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Leilo L
16 critiques
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5,0
Publiée le 30 décembre 2023
Ce film est une véritable œuvre d'art, à voir en double voir triple lecture, une allégorie très bien ficelé. Une fois l'univers compris, le minimalisme du film devient presque poétique. peut-être mériterait-il un remake un jour sans dénaturer l'œuvre original? En tout cas, j'ai adoré Jacques Robiolles et Michel Delahaye enspoiler: vampires hippies et les femmes sont vraiment charmantes, la beauté exotique de Kuelan HERCE sort vraiment du lot. Bonne découverte.
Totalement nul mais vraiment, graphisme médiocre, musique ressemble à des scènes érotiques, les femmes sont plus nue que habillée et le sang de couleur rose ses limite le slime de sos fantôme, j’ai perdu plus De 1h de mon temps de vie pour sa, tres déçu bref pourri Si des personnes aime ses juste pour les poitrines afficher
Mon dieu, mon troisième film de Jean Rollin ! J'ai survécu ! En fait avec le recul c'est un bon gars. Je veux dire ce mec en a rien à foutre, il fait n'importe quoi, on a des acteurs qui ont deux de tension, qui récitent leur texte comme des mauvais écoliers à la pièce de fin d'année (avec papa et maman tout fier de leur petit prodige qui joue la marguerite au second plan), le scénario incohérent au possible, les faux raccords, les costumes ridicules et surtout (et ça c'est un gros point positif qui sauve tout le film) les actrices qui se foutent à poil pour un oui ou pour un non.
Le tout donne un film complètement étrange, trop long, forcément chiant, mais tellement hypnotique, voir ces actrices porter des vêtements transparents, des cache tétons en forme de piques et tuer les autres avec (non mais sérieusement qui a pensé à ça ? ce type était en liberté ?), les deux frères vampires qui racontent des propos qui n'ont aucun sens tout en se finissant les phrases l'un de l'autre. Mais ahhhh ? mes yeux ont brûlé !
C'est kitch, les plans sont improbables. Mention spéciale à ce plan au repas qui cadre dans le vide et où les cousins se penchent pour rentrer dans la cadre jusqu'à finir par se cogner pour être les deux dans le cadre. Sérieusement Rollin il pensait à quoi ?
Heureusement qu'on voit de beaux seins tout le long du film et des scènes plutôt sexy, finalement il a le sens de l'érotisme il y a une ambiance vraiment étrange qui se dégage de tout ça.
Je pense que l'appréciation du film vient surtout du contexte, si je l'avais vu seul je me serai sans doute fait harakiri. Mais à plusieurs en faisant des commentaires sur la musique minimaliste qui ressemble beaucoup à un type qui tape sur de la taule par manque de budget et à un autre qui improvise sur sa guitare électrice un truc répétitif et chiant.
Bon du coup c'est rigolo, une bisserie bien débile à réserver aux fans du genre.
Belle réalisation pour un scénario trop convenue qui tourne un peu en rond. L'image et les éclairages sont particulièrement bien soignés. Une bonne surprise.
Le moins que l’on puisse dire c’est que l’on n’est pas en présence d’un grand film de Jean Rollin. L’interprétation du casting soit franchement lamentable, les costumes sont abominables et l’histoire assez grotesque. Par contre le moins que l’on puisse dire c’est que les actrices se dénudent très facilement, et l’on ne va pas s’en plaindre car certaines sont vraiment très belles. Et puis, la mise en scène fait preuve d’un certain charme, en grande partie grâce à une photographie qui apporte une certaine élégance. "Le Frisson des vampires" n’est donc pas un film d’horreur qui soit totalement à rejeter, même si ses nombreux défauts sautent aux yeux dès le départ.
Ce film porte clairement la marque de Rollin, son style poétique mais aussi ennuyeux. Difficile d'être pris par cette histoire de vampire grotesque mais chez Rollin on peut se consoler avec la nudité de ses actrices et ici on a droit à la très jolie Sandra Julien.
Une curiosité française je croyais que seul les américains avaient tourné ce genre de série Z à l'époque, le film va tout de même moins loin que ses confrères. on peut noter une certaine recherche dans les plans, des acteurs mauvais comme il se doit pour le genre et une bonne musique rock.
Jean Rollin traque l’étincelle poétique à travers l’imagerie. Il y a un moment dans ce film où il touche vraiment au but : quand il fait se promener une femme en robe de mariée dans un cimetière. La séquence des seins perceurs n’est pas mal non plus. Mais trop psychanalytiquement attendue. L’invention du duo de cousins vampires baba pédants vaut aussi le détour. On est en pleine veine psychédélique avec musique pop et horreur confondue avec la transgression érotique. Et la poésie n’exclut surtout pas l’humour.