refuge de la démocratie ! Ce qui était un pur divertissement Bruckheimer devient un pensum post 11 Septembre douteux. On peut cependant très bien faire abstraction de cette dimension et se laisser aller au fil des péripéties. C'est à vous de voir...
Première
Si vous êtes pour la décadence pyrotechnique (...) Bad boys II est un gros machin souvent incompréhensible et bruyant qui ne connaît aucune limite, aucune inhibition. Deux heures et demie d'un spectacle décadent de destruction massive, au demeurant enivrant et régulièrement brillant dans sa forme.
Télérama
Il y a bien une histoire de trafic d'ecstasy, mais tout le monde s'en fout dans le fracas des bagnoles qui explosent. Tout pète en permanence, même les cadavres dans la morgue, où enquêtent nos deux compères. C'est vous dire si on rigole.
Aden
Il y a ce qu'il faut de boucan pour vous empêcher de vous endormir, (...) ce qu'il faut de vulgarité (homophobie, machisme, antifreudisme primaire) pour ravir les farouches défenseurs du politiquement incorrect, et ce qu'il faut d'hymne patriotique pour s'avérer en fait politiquement très correct : les aventures de ces deux flics rigolos (...) qui mettent à terre la mafia cubaine de Miami a quelque chose de pathétique : son absence totale de scrupules.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Monde
Il faudrait un avertissement prophylactique sur l'affiche : prendre deux comprimés d'aspirine avant la projection sous peine de migraines et de nausées. Cent cinquante minutes de destruction gratuite (dans ses motivations, par ailleurs ce film a coûté près de 200 millions de dollars), de plaisanteries lamentables et de cabotinage ne peuvent être tolérées par tous les organismes.
Libération
Michael Bay (...) reste le plus mauvais cinéaste hollywoodien en activité. Aucune faute de goût ne lui fait peur.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
Malgré lui, le film brosse le portrait préoccupant d'une Amérique gangrenée par la violence, définitivement malade de l'intérieur. Infect.
Zurban
Ciblant les consommateurs de hip-hop, Bad Boys joue des codes pour flatter son public. Comme dans un mauvais clip de rap, ça tchatche, ça frime, ça flingue de partout, des filles plantureuses se dandinent en tenues moulantes et les dealers habitent de somptueuses villas. Même sur le ton de la comédie, c'est insupportable, surtout quand ça dure plus de deux plombes.