Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
7 critiques presse
Obejctif-Cinema.com
par Bernard Payen
Charlotte Silvera filme un sentiment rare chez les enfants de cinéma : la colère d'une fillette dont le monde a changé.
Le Monde
par Isabelle Regnier
Ces clichés n'ont d'autre qualité que d'être identifiables. Hésitant entre nostalgie et amertume, la réalisatrice ne trouve pas sa voie. Elle parvient tout juste à illustrer une idée du cinéma certes jolie, mais éculée, comme art de l'enfance, du rêve, de l'école buissonnière.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
MCinéma.com
par Olivier Pelisson
On ne croit pas aux personnages, ni aux dialogues, qui font souvent très récités dans la bouche de la p'tite Judith. Les jeunes actrices ne sont pas convaincantes et la série de personnages croisés au hasard des scènes n'ont pas le temps d'exister. (...) Dommage, car le projet et l'énergie dégagée étaient louables, et Charlotte Silvera a mené son film à la force de ses bras. On reste sur sa faim.
Première
par Stéphanie Lamome
Mais cette cavale, filmée en DV (...) manque son but : pas d'étincelles dans les yeux ni dans le scénario, lourd comme une mauvaise thérapie express.
Studio Magazine
par Thierry Cheze
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Télérama
par Isabelle Fajardo
La réalisatrice prétend opposer, sur le mode ludique, la sincérité enfantine à l'hypocrisie du monde du spectacle. Pourquoi alors filmer sa petite actrice en train de faire la grimace ? Pourquoi en faire une Zazie affectée ? Pourquoi lui truffer la langue de (bons) mots d'adulte ? Un vagabondage factice.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Zurban
par Véronique le Bris
Les dialogues se contentent de formules définitives qui tombent à plat. La caméra n'offre pas plus de relief et les acteurs, pourtant des pointures, sonnent faux. Le tout finit par être sans intérêt, voire carrément horripilant.
Obejctif-Cinema.com
Charlotte Silvera filme un sentiment rare chez les enfants de cinéma : la colère d'une fillette dont le monde a changé.
Le Monde
Ces clichés n'ont d'autre qualité que d'être identifiables. Hésitant entre nostalgie et amertume, la réalisatrice ne trouve pas sa voie. Elle parvient tout juste à illustrer une idée du cinéma certes jolie, mais éculée, comme art de l'enfance, du rêve, de l'école buissonnière.
MCinéma.com
On ne croit pas aux personnages, ni aux dialogues, qui font souvent très récités dans la bouche de la p'tite Judith. Les jeunes actrices ne sont pas convaincantes et la série de personnages croisés au hasard des scènes n'ont pas le temps d'exister. (...) Dommage, car le projet et l'énergie dégagée étaient louables, et Charlotte Silvera a mené son film à la force de ses bras. On reste sur sa faim.
Première
Mais cette cavale, filmée en DV (...) manque son but : pas d'étincelles dans les yeux ni dans le scénario, lourd comme une mauvaise thérapie express.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
La réalisatrice prétend opposer, sur le mode ludique, la sincérité enfantine à l'hypocrisie du monde du spectacle. Pourquoi alors filmer sa petite actrice en train de faire la grimace ? Pourquoi en faire une Zazie affectée ? Pourquoi lui truffer la langue de (bons) mots d'adulte ? Un vagabondage factice.
Zurban
Les dialogues se contentent de formules définitives qui tombent à plat. La caméra n'offre pas plus de relief et les acteurs, pourtant des pointures, sonnent faux. Le tout finit par être sans intérêt, voire carrément horripilant.