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Votre avis sur The Descent ?
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Enfin un film d'horreur qui a de la personnalité ! L'un des tous meilleur, avec une ambiance et une tension excellemment bien rendues. A l'époque la spéléologie n'avait pas fait l'objet de beaucoup de long métrage horrifique. Du moins pas à ma connaissance. La majorité du film nous coince donc dans une grotte, parmi un groupe d'aventurière. On ressent bien les émotions des personnages, ils jouent juste. A savoir que le réalisateur nous plonge dans le noir, alors n'oubliez pas de fermer les volets si vous regardez le film en journée !
Un film d'horreur réellement prenant, étouffant, avec une très bonne mise en scène qui lui permet de se démarquer des autres longs métrages du genre.
Un des meilleurs film d'horreur de tout les temps tout simplement.
Tout y est parfait. Une première partie qui fait monter la pression petit à petit, on s'attache à toutes les femmes du groupe. Puis vient la seconde partie dans une explosion de gore et de sauvagerie ultra réussi.
Les actrices, la realision, les maquillages et la B.O, tout est extrêmement réussis.
A voir d'urgence.
Tout y est parfait. Une première partie qui fait monter la pression petit à petit, on s'attache à toutes les femmes du groupe. Puis vient la seconde partie dans une explosion de gore et de sauvagerie ultra réussi.
Les actrices, la realision, les maquillages et la B.O, tout est extrêmement réussis.
A voir d'urgence.
J'avais vu ce film a sa sortie, il a peut être moins d'impact aujourd'hui mais il est toujours appréciable la première fois. La détresse de ce groupe d'amies parait crédible à l'écran, ça fait un peu grosse science fiction à la fin mais ça reste correct. Pour ce qu'est des films d'horreur des années 2000, The Descent ne fait pas tâche et relève même un peu le niveau global.
Tout simplement l'un des meilleurs films d'horreur qu'il m'ait été donné de voir. The Descent possède un scénario simple, avec un minimum d'histoire de fond, mais efficace (ce que l'on demande principalement à un film de ce style). La première partie du film nous fait ressentir une pression qui va crescendo au cours de cette excursion spéléologique où vont s'enchaîner les coups du sort. L'ambiance oppressante installée se révèle être un must du genre. Même les personnes n'étant pas claustrophobes, comme moi, vont se sentir à l'étroit et constamment en stress. Et cette tension arrive à son paroxysme lors de l'autre moitié du film, dans laquelle un élément pour le moins inattendu va faire son apparition au sein de l'obscurité ambiante de la grotte dans laquelle nous avons embarqué. Un véritable survival prend alors place, laissant place à nos peurs les plus primaires et à l'hémoglobine. Toute la réussite du film repose sur l'atmosphère que Neil Marshall a su créé, à travers une réalisante nerveuse, une photographie travaillée et une musique subtilement choisie. Un sommet d'adrénaline et d'angoisse dans le paysage des films d'horreur actuels qui s'enchaînent et qui se ressemblent. De plus, le casting entièrement féminin, emmené par Shauna Macdonald et Natalie Mendoza, offre des prestations particulièrement convaincantes. On en ressort secoués, mais heureux d'avoir assisté à ce spectacle fort en émotions. Cette escapade gore et haletante s'impose directement comme un classique de l'épouvante selon moi. Dommage que les longs métrages de la sorte soient aussi rares.
