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tyrionFL
22 abonnés
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3,0
Publiée le 18 février 2020
The descent a pour lui un concept de slasher très original et plutôt bien traité. Lorsque 6 jeunes partent faire de la spéléologie et que des créatures humanoïdes les attaquent, rien ne va plus. S'il faut attendre la moitié du film pour apercevoir l'une de ses créatures, leur force évocatrice et leur design sont réussis et proposent des scènes gores et des scènes de tension dignes de ce nom. Si le concept est original, l'exécution est plus banal avec une utilisation de la musique très convenue, quelques jumpscares pas très malin, l'habituel délire des personnalités qui s'entrechoquent au lieu de s'aider et une réalisation/montage des plus banals et difficilement lisibles à certains endroits mais le film a pour lui, en plus de son postulat de base des actrices convaincantes voire badass et certains plans très bien foutus. Je pense que prendre le film pour ce qu'il est, à savoir un petit (4 millions de dollars) film d'horreur à expérience sans prétention, devrait vous éviter d'être déçu.
Ce film commence exactement comment j'aime que commence un film d'horreur. Il prend son temps et met en place son contexte, ses personnages et leurs relations. Et des que les jeunes femmes rentrent dans la caverne, l'ambiance change. Tout devient plus oppressant, plus étrange, plus inquiètant. Sans pour autant qu'on sache ce qui se prépare, San savoir quelle est la menace. Jusqu'au moment où d'un coup, le danger se révèle. Et l'on est pas surpris vu qu'il a été mis en place dès le début. Deuxième chose, les personnage font beaucoup dans un film. Un seul mauvais personnage peut gâcher un film, comme un seul bon personnage peut rendre le film bien plus intéressant. Je trouve que c'est complètement le cas avec le personnage de June. Elle est bien développée et donne une dimension autre du film, donnant de la matière au contexte, et restant le personnage le plus attachant (voire le seul). Enfin, je trouve que le final ne pouvait être mieux, spoiler: laissant le personnage principal seul et enfermé dans la grotte, tandis que tous les monstres se précipitent vers elle.
Critique de "The descent". Six femmes se lancent dans une expédition spéléogiques dans les Appalaches. A la suite d'un écoulement de rochers, elles se retrouvent prises au piège sous terre. Dans la recherche désespérée d'une issue, les choses vont empirer et elle vont faire la rencontre de terribles créatures... Une belle surprise ce film. J'ai été un peu réticent à la vue du synopsis , je me demandais comment une film horrifique pourrait se passer dans une grotte. Je n'ai pas été déçu. Les scènes de tension sont gores et terrifiantes. L'angoisse à proprement parler émerge lorsque les six personnages s'enfoncent dans les profondeurs de ces grottes sombres. Personnages auquels ont s'attache rapidement et dont on partage la peur. The descent est une pierre rare dans son genre. 4/5
Six jeunes femmes et amies partent faire une expédition spéléologique afin de remonter le moral de l'une d'entre eux qui a perdue sa fille et son mari dans un accident de la route engouffrées dans une grotte jusqu'alors inexplorée elles se retrouvent soudainement livrées à elles même dans cet endroit lugubre suite à l'effondrement des roches, l'action tarde à se mettre en route et c'est à mi-chemin passé que ses bestioles hideuses à la démarche robotisée démontrant par ailleurs le budget serré de la production et rappelant les films horrifiques d'antan font irruption, s'en suit des séquences suffocantes et un final qui tient toute ses promesses !!
A recommander vivement , sauf aux claustrophobes :)
Petit film d'horreur sympa, sans plus. Le thème de la spéléologie est sous exploité je trouve, de même que les décors, et la part belle est faite à l'obscurité, trop d'ailleurs puisque ça empêche de voir les monstres et donc d'avoir peur, un comble.Le casting est un peu trop facile et la suite inaliénable pareil, mais au moins j'ai apprécié, notamment la fin.
The Descent est un des films d'horreur récent qui a su être acclamé par des critiques unanimes, qui lui vaut la réputation de film culte. Un peu long a commencer, ça traine entre filles en parlant de tout et de rien mais quand l'action est présente, elle ne nous lâche plus. Malgré un scénario plus que basique Neil Marshal (rélaisateur de plusieurs épisode de Games of Thrones) à réussi a implanter une tension non stop de course poursuite. On se fais prendre au jeu et on ne lache plus l'écran jusqu'au détournement final.
The Descent...j'avais lu le synopsis sur le programme télé, six femmes qui font une descente dans une grotte et qui vont tomber sur des créatures cannibales. Bon, je suis pas fan de ce genre de film, je m'embête un peu, aller...je vais regarder. Bon, pour commencer, le début est chiant à mourir. Mais je me rend compte qu'il y a pas que le début, c'est chiant pendant au moins 45 minutes, voir plus. Les scènes "angoissantes" comme quand elles traversent et qu'elle sont dans le vide, ou encore l'éboulement, ne sont pas angoissantes, problème. Entrent en jeu les créatures...moches, ridicules...Et là, ça devient de pire en pire. Les scènes d'attaques des monstres...c'est bizarre c'est passé en accéléré, ça a réellement l'air con. Les nanas se transforment en championnes d'arts martiaux. Après, des litres, des litres et des litres de sang, petit hommage au film Carrie à un moment. Bref, comment dire en un mot...navrant!!!
