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Gentilbordelais
313 abonnés
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2,5
Publiée le 5 décembre 2019
ah, que les scénaristes américains ont de l'idée : recycler deux monstres marquants de la SF, affronter Alien et Predator et le combat musclé est assuré! ensuite, le scénario mêle habilement les genres cinématographiques dont la mythologie qui intrigue forcément. même si certains décors sont de qualité inégale et que des séquences d'action sont à grosses ficelles, le film rempli son rôle de divertissement spectaculaire.
L'affrontement entre deux des créatures les plus terrifiantes du septième Art, dans mon esprit, ne pouvait qu'accoucher d'un grand film. En tout cas, ce fut longtemps un rêve. Un rêve ? Un cauchemar plutôt. Avoir laissé Paul W.S Anderson écrire et réaliser Alien VS. Predator n'était pas la meilleure solution. Passer derrière Scott, Cameron, Fincher ou McTiernan est difficile. J'en conviens. Mais alors là ! Quel grand écart. On parle quand même de celui qui aura massacré Resident Evil et Mortal Kombat au cinéma et pondu d'autres chefs d’œuvre comme Course à la Mort ou Pompéi. On ne va quand même pas me faire croire que la Fox a pu être séduit par un tel pedigree. Comme il faut bien faire avec ce qu'on a, on retrouve une bande de mercenaires. Disons plutôt des mercenaires et des scientifiques qui passeront tous à la moulinette au fur et à mesure. C'est le principe. Ce n'est pas nouveau. Est-ce que ça en fait un défaut pour autant ? Non. Vu la brutalité des créatures, il est logique que les plus faibles restent sur le carreau. Qu'il n'y ait aucune violence, très peu de sang, juste des cris, ça en est un. Toute la partie préparatifs de l'expédition, découverte de la pyramide, exploration est assez ennuyeuse. Pas grand-chose à se mettre sous la dent. On devine aisément qui va survivre à la fin. C'était déjà le cas en 1987. Soyons bon prince. Ce qu'on veut voir, ce sont les deux monstres en action. C'est là qu'Alien VS. Predator décolle enfin. Sauf qu'une bonne heure est déjà passée. Sur les raisons de leur présence, j'ai longtemps nagé dans le brouillard. Jusqu'à ce que le spécialiste des hiéroglyphes simplement en décodant les signes donne l'explication. En l'espace d'un dialogue seulement. Le grand public devait s'impatienter en attendant les scènes d'action. Autant ne pas le laisser trop trépigner. La dernière demi-heure est consacrée aux affrontements. L'alliance spoiler: entre le Predator et la guide est d'ailleurs assez intéressante. C'est peut-être même la seule bonne idée qui pourrait être exploitée dans d'autres films Alien VS. Predator. Si un jour ça leur reprend l'envie de passer derrière les frères Strause.
Avec Alien Vs. Predator, Paul W.S. Anderson écrit et réalise un film réunissant sur grand écran deux créatures emblématiques du cinéma de science-fiction, pour un résultat de bonne facture. L'histoire se déroule en 2004 où un satellite détecte un mystérieux flux d'énergie localisé sur l'île Bouvet, au large de l'Antarctique. C'est alors que Charles Bishop Weyland, un riche industriel, fait enquêter les employés de son entreprise multinationale de communications sur la source de chaleur. L'analyse révèle une gigantesque pyramide recouverte par la banquise. Le dirigeant décide ainsi de recruter une équipe de scientifiques pour explorer et revendiquer ce qui y sera découvert. Seulement, l'expédition va virer au cauchemar lorsque les humains vont se retrouver au cœur d'une confrontation entre Aliens et Predators, isolés sous la glace. Ce scénario se laisse suivre pendant toute sa durée d'un peu plus d'une heure et demie. L'intrigue nous plonge immédiatement dans le bain de sang via son introduction pour ensuite nous embarquer dans cette expédition meurtrière par la suite. Elle se met petit à petit en place au fil des minutes en faisant monter l'attente