Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
MCinéma.com
par Xavier Pichard
Avec les scénaristes, Becker a "romancé" le roman pour en faire une histoire plus épique, plus prenante, plus spectaculaire aussi, bref pour en faire un film... et une réussite.
Le Figaro
par Marie-Noëlle Tranchant
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Figaroscope
par Marie-Noëlle Tranchant
Becker a réuni une troupe d'excellents comédiens, avec Dussolier et Villeret rejoints par Thierry Lhermitte et Benoît Magimel. Et la magnifique Suzanne Flon.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Jean Becker a bâti un film classique, jamais trop accentué, à la fois léger et grave et, dans sa seconde partie, fort en émotion : un film comme la vie.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Studio Magazine
par Jean-Pierre Lavoignat
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Aden
par Philippe Piazzo
Si vous ne vous effondrez pas en sanglots après cette apothéose, c'est que vous êtes trop sensible aux détails - mais certains "tuent", comme on le sait, et comme l'indiquent Villeret et Dussollier qui jouent sans complexes les mêmes personnages à quinze ou vingt ans d'écart, une moumoute, un peu de maquillage et un éclairage approprié voulant donner le change ! Ce qui amoindrit considérablement la portée du récit en allégeant le poids du temps. Enfin, nul besoin d'être plus proustien que Marcel, a dû se dire, plein de bon sens, Jean Becker dont on se demande quand même si ce n'est pas son goût du travail bien fait qui lui joue des tours.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Ciné Live
par Emmanuel Cirodde
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Point
par Olivier De Bruyn
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Echos
par Annie Coppermann
Belle histoire, bouleversante à la lecture. Ici, le coeur se serre moins, pour cause d'accumulation de bons sentiments et de mise en scène très conventionnelle, même si les comédiens, Jacques Villeret et André Dussollier, Thierry Lhermitte et Benoît Magimel (remarquables) sont, chacun dans son registre, parfaits. Mais ce film très "qualité française" reste tout à fait honorable, et vient à point évoquer, à sa manière, l'absurdité des guerres...
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Première
par Olivier De Bruyn
Ces choses étant dites, le nouveau Becker se laisse gentiment regarder. Et dans le cadre de la distraction populaire (genre noble), il existe assurément moins recommandable.
La critique complète est disponible sur le site Première
TéléCinéObs
par Elodie Lepage
Mais si cette comédie ne distille pas autant de grâce que le récit de Michel Quint dont elle est tirée, elle en restitue fidèlement le propos : cultiver la dérision en toute circonstance.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Zurban
par Eric Quéméré
C'est d'ailleurs la partie du film qui, par son aspect insolite, fonctionne le mieux. Car, pour le reste, on reste en territoire archi-connu : des vedettes, au demeurant excellentes, font leur petit numéro, tandis qu'humour et mise en scène restent très bon enfant. Au point que toute cette histoire finit par ne plus paraître si "effroyable".
La critique complète est disponible sur le site Zurban
Cahiers du Cinéma
par Jean-Philippe Tessé
Elégie au coq chantant les deux pieds dans la merde, ode au pinard, à l'amitié et au cassoulet : tel est l'horizon définitif de ce cinéma ranci, où la pesante douceur de Suzanne Flon fait office de mascotte officielle.
L'Express
par Jean-Pierre Dufreigne
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Humanité
par Michaël Mélinard
En choisissant volontairement un certain réalisme dans la reconstitution, Becker vogue en eaux troubles. L'ambiguïté s'avère d'autant plus dangereuse qu'elle avance masquée et se présente sous les traits d'un gentil film familial. Oeuvre d'un cinéaste à succès, calibrée pour les passages en prime time sur les grandes chaînes nationales, " Effroyables Jardins " participe à une réécriture de l'histoire. A force d'affadir des faits d'importance, il offre une vision tronquée mais donne également à des esprits mal intentionnés l'occasion d'en faire une scandaleuse récupération.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Télérama
par Bernard Génin
Y avait-il vraiment de quoi faire un long métrage ? Pas sûr. Les adaptateurs ont ajouté un personnage féminin, étiré l'histoire au maximum, et Becker a filmé le tout plan-plan, misant sur son duo habituel, Villeret-Dussollier, qui en rajoute dans la truculence et l'émotion faciles. Cinéphiles purs et durs, passez votre chemin...
