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    Le Festin nu
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    92 critiques spectateurs

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    mx13
    mx13

    246 abonnés 1 918 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 14 septembre 2018
    Un film légèrement décevant, l’histoire est insensée, mais c’est le but d’une œuvre fantastique voire surréaliste. Une analyse apocalyptique et terrifiante de la consommation de drogues. Un exterminateur de cafard se drogue avec les produits, qui tuent ces petits insectes. Très nauséabond, mais le film peut montrer un visage plus radieux de temps à autres, avec une luminosité plus claire, des couleurs plus vives et des séquences mieux mises en scène. William Lee l’héros est un personnage marrant et sympa qui donne bon train à l’histoire. Un scénario bizarre et délirant, mais sympa à voir sous alcool.
    Cronenberg puissant avec ses adaptations de romans (ou BD) à l'écran, mais Naked lunch, n’est sûrement pas le meilleur (Crash, Cosmopolis ou encore À history of violence). Des dialogues plus ou moins schizophréniques sympas et rigolos. Magnifiques décors, le cafard en forme de machine à écrire est culte. Sans oublier des bons costumes, maquillages, mise en scène, etc. Je le déconseille aux moins de 13 ans. 3/5
    konika0
    konika0

    28 abonnés 778 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 27 octobre 2017
    La drogue est le meilleur ennemi de l’art. Je commence généralement par un petit point synopsis mais encore faut-il que j’en sois capable. Sur les presque deux heures de film, je n’ai vraiment compris que les 10 premières minutes. Alors c’est sûr, c’est assez joli même si tout cela a très mal vieilli. Et puis oui, c’est Cronenberg alors on est priés de faire un effort. Alors faisons-le. On peut supposer que tout ça raconte les affres de la création artistique, l’angoisse inhérente à l’écriture, la fascination pour les fétiches. On retrouve, aucun doute là dessus, les manies de Cronenberg et notamment son rapport au corps et à la sexualité. Les rappels à la trivialité et au désir parsèment le film. Bon. Voilà. Au delà de ça, le néant. Je n’ai pas lu le roman dont le film est l’adaptation mais étant donné la réputation de celui-ci, je ne m’y risquerai pas. Bref, parfois, 110 minutes, c’est long.
    In Ciné Veritas
    In Ciné Veritas

    90 abonnés 922 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 février 2017
    C’est un peu forcé par son producteur que David Cronenberg se lança dans l’adaptation cinématographique du roman éponyme de William Burroughs. Prenant donc appui sur un récit écrit jugé inadaptable, il aura fallu tout le talent de scénariste et de réalisateur du cinéaste canadien pour aboutir à un film très convaincant.
    Rapidement, l’enchaînement de scènes incongrues donne forme et sens à un univers fantasmé dont le spectateur ne pourra s’extraire qu’à l’apparition à l’écran du générique de fin. Le récit en partie autobiographique de William Burroughs est celui d’un esprit malade et tourmenté. Entre addiction aux drogues, homosexualité, hallucinations et affres d’écrivain, le fil narratif est source de multiples visions fantasmées flirtant avec des apparitions cauchemardesques. Et chacune de ces visions prête le flanc à autant de lectures et interprétations qui seront propres à chaque spectateur. Bienvenue en Annexie !
    Kloden
    Kloden

    126 abonnés 997 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 27 avril 2016
    Je n'ai pas lu le livre de Burroughs, et si j'assimile intégralement dans cette critique le roman à l'adaptation de Cronenberg, c'est peut-être une erreur. Toutefois, je crois que le film a conservé l'essence de son pendant littéraire même en la décorant des obsessions du canadien (distorsion de la réalité, mélange de l'organique et du cérébral). Le vrai cœur de ce Naked Lunch, oeuvre réflexive au possible, demeure en effet une dissertation confuse et brouillonne sur le mal de l'écrivain. Ni vraiment un trouble identitaire (symbolisé par l'orientation sexuelle vacillante du personnage, prolongement directe de celle de Burroughs), ni vraiment la recherche d'un moyen de stimulation, d'un aphrodisiaque (la drogue ou le sexe, là encore), les causes des névroses qui voient l'écrivain perdre les pédales dans sa volonté de création paraissent être plus troubles et complexes. Voilà qui excuse un peu la vanité de l'écriture, sans doute directement héritée du roman, qui tourne en rond dans des délires hallucinés et complètement désorganisés. Un peu, d'accord, mais surtout pas complètement. La scène finale, qui prétend achever une progression en forme de chemin de croix où l'écrivain réalise la nécessité d'un quasi-sacrifice de lui-même pour continuer à écrire, remet plutôt en lumière la faiblesse thématique d'un récit qui n'a pratiquement pas progressé. Le Festin Nu, en effet, se contente d'étaler une symbolique en apparence absconse alors que le mystère qu'elle voudrait préserver pour découvrir petit à petit le mal-être qui la sous-tend ne tient pas une seconde. Le langage littéraire omniprésent, rien qu'à lui-seul, se charge trop vite de laisser deviner où ira le désespoir glauque qu'essaie de laisser suinter l'image dans une surenchère de bizarrerie qui tourne à vide et finit par devenir incroyablement lourde. Je n'aurai pas pensé que Cronenberg puisse me décevoir de la sorte.
    gimliamideselfes
    gimliamideselfes