et la tension avant que la rencontre ne se fasse. Le tout est assez convenu dans sa structure mais cela reste bien mis en pratique avec un bon rythme et une deuxième partie comportant pas mal d'action. Il en résulte des scènes d'affrontements de de mises à morts attendues mais bien ficelées. L'ambiance oppressante et inquiétante mêlant les univers des deux franchises est pour sa part réussie. L'ensemble est porté par des personnages ayant le mérite d'être un minimum développés, et la figure principale interprétée par Sanaa Lathan est appréciable. Le reste de la distribution comprend Lance Henriksen, Raoul Bova, Colin Salmon, Agathe de La Boulaye, Carsten Norgaard ou encore Sam Troughton. Il est tout de même difficile de s'attacher à une bonne partie de ces rôles tant ils ne sont juste présent uniquement pour servir de proies. Tous ces individus entretiennent des rapports basés sur la crainte et l'entraide afin de tenter de survivre. Des échanges soutenus par des dialogues somme toute corrects. Sur la forme, la réalisation du cinéaste britannique se veut plutôt qualitative. Sa mise en scène parvient à nous tenir en haleine dans le dédale anxiogène de ce temple et à bien iconiser les créatures des deux camps. Celles-ci sont d'ailleurs crédibles à la faveur d'animatroniques et d'effets spéciaux convaincants, même s'ils comportent quelques faiblesses par moments. Ce visuel sombre et violent est accompagné par une bonne b.o. signée Harald Kloser. Ses compostions sont puissantes et impactent les images en plus de renforcer l'atmosphère. Reste une fin satisfaisante, bien qu'attendue, venant mettre un terme à Alien Vs. Predator, qui, en conclusion, est un long-métrage tenant sa promesse initiale, même si, au final, l'intérêt de ce duel est plutôt moindre.
Ce film, qui met en scene les 2 créatures les plus classe et les plus meurtrieres dans l' histoire du cinéma, se revele de bonne facture ( moi qui m' attendais à moins bon ). Certes, artistiquement il n' égale pas ces prédecesseurs mais il est tout de meme largement mieux que Alien 3 et Predator 2 !!!! Les puristes vont crié au scandale sur la tournure de la trame scenaristique ( je ne revelerais rien ), mais qu' importe, Paul Anderson a fait son meilleur film, on en prends plein les mirettes par les combats bourrins, les effets speciaux réussis,... Bref on passe un bon moment, dommage k' il y ait quelques excités sur le forum ki assassine le film avant de l' avoir vu...
Un des pires films que j'ai vu dans ma vie. C'est mauvais du début jusqu'à la fin c'est plat, mal joué. C'est rare que je m'endorme devant un film et le pire c'est que je n'étais pas le seul à m'endormir devant ce film là. J'ai quand même fait l'effort de regarder la partie manquante mais vraiment ça ne change rien le film est mauvais.
je peux pas dire que ce soit extraordinaire et surtout si on suit la chronologie ce film est censer être le premier contact alien. l idée de l allié à prédator est un peu douteux pour moi. je ne sais pas si c est deux monstres mythique font bon ménage ensemble. bref en tout cas on est plus sur le film d action que le film science-fiction on perd un peu du truc le huit clos étouffant d un vaisseau perdu au milieu de l espace mais l idee d une expédition qui part a la découverte d une ancienne civilisation aztèque pourquoi pas. le réalisateur se plaît sans être génialissime d inventivite à nous faire fighter avec style nos deux vilains jusqu à une fin des plus basiques il y a par contre une bonne bande sonore avec un thème sympa. au final on apprend rien de bien nouveau et le film s oublie et apporte peu à la franchise alien
C'est un peu comme mettre une araignee et un scorpion dans le meme bocal. Le cinema est le cinema, des fois il faut s'en foutre du sens et de la complexite du scenario. Se faire affronter deux monstres legendaire, ca pete. C'est emballant et divertissant sans se prendre la tete.