Je viens de visionner The Descent. Il est précisément 2h15 du matin et je suis dans le noir complet. Autant dire que j'ai vu se film dans des conditions optimales et franchement... QUELLE CLAQUE ! Je n'ai pas d'autres mots. Ce film m'a passionné du début à la fin et pourtant il faut attendre 45-50 mim pour rentrer dans le vif du sujet mais l'histoire est si bien écrite et mise en scène qu'on ne voit pas le temps passer. L'histoire est captivante et surpasse largement tout les films de ce genre. Alors bien sûr qu'il n'y a pas que l'histoire qui est excellente, les acteurs jouent à la perfection. Leur prestation est impeccable et mention spéciale pour l'interprète de Sarah qui joue à la perfection l'évolution de son personnage. Et ce qui fait également la grande force de ce film c'est son ambiance. Le film est très sombre, les décors sont hideux (dans le bon sens du terme), c'est très glauque et oppressant, on a comme cette impression d'être enterré vivant avec les personnages. C'est tellement atroce que c'est absolument jouissif ! Ensuite la bande son c'est la cerise sur le gateau, elle est juste bluffante. La bande son est même l'élément le plus flippant du film à mon goût. Les différents sons sont placés de telle manière qu'on est constamment surpris même lorsque l'on s'attend à voir un jump scare. Et pour finir il faut que je parle des créatures. Elles font parties des plus belles créatures de films d'horreurs selon moi. Elles sont magnifiquement horrible ! Il n'y a pas d'autre facon de le dire ! Ces créatures sont complètement flippantes !
En conclusion, The Descent est un film à voir de toute urgence pour tous les amateurs des vrais films d'horreurs et les personnes qui cherchent à traumatiser leurs enfants pour qu'ils se tiennent tranquilles.
En conclusion, The Descent est un film à voir de toute urgence pour tous les amateurs des vrais films d'horreurs et les personnes qui cherchent à traumatiser leurs enfants pour qu'ils se tiennent tranquilles.
Faisant parti des meilleurs films d'horreur de la décennie selon de nombreuses personnes, The Descent est rapidement devenu un classique. Avec une histoire simple mais terriblement prenante, le film est une descente aussi symbolique que physique aux enfers pour les personnages, qui vont être confrontés à leurs peurs les plus profondes. Et la peur, elle est bien présente: claustrophobie, perte de confiance entre les membres du groupe, tout est fait pour que le spectateur ressente autant de peur que les personnages. Chose surprenante pour un film du genre, le casting est entièrement composé de femmes. Enfin, le final grandiose accompagné par une superbe bande son finissent d'émerveiller les pauvres mortels que nous sommes. Merci film.
Un film d’horreur qui fait assez peur, et qui sait très bien jouer sur les couleurs, les sons et les sensations. Une bonne première partie. Je le déconseille aux moins de 13 ans. 3/5
"The descent" fait partie de ces films surprenants, car ils sortent un peu de nulle part, et révèlent au final des qualité non négligeables. Neil Marshall a décidé de tourner un survival fantastique prenant, en créant la même ambiance que celle qui nous dérangeait dans "Délivrance" (la comparaison peut paraître osée, mais dans l'esprit, c'est vraiment semblable!). On attend, et on attend. On sent des légers frissons qui nous parcourent le dos, et pourtant rien d'étrange ne se passe. Jusqu'à ce que le noir complet se fasse, et que les angoisses des monstres, de l'obscurité et de l'isolement ne se réveillent. S'ensuit alors une course-poursuite haletante, pleine de sursauts, et où les amateurs d'hémoglobine seront amplement satisfaits. On peut juste reprocher les interprétations plutôt hasardeuses des actrices, mais il ne faut pas attendre non plus d'énormes compositions dans ce genre de films. "The descent", en se distinguant très nettement des navets actuels du genre, s'inscrit déjà dans la liste des futurs classiques de l'horreur.