    3 083 abonnés 3 968 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 17 novembre 2015
    J'ai abandonné toute pensée rationnelle comme le conseillait la jaquette du DVD et j'ai bien aimé, sans doute pas le film de Cronenberg qui m'aura le plus marqué (Videodrome est sans doute en première place), mais c'est assez crade, dérangeant, en dehors de tout ce qui peut se faire ce que ça suffit pour retenir mon attention. Surtout que je l'ai vu dans un état de fatigue assez avance et que par conséquent les hallucinations me faisaient croire que j'étais déjà entrain de rêver moi aussi. Une bonne expérience donc.

    J'aurai cependant aimé que tout ceci soit un peu plus intriguant, c'est tellement le bordel que très vite ces histoires de rapport je m'en fiche un peu, j'aurai aimé peut-être que ça soit plus premier degré, histoire de ne pas savoir si on est dans le fantasme ou dans la réalité. Enfin ça relève du détail.

    On a des scènes qui relèvent typiquement du rêve, je pense à la scène avec Ian Holm qui explique qu'il tuer sa femme inconsciemment et qu'il est entrain de parler au héro par télépathie... Ah... c'est à la fois jouissif et totalement perturbant. Le genre de scène qui n'a de sens que dans un cauchemar.

    Et puis j'aime bien le côté assez immonde du film, avec la machine à écrire qui se transforme en anus parlant...
    C'est complètement déjanté, un film devant lequel il faut se poser et encaisser, surtout ne pas réfléchir et continuer à encaisser toutes ces bizarreries...

    Vraiment plaisant.
    Yannickcinéphile
    Yannickcinéphile

    2 418 abonnés 4 452 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 septembre 2015
    Le Festin nu est un métrage attrayant de David Cronenberg, qui malheureusement, comme souvent chez le réalisateur, ne parvient jamais franchement à s’extirper du concept expérimental, affaissant un peu le propos. Mais il faut être honnête, le résultat est ici mieux maitrisé par le réalisateur que dans certains autres de ses films à l’instar de Crash ou même de Vidéodrome.
    Côté casting on est servi avec des interprètes de haut vol qui viennent faire leur numéro dans la peau de personnages plus étranges les uns que les autres. On retiendra bien sur la prestation très solide de Peter Weller, dont le charme froid fait merveille, surtout en contraste avec le flegme qu’il manifeste ici de long en large. Dans les autres acteurs, parmi lesquels on reconnaitra Ian Holm ou Roy Scheider, j’ai surtout relevé l’interprétation brillante de Julian Sands. Il est détonnant dans son rôle d’Yves Cloquet, et chacune de ses apparitions est un grand moment. Globalement les acteurs sont au top.
    Le scénario va dérouter. Partant sur des bases « normales », le film en vient très vite à un style surréaliste souvent déroutant, peuplé de créatures étranges, et évoluant au gré d’une intrigue qui se moque de la réalité, de la crédibilité ou de la logique. Le Festin nu est en fait une plongée dans le subconscient, et on a l’impression d’être dans un rêve ou un cauchemar (c’est selon). Pour ma part ce film est l’un des plus efficaces pour restituer cette impression que j’ai pu voir. Néanmoins il y a deux soucis. D’une part le film ne se veut pas complétement déroutant, et introduit donc des bribes d’histoire cohérentes de temps à autre. Ce n’est pas forcément malvenu, mais cette hésitation qui pointe parfois entre le rêve et la réalité a de quoi désappointer. Deuxième petit souci, le film dure presque 2 heures, et il faut avouer que passer un film de 2 heures sans une colonne vertébrale de fond, c’est parfois lassant malgré l’imagination indéniable du métrage.
    Visuellement Le Festin nu est peu critiquable. Les décors sont beaux, souvent audacieux, et dégage une belle ambiance souvent rassurante d’ailleurs, ce qui n’est pas un mal vu les créatures peu rassurantes elles. Les effets spéciaux sont vraiment très bien faits malgré l’âge du film, et même si l’animation laisse un peu à désirer, c’est surtout sur le design que la réussite est sensible. On retrouve bien l’imagination de Cronenberg. Ce dernier soigne sa mise en scène, bien qu’à mon sens il a toujours été plus doué pour concevoir des univers que pour les filmer. Mais enfin Le Festin nu, sur la forme tient la route, tout comme sur l’aspect sonore d’ailleurs, avec une intelligente musique jazz qui renforce cette ambiance rétro agréable.
    Pour ma part ce métrage est une réussite malgré tout. Bien sûr faudra accrocher au style Cronenberg, mais c’est un film original, audacieux, mais qui n’a pas totalement réussi à assumer sa dimension expérimentale et son propos. L’un empiète souvent sur l’autre, et Le Festin nu a du coup un aspect un peu bancal qui pourra embêter certains spectateurs. 4.
    Scorcm83
    Scorcm83