Alien VS Predator ???, voilà bien un titre qui fleure bon le nanard typé 60’s ou 70’s. Et pourtant si Paul W. S. Anderson (connu pour avoir réalisé "Mortal kombat", "Event horizon", ou encore "Resident Evil" entre autres) ne livre pas là un chef-d’œuvre, loin s’en faut; son long métrage vaut quand même bien mieux que les critiques assassines dont il a fait l’objet à sa sortie. En fait dès 1989, la Fox (propriétaire des 2 franchises) avait donné son accord malgré la perplexité de J. Cameron et de R. Scott pour l’édition en BD d’un crossover réunissant les deux monstres sacrés (accord qui transparaît d’ailleurs déjà lors d’une furtive apparition à la toute fin du film "Predator 2" sous la forme d’un crâne d’alien). Crossover qui 15 ans plus tard servira de base à l’élaboration du scénario écrit par Anderson lui-même. A voir pour les amateurs du genre, et surtout à préférer à ses avatars (suites, préquelles et/ou remakes tous aussi peu intéressants les uns que les autres).
1ère transposition sur grand écran de 2 des monstres les plus appréciés des geeks. Ces derniers faisaient déjà leur joie sur tous les supports possibles et cette adaptation ciné est donc plus un prolongement marketing qu'autre chose. Si les personnages crées au cinéma retournent aux sources, ce voyage là s'avère bien délicat. Confié au tâcheron P. W.S Anderson, le film vise tous les publics avec une violence largement édulcorée. De plus, le scénario est catastrophique et n'implique jamais le spectateur (les acteurs n'aidant pas, ils sont tous mauvais, S. Lathan en tête). Si on retrouve certains éléments des différentes sagas, ces derniers sont mal exploités et on attend juste la scène suivante, sans excitation particulière. Mais il y aussi quelques scènes réussies, un refus des effets numériques assez salvateur et des séquences de baston qui s'avèrent parfois jouissives. Si Anderson ne provoque ni effroi ni tension par sa mise en scène, il s'y entend dans les scènes d'action qui défouraillent et rentabilisent son budget assez "light" pour un tel projet. C'est donc de la bonne série B qui ne fait même pas d'ombre à tous les films des différentes sagas, qui ne racontent rien d'autre que ce qu'on voit, qui multiplient les clins d’œil à l'attention des fans hardcore mais qui oublie de nous contenter vraiment. D'autres critiques sur
Un drôle de film avec comme héroïne unique une spécialiste de Shakespeare. Pour une fois un scénario original et bien trouvé qui tient la route dans l’imaginaire. Rien à redire, c’est assez rare. Malheureusement la mise en scène est absente, tout va trop vite et l’horreur excessive fait disparaître le suspense qui est quasiment inexistant par rapport au premier Allien. Ce n’est visuellement jamais beau. Résultat final : il serait bien plus agréable de découvrir en lecture cette histoire inventée qui mélange harmonieusement le passé (Egypte ancienne, les alliens, les prédators, les humains comme gibier et le mystère d’une pyramide) plutôt de d’être submergé par des effets spéciaux qui finissent par lasser. Aucun acteur ne se distingue si ce n’est celui qui campe le prédator final qui joue le rôle archi connu que tous les cinéphiles amateurs de films d’aventures ont vu des centaines de fois. A trop en faire, on finit par mal faire ; adage bien connu.
Rares sont les films comme Alien VS Predator qui se situe quelque part entre le navet et le petit classique. Sans doute l'un des meilleurs films de Paul WS Anderson. Le long métrage manque de ressorts horrifiques, et ne s'illustre que le temps d'une trop courte confrontation.
Alien vs Predator où la rencontre incroyable entre les deux plus grands ennemis extraterrestre de l'homme. Si l'idée de ce cross-over peut paraitre farfelue et laissait craindre le pire, il faut avouer que le résultat obtenu de ce mixage est assez délicieux ! Agrémenté d'un scénario intelligent et expliquant comment la rencontre des monstres est possible, on se retrouve avec les malheureux humains plongé dans un labyrinthe mouvant au sein d'une pyramide ancestrale et oubliée. Une fois dans leur tombeau, le combat peut commencer et il reste à savoir qui sortira vainqueur de combat à trois. De l'action à outrance, une belle mythologie, des effets spéciaux réduits à leurs stricts minimum, on assiste à un super film qui surpasse certains Aliens et le Predator 2, ce qui n'était pas forcement gagné au départ. Trop décrié car ne respectant pas forcement l'univers de leurs films respectifs, Alien vs Predator doit se regarder comme un film séparé de ces saga et alors vous pourrez savourer ce combat épique !