La critique complète est disponible sur le site Télérama
MCinéma.com
Avec les scénaristes, Becker a "romancé" le roman pour en faire une histoire plus épique, plus prenante, plus spectaculaire aussi, bref pour en faire un film... et une réussite.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
Becker a réuni une troupe d'excellents comédiens, avec Dussolier et Villeret rejoints par Thierry Lhermitte et Benoît Magimel. Et la magnifique Suzanne Flon.
Le Parisien
Jean Becker a bâti un film classique, jamais trop accentué, à la fois léger et grave et, dans sa seconde partie, fort en émotion : un film comme la vie.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Aden
Si vous ne vous effondrez pas en sanglots après cette apothéose, c'est que vous êtes trop sensible aux détails - mais certains "tuent", comme on le sait, et comme l'indiquent Villeret et Dussollier qui jouent sans complexes les mêmes personnages à quinze ou vingt ans d'écart, une moumoute, un peu de maquillage et un éclairage approprié voulant donner le change ! Ce qui amoindrit considérablement la portée du récit en allégeant le poids du temps. Enfin, nul besoin d'être plus proustien que Marcel, a dû se dire, plein de bon sens, Jean Becker dont on se demande quand même si ce n'est pas son goût du travail bien fait qui lui joue des tours.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Les Echos
Belle histoire, bouleversante à la lecture. Ici, le coeur se serre moins, pour cause d'accumulation de bons sentiments et de mise en scène très conventionnelle, même si les comédiens, Jacques Villeret et André Dussollier, Thierry Lhermitte et Benoît Magimel (remarquables) sont, chacun dans son registre, parfaits. Mais ce film très "qualité française" reste tout à fait honorable, et vient à point évoquer, à sa manière, l'absurdité des guerres...
Première
Ces choses étant dites, le nouveau Becker se laisse gentiment regarder. Et dans le cadre de la distraction populaire (genre noble), il existe assurément moins recommandable.
TéléCinéObs
Mais si cette comédie ne distille pas autant de grâce que le récit de Michel Quint dont elle est tirée, elle en restitue fidèlement le propos : cultiver la dérision en toute circonstance.
Zurban
C'est d'ailleurs la partie du film qui, par son aspect insolite, fonctionne le mieux. Car, pour le reste, on reste en territoire archi-connu : des vedettes, au demeurant excellentes, font leur petit numéro, tandis qu'humour et mise en scène restent très bon enfant. Au point que toute cette histoire finit par ne plus paraître si "effroyable".
Cahiers du Cinéma
Elégie au coq chantant les deux pieds dans la merde, ode au pinard, à l'amitié et au cassoulet : tel est l'horizon définitif de ce cinéma ranci, où la pesante douceur de Suzanne Flon fait office de mascotte officielle.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
En choisissant volontairement un certain réalisme dans la reconstitution, Becker vogue en eaux troubles. L'ambiguïté s'avère d'autant plus dangereuse qu'elle avance masquée et se présente sous les traits d'un gentil film familial. Oeuvre d'un cinéaste à succès, calibrée pour les passages en prime time sur les grandes chaînes nationales, " Effroyables Jardins " participe à une réécriture de l'histoire. A force d'affadir des faits d'importance, il offre une vision tronquée mais donne également à des esprits mal intentionnés l'occasion d'en faire une scandaleuse récupération.
Télérama
Y avait-il vraiment de quoi faire un long métrage ? Pas sûr. Les adaptateurs ont ajouté un personnage féminin, étiré l'histoire au maximum, et Becker a filmé le tout plan-plan, misant sur son duo habituel, Villeret-Dussollier, qui en rajoute dans la truculence et l'émotion faciles. Cinéphiles purs et durs, passez votre chemin...