    103 abonnés 508 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 février 2015
    Cronenberg n'est décidément pas un réalisateur comme les autres. Sa filmographie se divise en deux, entre une partie plus commerciale et facile d'accès, réaliste qui comprend des films tels que "A History of Violence" ou "Les Promesses de l'ombre", récemment "Maps to the Stars" ou encore le très célèbre "La Mouche"; et une partie beaucoup plus intimiste, abstraite et complexe. Le Festin Nu entre dans cette deuxième catégorie. Et dans cette catégorie, il y a des films que j'ai pas vraiment aimé comme "Crash" et d'autres que j'ai vraiment apprécié. J'ai aimé, et même beaucoup aimé le Festin Nu, certainement pour son ambiance. Et cette ambiance est construite par tout un tas de facteurs, des personnages décalés et étranges, une bande son entre compositions d'Howard Shore et morceaux de Jazz et surtout des effets spéciaux bluffants et encore une fois extrêmement glauques. Je ne sais pas si le livre est aussi bizarre que le film, ce dont je ne doute pas, mais c'est vraiment une oeuvre à part, déroutante et qui ne cesse de nous questionner. Différentes thèmes y sont traités tels que la création littéraire, la drogue, la solitude (encore une fois), l'homosexualité et sont mélangés de telle sorte que l'on ne sait jamais où se situer entre le fantastique et le réel. Nous sommes dans les divagations psychologiques en même temps que le personnage, et c'est ce qui m'a le plus plu. Ne jamais savoir véritablement quoi penser, mais se laisser porter par l'univers surréaliste du film, mis en scène avec sobriété tout en étant viscéral.

    Encore une oeuvre étonnante de la part du cinéaste canadien, et une très bonne surprise de mon point de vue. A voir !
    Redzing
    Redzing

    1 130 abonnés 4 481 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 23 janvier 2015
    Un exterminateur d'insecte devient accro au poison qu'il utilise, et commence à halluciner. C'est alors qu'un croisement entre un cafard et une machine à écrire lui dicte des instructions... "Naked Lunch" n'est clairement par un film qui plaira à tous. On peut saluer l'originalité du sujet, la manière d'aborder le thème de la création, ou les pulsions homosexuelles. La mise en scène cauchemardesque de Cronenberg vaut aussi le coup d'oeil, avec des couleurs criardes jaunes et vertes, et du body horror visqueux et répugnant comme il se doit. Le problème, c'est que le film enchaîne les scénettes surréalistes avec très peu de logique, part dans tous les sens, et ne semble pas avoir de but. Par ailleurs, le jeu très froid des acteurs (pourtant talentueux à la base) fait qu'on se préoccupe assez peu du sort de leurs personnages. "Naked Lunch" dispose donc de bonnes idées, mais est un film peu captivant et difficile à suivre.
    7eme critique
    7eme critique

    537 abonnés 2 778 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 6 décembre 2014
    Cronenberg utilise sa patte folle et extrêmement barré dans "Le festin nu" pour en faire un objet unique. Un mélange de cafards géants qui causent avec leur espèce d’anus (oui oui, c'est plutôt dégueulasse), des personnages tout droit sortis d’une planète lointaine et méconnue, tout en ajoutant un peu de drogue particulière, de sang, et d’homosexualité à ce scénario où le mot original trouvera toute sa place. Ce fourre-tout sera difficile à décrypter. On ne sait pas où l’on va, mais on sait en tout cas qu’on se dirige dans un univers très étrange et très personnel, celui de Cronenberg. Sortez les pagaies, que ce soit les dialogues, les métaphores et autres loufoqueries, il va falloir ramer pour atteindre une totale compréhension. "Le festin nu" ou "le résultat de l'écriture et la réalité croisées".
    cocolapinfr
    cocolapinfr

