Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
7 critiques presse
Chronic'art.com
par Charlotte Garson
Si l'ironie corrosive du premier film perd de sa densité dans le second, cette Angleterre filmée sur le ton des Lettres persanes offre sur un ton inouï, une érudition à la Peter Greenaway (mais sans son pédantisme) et surtout une lucidité salutaire.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Le Monde
par Thomas Sotinel
Il n'empêche que la vision de ces deux films offre une perspective imprévue sur un autre cinéma anglais, loin des comédies sentimentales ou des films de gangster cockney.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Un documentaire fictionné, farfelu et dandy sur le désarroi intérieur du Royaume-Uni.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Antoine de Baecque
Cela peut faire hurler de rire, mais, surtout, impressionne : comment faire de la véritable identité de Londres son absence radicale. Grâce à Patrick Keiller, Londres aura donc été la première métropole à disparaître, rayée de la carte .
MCinéma.com
par Camille Brun
Des films qu'on aime donc pour ce qu'ils ne sont pas (comme les autres) plus que pour ce qu'ils sont vraiment... Reste que très proches l'un de l'autre, les deux longs métrages peinent à se distinguer, et ainsi à justifier leur coexistence.
Télérama
par Pierre Murat
D'où ces deux films bizarres, réalisés par Patrick Keiller, cinéaste indépendant qui se réfère visiblement aux premiers documentaires de Peter Greenaway. Même goût de l'ordre et de la méthode. Même passion pour les énumérations, les listes, les chiffres. Même intérêt pour le décalage absurde.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Zurban
par Stéphane Brisset
Bien sûr, il faut se laisser porter par le fourmillement de sens qui naît des images. Si cela demande un peu d'effort, on n'est toutefois pas déçu par le résultat.
Chronic'art.com
Si l'ironie corrosive du premier film perd de sa densité dans le second, cette Angleterre filmée sur le ton des Lettres persanes offre sur un ton inouï, une érudition à la Peter Greenaway (mais sans son pédantisme) et surtout une lucidité salutaire.
Le Monde
Il n'empêche que la vision de ces deux films offre une perspective imprévue sur un autre cinéma anglais, loin des comédies sentimentales ou des films de gangster cockney.
Les Inrockuptibles
Un documentaire fictionné, farfelu et dandy sur le désarroi intérieur du Royaume-Uni.
Libération
Cela peut faire hurler de rire, mais, surtout, impressionne : comment faire de la véritable identité de Londres son absence radicale. Grâce à Patrick Keiller, Londres aura donc été la première métropole à disparaître, rayée de la carte .
MCinéma.com
Des films qu'on aime donc pour ce qu'ils ne sont pas (comme les autres) plus que pour ce qu'ils sont vraiment... Reste que très proches l'un de l'autre, les deux longs métrages peinent à se distinguer, et ainsi à justifier leur coexistence.
Télérama
D'où ces deux films bizarres, réalisés par Patrick Keiller, cinéaste indépendant qui se réfère visiblement aux premiers documentaires de Peter Greenaway. Même goût de l'ordre et de la méthode. Même passion pour les énumérations, les listes, les chiffres. Même intérêt pour le décalage absurde.
Zurban
Bien sûr, il faut se laisser porter par le fourmillement de sens qui naît des images. Si cela demande un peu d'effort, on n'est toutefois pas déçu par le résultat.