Fêtons le cinéma
On entre dans la noirceur absolue pour n'en plus jamais sortir comme une plongée dans l'intériorité d'une femme et mère meurtrie qui trouve ainsi l'occasion de matérialiser ses gouffres existentiels ; le périple se mue aussitôt en chemin de croix au terme duquel le deuil impossible sera réalisé, les fantômes, qu'ils soient humains, monstrueux ou spectraux, effacés : tout se mélange, tous sont présents, réunis autour du gâteau d'anniversaire funèbre. Les monstres ne sont que des résurgences malformées de la maternité et de la progéniture perdue, enlaidies par l'affliction, détestées. La mère n'est d'ailleurs plus qu'une ombre au tableau de l'amitié ; on en parle en cachette, on y revient sans cesse. The Descent permettra d'y mettre un point final à grands coups d'hémoglobine et de plans claustrophobes ahurissants. Car Neil Marshall signe ici un chef-d’œuvre absolu, à mi-chemin entre le film d'horreur pur et le drame psychologique. Mêlant une violence primitive aux jeux de lumière esthétiquement superbes, du rouge au vert comme une signalisation qui laisse entrevoir une sortie, aussi funèbre soit-elle, le film propose un retour aux sources de l'angoisse : les personnages quittent la culture, reviennent au stade primal de leur développement. Un cauchemar remarquablement mis en scène, excellemment écrit.
Tout commence avec une simple expédition spéléologique mais dans une grotte inconnu et la tout tournera a l'horreur la plus total dans des effusions d'hémoglobine en veux tu en voilà .
Le film mise beaucoup sur la claustrophobie et ça marche parfaitement , on est angoissé quand les femmes passe dans des endroits étroits , tout est dans le noir sans non plus ne rien montrer et l'ambiance est une véritable réussite du début a la fin .
Petite chose un peu inutile mais a préciser les protagonistes du film ne sont en aucun cas de vulgaire clichés barbant comme on en voit tout le temps dans les films d'horreur OUF !
Ces femmes vont peu a peu devenir des bêtes sauvages et sans répit , deviennent elles comme les monstres qui les attaque ? Il y a une touche de psychologie agréable surfant sur l’instinct de survie .
On retrouve donc une ambiance très oppressante dans ce huis clos souterrain avec des monstres qui ressemblent a des "Gollum ", vraiment flippant ,violent et nerveux . Le film mise aussi sur le gore qui est aussi très réussit .
Les effets de lumières sont bien maitrisés jouant beaucoup sur les lampes , les flammes ou encore des fusées éclairante . On a aussi droit a un rythme effréné et captivant qui vient presque a être confus lors des affrontements avec les monstres .
Je regrette personnellement cette fin peu voir pas du tout approfondie , pour finir il faut savoir qu'il y a aussi quelques screamers plutôt réussit et bien placés qui font leurs effets , The Descent a finalement su se démontrer comme une référence dans le genre et n'est a manquer sous aucun prétexte pour tout fans d'horreur .
Le film mise beaucoup sur la claustrophobie et ça marche parfaitement , on est angoissé quand les femmes passe dans des endroits étroits , tout est dans le noir sans non plus ne rien montrer et l'ambiance est une véritable réussite du début a la fin .
Petite chose un peu inutile mais a préciser les protagonistes du film ne sont en aucun cas de vulgaire clichés barbant comme on en voit tout le temps dans les films d'horreur OUF !
Ces femmes vont peu a peu devenir des bêtes sauvages et sans répit , deviennent elles comme les monstres qui les attaque ? Il y a une touche de psychologie agréable surfant sur l’instinct de survie .
On retrouve donc une ambiance très oppressante dans ce huis clos souterrain avec des monstres qui ressemblent a des "Gollum ", vraiment flippant ,violent et nerveux . Le film mise aussi sur le gore qui est aussi très réussit .
Les effets de lumières sont bien maitrisés jouant beaucoup sur les lampes , les flammes ou encore des fusées éclairante . On a aussi droit a un rythme effréné et captivant qui vient presque a être confus lors des affrontements avec les monstres .
Je regrette personnellement cette fin peu voir pas du tout approfondie , pour finir il faut savoir qu'il y a aussi quelques screamers plutôt réussit et bien placés qui font leurs effets , The Descent a finalement su se démontrer comme une référence dans le genre et n'est a manquer sous aucun prétexte pour tout fans d'horreur .
