AlloCiné
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Votre avis sur The Descent ?
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Je ne comprend pas la note globale de ce film... Même si l'idée de base pourrait être bonne, le film frôlé de y a des choses improbables, les acteurs surjouent ... Trop d'effets de bruits et de musique non justifiés juste pour faire peur... Des images en accélèré...et la fin ... nulle. Déception pour ma part.
Une étoile pour le postulat de départ : des personnages exclusivement féminins qui partent dans un trip spéléo, dans une grotte au centre de la terre, environnement peu utilisé par le cinéma et idéal pour faire naître du frisson. Dommage que le film soit raté de A à Z. Une première scène hors-sujet, une période d'exposition trop longue et qui ne parvient absolument pas à créer des personnages attachants, une caméra qui pique les yeux tellement elle filme mal, un twist final de mauvais goût, utilisé 10 fois ces dernières années en beaucoup mieux, des monstres mal pensés (ils sont sourds muets et aveugles, sans odorat ni flair et font kweeeeee comme des gros chats de canapé, du coup ils se font later par une prof d'anglais à mains nues), et surtout : aucune peur procurée (la claustrophobie, l'isolement, le noir, ne sont jamais exploité). On sourit parfois (parce que c'est ridicule hein, pas parce que c'est drôle), et on s'ennuie profondément, nous tardant d'apercevoir le bout de tunnel de ce cauchemar cinématographique.
Malgré un effet de suffocation que parvient à installer Neill Marchall The Descent se prend les pieds dans son idée principale: ses "monstres".
Si pour vous une série de jumpscares ultra-prévisibles suffit à faire un bon film d'horreur, vous allez être satisfait. Dans le cas contraire préparez vous à quelque chose de très cliché, et plutôt chiant.
Un vrai film d'épouvante moderne et bien orchestré, qui met du temps à démarrer mais une fois au fond de la grotte, on y passe un bon moment, et lorsqu'on trouve la sortie on a envie d'une suite...
Voilà un film d'horreur qui change ! Dans ce film excellent on n'a pas tout les stéréotypes stupides et il nous fait tout de même très très peur. Je vous garanti au moins un sursaut dans ce film, mais personellement, j'en ai eu deux, sans être un froussard. De plus, ce film a du gore assez jouissif pour les amateurs, sans exagérer pour autant.
Tout le long, on est coincé dans le noir avec les héroïnes et cet affreux sentiment de claustrophobie grandit au fur-et-à mesure, accélérant notre tension et rendant les scènes plus horribles encore...
Tout le long, on est coincé dans le noir avec les héroïnes et cet affreux sentiment de claustrophobie grandit au fur-et-à mesure, accélérant notre tension et rendant les scènes plus horribles encore...
Le réalisateur britannique Neil Marshall met de côté son huis-clos assiégé par des loups-garous pour un survival old school inspiré quant à lui des classiques du genre tels Délivrance ou encore La Colline a des yeux... Pourtant, le début du film ne laissait rien présager de bon : une éternité à se mettre en place, une bonne heure de spéléologie pas vraiment attractive malgré ses rebondissements et une succession de blas-blas féminins incessants... Le long-métrage peine à concrètement démarrer. Paradoxalement, la volonté de Marshall à instaurer un climax oppressant de manière méticuleuse et progressive fait son petit effet lorsque, bloquées dans une grotte inconnue, nos six héroïnes vont non seulement devoir tenter de trouver une issue mais également échapper à une horde de créatures sanguinaires dont l'espèce lorgne entre le mutant vampirique et le Gollum des cavernes. La première heure passée, le metteur en scène démarre les hostilités pour ne plus s'arrêter. Réaliste, poignante, viscérale et sans concession, l'intrigue bascule dans l'horreur carmin avec une certaine efficacité, Neil Marshall optant pour une luminosité naturelle, idéale pour nos créatures nyctalopes, moins pour nos pauvres héroïnes déjà bien remontées les unes contre les autres. De plus, le changement brutal d'héroïne principale qui, au début, est une apprentie aventurière stressée et apeurée, va devenir à la fin une battante accomplie, fracassant ses ennemis avec la hargne qu'on lui accorde dans une telle situation. En somme, malgré quelques maladresses et un début un brin longuet mais avec une excellente seconde partie suffisamment sanglante et maîtrisée, The Descent marque un petit tournant dans le genre et satisfera aisément les amateurs de survival horror.