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3,0
Publiée le 14 décembre 2016
Un fort bon film d'horreur et quoi de plus effrayant que les profondeurs de la terre ? Aujourd'hui, les films d'horreur efficaces sont assez rares! Celui-ci fait parti des exceptions! Dans la première partie, la tension est si forte que le rèalisateur Neil Marshall peut faire basculer son mètrage vers le fantastique sans perdre de son rèalisme! L'apparition de ces monstres dans ces grottes obscures foutent vraiment les jetons et les six nanas, coincèes sous terre, s'apercevront vite qu'elle ne sont pas seules...Après avoir vu "The Descent", on partage le point de vue du metteur en scène et l'on annule dans la foulèe sa visite de Lascaux! Vraiment flippant, il est vivement dèconseillè aux claustrophobes pour ne pas sombrer dans la panique la plus totale. "The Descent 2" est en revanche très en dessous du premier volet...
Ne vous laissez pas piéger par l'incompréhensible concert de louange adressé par la critique à cet ignoble navet. Il semblerait que la presse intellectuelle de gauche ait décidé, dans un ensemble émouvant, de consacrer ce film d'une faiblesse inouïe. J'imagine le comité de rédaction des Télérama, Le Monde et autres Libération le jour de sortie du film : "Bon, les mecs, cette année, on a aimé un film turc sur l'avortement en milieu rural, un documentaire arménien sur la réinsertion des transexuels d'Erevan par la traite des vaches, un film d'auteur français sur le deuil d'un trisomique à Dunkerque... Pour éviter de se faire taxer d'élitisme, il va falloir trouver un bon film bien naze et grand public qu'on va adorer. Cette année, on a tiré au sort The Descent... Oui, je sais, c'est pas facile mais on va faire de notre mieux. Allez, au boulot !" Et voilà comment on se retrouve avec ce film horrifique qui tente de jouer sur certaines phobies classiques du genre humain : la claustrophobie, la peur du noir, des monstres, d'être emmuré vivant. L'idée n'est pas mauvaise, loin de là. Un bon film d'horreur spéléo, on est toujours preneurs. Le problème, c'est que le film ne fonctionne absolument pas, que tout suspense est étrangement absent et que très vite, on voit les monstres ridicules qui poursuivent les malheureuses spéléologues. Or, ce qui crée la tension de ce genre de film, c'est l'ignorance, l'imagination ; ce qui est montré ne fait plus peur, ça fait rire. Dès lors, le film se délite et ne présente plus le moindre intérêt. Il est juste un peu écoeurant quand l'héroïne se retrouve engloutie dans un lac de sang ou quand ses amies se font boulotter les viscères par les gollums des entrailles de la Terre. Grotesque et déplaisant.
Le début du film est bien, la descente est halletante, on attend, on sait qu'il va se passer quelque chose, et on est près à sursauter. Mais dès l'arrivée des monstes et les premières filles tuées, on sait que le film n'est plus qu'une longue ligne droite monotone, la fin est ultra prévisible malgré qu'elle soit ambigüe... Ensuite c'est bien beau l'ambiance glauque d'une grotte mais beaucoup de scènes sont confuses, on a du mal à s'y retrouver entre les filles qui meurent, qui restent vivantes... D'ailleurs des filles il y en a un peu trop, 3 ou 4 auraient suffit, là des fois on s'y retrouve plus... Mais 2 étoiles quand même pour la première demi-heure du film, l'actrice principale qui sort du lot, et les monstres assez bien réussis.
film en bois. Des pseudos humains qui ont survécu plus de cents ans dans des grottes et qui se sont transformés en monstres alors qu'ils ont acces au monde exterieur et une fin scoobidoo qui tue le film qui est deja pas bien excitant, bref une grosse daube
Considéré comme l'un des meilleurs films d'horreur des années 2000, LE film qui a réconcilié les britannique avec l'épouvante-horreur, "The Descent" n'est rien d'autre qu'un bon gros navet horrifique à but commercial dont on en voit tant de nos jours. Le long métrage raconte l'histoire d'un groupe de femmes qui, en faisant de la spéléologie, se retrouvent piégées à cause d'un éboulement dans un système de grottes non cartographié. En essayant de trouver une sortie, elles se font pourchassés par des créatures carnivores. Doté d'un scénario inexistant qui tombe dans la facilité, le troisième long-métrage de Neil Marshall est une bonne grosse bouse qui nous fait regretter d'avoir perdu une heure et demie de notre vie. Avec une mise en place à la finesse d'un "Destination Finale", le film s'ouvre sur un prologue pitoyable qui ne servira qu'à instaurer un gimmick scénaristique menant à une conclusion de fumiste. Malgré quelques belles images au début et un réel effort de rendre la grotte terrifiante et oppressante, la sauce ne prend pas, on n'y voit que dalle dans la partie souterraine qui baigne dans l'obscurité la plus profonde. Passé la première heure d'un ennui profond, le survival se met en place avec des créatures humanoïdes qui rappellent fortement Gollum (en beaucoup moins réussi bien entendu) et qui sont franchement dégueulasses. Le gore prend donc le dessus et on a le droit à des séquences bien sanglantes qui ferait passer le trente-sixième remake de "Massacre à la tronçonneuse" pour un putain de chef d'oeuvre. C'est gore, malsain, ça n'apporte rien à la pellicule et surtout ça manque cruellement de tension, de suspense. On y croit pas, on ne sursaute pas et on en vient presque à rire devant cette troupe d'éclopées. Ajoutons à cela une manque total d'attachement envers les personnages, tous plus stupides, stéréotypes, creux et mal interprétés les uns que les autres et vous obtenez "The Descent" une série Z inutile qui ne vous réconciliera pas avec les "films d'horreur".
J’en suis le premier surpris, mais je trouve que ce film qui avait tous les aspects de la série B réussit finalement à poser une atmosphère super efficace et diablement bien réfléchie et filmée. Un spectacle qui m’a beaucoup plu.