Le saint graal du film d'horreur. Je pense que l'on n'a pas fais mieux qu The Descent dans ce genre. Ici on ne cherche pas à faire peur en mettant une musique stressante, en voulant faire sursauter le spectateur d'un coup, ou en le dégoutant. Non non, tout est ici fais avec génie, le réalisateur manie l'ambiance de cette grotte à merveille. De façon étonnante c'est la première partie du film, centrée sur la spéléologie, et finalement sans touche d'horreur, qui est la plus fascinante et stressante. Attention, la 2ème partie, plus action est aussi magnifique, mais finalement un poil moins bonne. Pas de cliché ici, les actrices sont crédibles, ne surjouent pas, montrent un courage hors-norme et pour une fois ne crient pas toutes les 2 secondes. Et puis cette idée de faire dérouler tout le film dans cette grotte, c'est juste énorme, ça fait tout en fait, on se sent oppressé, compressé. Et la 1ère fois où l'on voit ces créatures, le 1er plan, filmé avec la caméra nocturne, quelle merveille, le plan est super lent, dans un autre film on aurait fait surgir une créature d'un coup pour faire sursauter, mais là non, la créature est là, on la montre lentement et mon dieu ça fait peur ! Voilà, le meilleur film d'horreur jamais réalisé, à mon sens, et un super film tout court !
soniadidierkmurgia
Neil Marshall est arrivé sur la scène du cinéma d'horreur en 2002 avec "Dog Soldiers" variation vivifiante sur le thème de la lycanthropie. Trois plus tard il propose un survival musclé se déroulant dans une grotte lors d'une expédition spéléologique menée par six jeunes femmes n'ayant pas froid aux yeux. Clairement avec "The descent" qui lui donnera une visibilité internationale, Neil Marshall passe à la vitesse supérieure et fait entrer son film au budget modeste dans la catégorie des chefs d’œuvre tout à la fois du « survival » et de l’horreur. Il faut dire que l’idée d’enfermer six nanas dans une grotte était le pitch idéal pour réveiller chez le spectateur toutes les peurs d’enfant : peur du noir, claustrophobie ou vertige. Rien à redire, tout est là, on assiste à une véritable tuerie où ces dames n’ont rien à envier à Rambo et à ses émules. Bien sûr le film est truffé de références, prouvant que Marshall, cinéphile averti n’oublie pas ce qu’il doit à ses aînés : John Boorman ("Délivrance" en 1972) pour les décors et l'ambiance générale, Stanley Kubrick ("Shining" en 1980) pour le couloir de l'hôpital ou Francis Ford Coppola ("Apocalypse Now" en 1979) quand l’héroïne (Shauna McDonald) sort la tête de l’eau comme Martin Sheen en son temps à la poursuite d’un Brando devenu fou. Un must magnifiquement mis en image qui conserve toute son efficacité quinze ans après sa sortie et que l'on ne saurait trop que recommander à ceux qui souhaitent s’offrir une bonne frousse à pas cher. Quant à Neil Marshall, il n'a pas vraiment concrétisé depuis les espoirs placé en lui suite à deux échecs commerciaux ("Doomsday" et "Centurion") le faisant basculant dans la réalisation d'épisodes de séries télévisées.
Ti Nou
Il est rare que des films d'horreur parviennent à faire ressentir à ce point la claustrophobie et l'isolement. Il y a du « Alien » dans ce film de Neil Marshall, que ce soit dans la capacité du cinéaste à bousculer le spectateur ou dans le développement et l'évolution de son héroïne.
Roub E.
Du bon, très bon cinéma d horreur. S il paraît assez simpliste sur le papier The Descent réussi son coup en développant la psychologie de ses personnages pour mieux ne rien leur épargner par la suite. Car une fois la mise en place (un peu longue) effectuée on a un vrai film claustrophobe, avec des personnages qui vont se voir réduits à leurs instincts primaires pour sortir de cette grotte qui ressemble fort à une caverne de là pré histoire. C est gore, surprenant et surtout très prenant.
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