The Descent n’a, s’il ne faut en retenir qu’une, la qualité de faire preuve dans son casting d’une originalité peu commune, il faut le souligner, de ne faire appel qu’à une distribution quasi totalement féminine ! Bon si l’on fait fi de toute ironie il faut avouer que c’est suffisamment rare pour être signalé. Pour le reste voilà un film d’horreur qui avec un budget que l’on devine modeste et un casting d’illustres inconnues, réussi cahin-caha à rivaliser avec les grosses machines hollywoodiennes. Il arrive à mélanger, de façon réussie, plusieurs des peurs primales de l’humanité à savoir : l’obscurité, les espaces réduits, la peur d’être enterré vivant ; s’ajoute à cela un dernier élément qui fait basculer le film de l’angoisse à l’horreur grâce à une bande de créatures troglodytes lointainement cousines du Gollum du Seigneur des Anneaux. Le synopsis est bon dans sa simplicité : une bande de copines se rendent dans un système de grottes pour une aventure spéléologique et coincées par un éboulement, se retrouves obligées de fuir les créatures anthropophage qui les peuplent. Même si la suite est plus ou moins prévisible quant au destin de nos aventurières, on ne boude pas son plaisir devant ces fuites claustrophobiques dans les entrailles de la terre ; d’autant plus que les créatures sans effets numériques sont suffisamment crédibles pour inspirer l’horreur. On peut signaler également un twist final plutôt bon. Bref un petit film d’horreur qui sans prétention se glisse dans la catégorie fort réduite des films d’horreurs réussis voire, soyons fou, originaux.
Ce film démontre qu'il est de plus en plus difficile d'assister à une de cinéma d'épouvante de qualité de nos jours. Rien de bien original, à part le fait de ne trouver que des femmes au casting, sans queue ni tête, quelques scènes "gores" dérangeantes. Bref, un film on ne peut plus banal qui ne m'a jamais convaincu... J'ai du vieillir!
Excellent film d'horreur. Pourtant ce n'est pas mon genre. La réalisation est parfaite et l'intrigue bien menée. A vraiment réserver à un public averti...
Surprenant...
Surprenant...
Un bon film assez angoissant qui dévoile juste ce qu'il faut et qui fait au final passer un bon moment.
Fritz L
Neil Marshall est sans doute lun des jeunes cinéastes le plus prometteur et doué de la nouvelle vague qui nous arrive des states et de lAngleterre. Déterminé, ingénieux et rigoriste il labellise de droit son film comme lun des plus flippants de cette dernière décennie. Ce nest pas un hasard.
Le choix scénaristique très original de diriger six filles dans un décor aussi exigu quune grotte relève déjà dune réelle ambition à laquelle il apporte une habileté sidérante.
La progression affûtée du récit nous amène inexorablement à un sentiment terrible détouffement de plus en plus prenant jusquau paroxysme. La claustrophobie, la crainte du noir ou du vide, la douleur, la mort, lhorreur, désorientent les protagonistes et font exploser des réactions humaines typiques débordantes de courage, de lâcheté, de goût du sacrifice et de folie meurtrières.
Tourné presque entièrement en studio, Marshall prodigue à ses plans une dimension dantesque entre grands espaces souterrains et ceux plus tortueux de boyaux ou de conduits étroits. La caméra disparaît totalement au profit de laction dont le rythme est constamment soutenu et trouve une résonance dans la bande son très travaillée ou dans les variations de lumières rusées. Il ny a aucun temps mort jusquà la conclusion, qui nous prend par surprise et vient sacrer ce film particulièrement captivant.
Du très bon et grand cinéma dépouvante. Respect !
Le choix scénaristique très original de diriger six filles dans un décor aussi exigu quune grotte relève déjà dune réelle ambition à laquelle il apporte une habileté sidérante.
La progression affûtée du récit nous amène inexorablement à un sentiment terrible détouffement de plus en plus prenant jusquau paroxysme. La claustrophobie, la crainte du noir ou du vide, la douleur, la mort, lhorreur, désorientent les protagonistes et font exploser des réactions humaines typiques débordantes de courage, de lâcheté, de goût du sacrifice et de folie meurtrières.
