Une belle comédie dramatique. Les acteurs sont bons et l'histoire est touchante. Le genre de film qui nous fait réfléchir: "est-ce que j'aurais régi pareil que lui?"
Le cinéma français n'est pas parfait mais en ce qui concerne les films de guerre, je trouve qu'il est plutôt bon. Un bon film, très émouvant, avec un jacques villeret épatant.
Un Becker plutôt médiocre. Pas vraiment mauvais mais très décevant surtout quant on voit les autres réalisations du bonhomme (l'Eté meurtrier en premier). L'histoire est d'abord bisounoursienne puis tragique mais reste cousue de fil blanc et porté par une interprétation imparfaite (Benoît Magimel avec son faux accent rural relève d'une erreur de casting parmi les 3 bons acteurs que sont Villeret, Lhermitte et Dussollier). Mais la réalité est que tous les interprètes surjouent un peu leur personnage qui sont tous de bons gaies lurons buveurs de vins. Un film français de chez français qui de toute façon, ne reste pas longtemps dans les mémoires.
Une histoire poignante avec quatre très bons acteurs en la personne de Jacques Villeret, André Dussolier, Thierry Lhermitte et Benoît Magimel. Jean Becker réalise une fois de plus un très grand film.
Un Jacques Villeret, touchant et émouvant. Juste et sans fioritures ! Un grand Monsieur qui ne peut que nous manquer ... Ce film est une petite perle à voir de toute urgence !
Un film touchant et plein d'humanité qui retrace une histoire incroyable. Plein de singularité et de beaux moments, on apprecie ce film a sa juste valeur en se mettant dans la peau de chaque personnage. Tres beau film a voir.
Bien moyen à mon goût. Voici l'histoire de deux hommes célibataires qui jouent aux héros par l'intermédiaire d'un acte de résistance en temps de guerre pour attirer l'attention d'une femme qu'ils convoitent. L'idée de départ est déjà peu convaincante, on croirait voir deux gamins dans une cour de récréation. Les dialogues sont bien pauvres et on s'ennuie très rapidement. La cerise sur le gâteau demeure pour moi la scène finale sensé être émouvante et pourtant très navrante. Le petit garçon de Jacques qui n'aimait pas les numéros de clown de son père finit par scander le nom de celui-ci et ce grâce à une histoire brève qu'on lui a raconté sur son paternel. Comme quoi, c'est magique d'idolâtrer son papa en l'espace d'une trentaine de minutes.