    67 abonnés 634 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 3 décembre 2014
    Quelle claque! Oeuvre semi-autobiographique de Burrough, le heros "Bill" plonge dans la drogue suite à la mort accidentelle de sa femme. Cronemberg nous transporte dans l'esprit dérangé de ce toxicomane, mélange d'écriture littéraire et d'hallucination, la où le fantastique n'existe pas, là ou l'impossible est réalité. Absolument brillant et incroyablement adapté.
    Kubrock68
    Kubrock68

    42 abonnés 1 269 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 26 juin 2014
    Un écrivain repenti se drogue avec des produits qui tuent les insectes. C'est complètement délirant mais fantastiquement réalisé. Je n'ai pas lu le livre et ne connais donc pas le degré de liberté de Cronenberg, mais le résultat est très réussi. Les passages de la "réalité" au rêve, ou plutôt cauchemar, sont déroutants mais ils font l'originalité du film. Il faut se laisser plonger dans l'histoire et ne pas chercher à tout comprendre. Un film de Cronenberg tiré d'un roman qu'on croirait écrit pour lui.
    Plume231
    Plume231

    3 908 abonnés 4 639 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 15 avril 2014
    J'avoue que c'est pas très cinéphile comme attitude mais je préfère très largement le David Cronenberg commercial de "La Mouche" ou des "Promesses de l'ombre" que le David Cronenberg 100 % Cronenberg. Je suis totalement largué par ce dernier même s'il a le grand mérite d'avoir un style unique et clairement identifiable ainsi que des effets spéciaux époustouflants.
    Pour "Le Festin nu", les trucages avec les insectes extraterrestres sortis du délire d'un toxicomane sont incroyables de réalisme. Mais pour ce qui est de l'intrigue... Bon on arrive à piger facilement que c'est à base de drogue à base de poudre pour tuer les cafards, d'homosexualité assumée et de recherche créative. Mais le tout dans une histoire qui se veut tellement hermétique qu'on peine à s'y intéresser ; le fait que le rythme est languissant et que le film est répétitif n'arrange rien à l'affaire.
    Avec David Cronenberg, pour moi soit ça passe totalement soit ça ne passe du tout ; là ça n'est pas passé du tout...
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 20 janvier 2014
    Naked Lunch (titre original) est pour le moins un ovni cinématographique! Rien ne sert de tenter de raconter l'histoire car peut importe la qualité du résumé,il ne saurait arriver à la hauteur de ce chef-d' y est original : le scénario,l'image,la vie des acteurs en mouvement,la musique (signée par Howard Shore et Ornette Coleman s'il vous plait !!!) le climat.....Un film qui ne laisse pas indifférent,c'est le moins que l'on puisse dire!!Une performance de Cronenberg car l'adaptation du roman était déclarée "impossible" par tous les professionnels de la profession !!!!! A voir en vo ou vostf !
    Pour la petite anecdote : le musicien qui joue la batterie dans la B.O n'est autre que le fils d'Ornette Coleman !
    Santu2b
    Santu2b

    252 abonnés 1 785 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 14 janvier 2014
    A l'orée de la décennie 1990, David Cronenberg décide d'entreprendre ce que bien d'autres cinéastes ont tenté avant lui, avant de jeter l'éponge : adapter le roman jugé inadaptable "Le Festin nu" de William S. Burroughs, écrivain sulfureux et grand artisan de la Beat Generation. Au final, l'entreprise est plutôt réussie sur le fond. Le livre jouit d'une belle harmonisation et le résultat filmique en devient même surprenant tant l'oeuvre de Burroughs colle parfaitement à l'univers du cinéaste et à ses diverses obsessions. Ici, celles-ci, notamment la passion quelque peu morbide des corps, se trouvent pleinement matérialisées à travers l'univers des centripètes et autres cafards hantant l'esprit du protagoniste principal. Regarder "Le Festin nu" est donc forcément une expérience où comme souvent chez Cronenberg, le spectateur ne doit pas avoir peur d'affronter parfois le ridicule. En effet, le film se situe clairement à double tranchant, partagé entre des scènes proprement fascinantes et indélébiles (la machine à écrire se changeant en insecte, la "bouche" de celui-ci...) et d'autres qui tombent en revanche complètement à plat, voire qui frisent le grotesque. Dommage que l'interprétation de Peter Weller soit si froide et plate. A voir.
    gnomos
    gnomos

    54 abonnés 660 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 30 octobre 2013
    Je n'ai rien compris et c'est d'un ennui mortel, sans même parler parler de la musique qui m'a cassé les oreilles. Et toujours Maroc et homosexualité masculine sont associés, ça me gave. Basta.
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