Tourné presque entièrement en studio, Marshall prodigue à ses plans une dimension dantesque entre grands espaces souterrains et ceux plus tortueux de boyaux ou de conduits étroits. La caméra disparaît totalement au profit de laction dont le rythme est constamment soutenu et trouve une résonance dans la bande son très travaillée ou dans les variations de lumières rusées. Il ny a aucun temps mort jusquà la conclusion, qui nous prend par surprise et vient sacrer ce film particulièrement captivant.
Du très bon et grand cinéma dépouvante. Respect !
Jaime bien avoir peur au cinéma. Je me laisse facilement prendre au jeu. Cest pourquoi je suis allé voir The Descent où laccroche « Une expérience unique au cinéma » me faisait envie. Hélas, malgré un postulat de départ alléchant, limpression finale est plus que mitigée. Je mattendais à un film basé uniquement sur la claustrophobie du milieu spéléo et de ce point de vue là cest assez réussi
durant une demi-heure, après la présentation (inutile) des personnages. Quelques scènes sont vraiment réussies dans le genre notamment au moment de léboulement où les personnages se retrouvent coincées. Mais alors quand les enfants de Gollum font leur apparition le film tourne au vulgaire film gore croquignolesque. Les scènes daffrontement entre les nanas et les monstres sont affreusement mal filmées, on ne comprend rien à ce qui se passe devant nos yeux. Le son est prenant mais laspect visuel est tellement stroboscopique que cela en devient vite agaçant
et risible surtout dans les dernières scènes. C'est assez mal interprété dans l'ensemble mais on se moque un peu de l'interprétation dans ce genre de production. Dommage que Neil Marshall délaisse le film de terreur pour sombrer dans le film gore banal mais qui contient son lot de sursauts et d'émotions fortes.
Très déçue ! Les trente premières minutes du film sont inutiles, elles auraient pu être condensées en cinq ou être résumées dans un flash-back ! Lhistoire en fait trop : bain de sang, claustrophobie, monstres terrifiants ressemblant étrangement à Gollum du Seigneur des anneaux, peur du noir, du gore pour du gore, filles sages au début devenant des Rambos ou des Lara Croft (Tomb Raider) à la fin, des effets déjà largement exploités pour donner un résultat dépourvue doriginalité et sans intérêt. Quelques sursauts qui engendrent finalement un rire moqueur tant le récit est lourd. Le scénario est pauvre, il ne tourne quautour dune seule idée : terrifier avec des monstres sauvages dans des grottes. Quant aux actrices, elles sont issues de série B et donc peu crédibles. Il est certain que leurs décolletés plongeant pendant les scènes de « combats » ont été appréciés mais ils nont pas su me convaincre !
Finalement le film nest pas ce quil prétend être : horreur, interdit au moins de 16 ans, il lest peut être pour les litres de sang en trop qui jaillissent mais pas pour langoisse dun bon film de ce genre.
Finalement le film nest pas ce quil prétend être : horreur, interdit au moins de 16 ans, il lest peut être pour les litres de sang en trop qui jaillissent mais pas pour langoisse dun bon film de ce genre.
Caine78
On parlait de film d'horreur d'anthologie, on reste quelque peu sur notre faim... Certes, Neil Marshall a réussi à installer un climat d'angoisse et de tension plutot bien rendu, et il est vrai que de nous offrir un film d'horreur avec un casting quasi-intégralement féminin ne manque pas de charme. Pourtant, et même si le rythme est assez bien mené, on est jamais totalement subjugués par ce qui se déroule sous nos yeux, que ce soit par les créatures en définitive assez peu effrayante qu'un scénario qui semble être à la peine à plusieurs reprises. De plus, il est vrai que l'on y voit pas grand chose, et notre possible attachment aux personnages devient alors très compliqué. Quelques idées restent intéressantes, notamment la représentation parfois inquiétant des humains, mais il est vrai que l'on attendait tout simplement quelque chose de plus percutant et de plus marquant que ce film certes soigné et plutot bien foutu, mais en dessous de nos espérances.
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