En plein milieu des Appalaches, six jeunes femmes se donnent rendez-vous pour une expédition entre copine. Leur terrain de jeu, une grotte ... au vu du trou, rien de réjouissant, mais une fois leur premier pas dans celle-ci, le gouffre a tout d'un endroit paradisiaque, jusqu'à ce qu'une chose inattendu se produit, les 6 femmes ne sont pas seul, il y reside d'autre individu, mais depuis combien de temps sont il ici ? sont il dangereux ? qui sont ils ?
Consideré comme une référence, The descent commence part un premier quart d'heure relativement calme, l'arrivé du lieux de spéléologie ni change pas grand chose, Neil Marshall va avant tout joué avec le spectateur de façon intelligente, il joue avec nos nerf grâce au manque de lumière, il nous prive du jour, nous plongeant de plus en plus dans un huit clos sombre, ne voyant rien de plus que le nécessaire nous mettant au plus proche des personnages, ils se contente uniquement d'y laissé quelque indice, un simple avant gout. Mais c'est dans la deuxième partie du film que tout s'amplifie, l'arrivé de ce qui etait inévitable se produisit et the descent passe d'un film angoissant et claustrophobe à un film terrifiant et sanguinaire. Le réalisateur joue avec l'effet de surprise, ce qu'il arrive a faire de très belle manière, et bien que pas assez souvent horrifique, le bain de sang proposé restera longtemps marqué dans nos mémoires, on y retrouve quelque peu la démence humaine avec the descent, l'inconscience et la folie ...
Malgré ce petit manque de peur, de frisson, the descent est un excellent film très bien mené part Neil Marshall, surprenant le spectateur, et soutenu part des bruitages finement choisis apportant ce soupçon de lourdeur dans l'air, The descent est un film physique, on souffre au fil de l'avancé du film et mentalement ça en deviens fatiguant, dans le sens positif biensur, on est pas simple spectateur, la peur n'est pas le plus impressionnant, non, c'est la réalisation qui nous fait travaillé avec une tension est parfaitement maîtriser.