Cette violence du cinéma Japonais qui ne s’est jamais vu auparavant, c’est incroyable ! Qu’on se le dise, c’est quoi tout ce déchaînement entre gros durs sado-maso Yakusa......! Ça gicle de partout et il y a même des scènes insoutenables qu’on s’efforce de rester concentré tant l’intensité est limite de l’insupportable.
Bien sûr que c’est basé sur un manga hardcore, le ridicule des scènes de type série BZ frôle l’excellence, une illumination sur cette culture japonaiserie et son histoire ensanglantée frappe fort, ces clans descendent des samouraïs.
Ces seigneurs ont code d’honneur bushido féodalisme, des enfants de cœur terribles, les vieux démons du Japon ressurgissent après-guerre, mise en scène en œuvre dans cette fiction, devenus les gangsters tatoués citadins dans leurs mégalopoles.
Yakusa fait sa loi à coup de katana, ouille ouille que ça leurs piquent, brûlent et bien frits, whaou ! Interdiction au moins de 17 ans, s’il vous plaît.... vouloir toujours chercher à excusez cet acharnement meurtrier subi par le poids individuel.
A peser équitablement dans la balance étiquetée société nipponne, la perfection, la sécurité, le mode de vie, paisiblement, les émotifs s’avèrent être des bombes à retardement, c’est Ichi The Killer qui entre en scene d'opérette culturelle, l’histoire du théâtral s’inscrit dans la lignée virulente virtuose virtuelle.
Yes is a funny games for crazy men... sous hypnose couvert d’hypocrisie aveuglante, c’est bon bon bon ni ni ni comme film sans hésitation, le message est clair et faisons-le passé, on a affaire à un pré-Battle Royale littéraire, le post chef-d’œuvre cinématographique.
Les mangas sont sordides, toute sorte de sexe description, glauque et de l’intelligence sort, ne rend pas violent nous même, par précaution éducative encadrée que c’est en vente libre librairie au pays des samouraïs Yakusa, on rigole un bon coup, puis choc pour les plus jeunes traumatisés, un peu de larme dure à supporter les tortures séquences.
Sur cette image posée objectif façonnée du Joker japonais est hypnotique, l’homme qui rit s’auto-mutilé ? Et c’est dingue !! Un sadique et masochiste élégant kitch sapé looser, et le final fait clap🎬 danse escalier croit voler s’écrase, l’arbre perché est suspendu, un phénomène des sociétés.