Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
21 critiques presse
Brazil
par Christophe Lemaire
(...) que vous aimiez ou pas Dans ma peau, laissez au moins les créateurs s'exprimer. Surtout quand ils ont le talent de Marina De Van.
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Marina De Van (se) fait très mal avec un premier long métrage fascinant/répulsif, traité d'autocharcutage.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Novaplanet.com
par Alex Masson
Dans ma peau se fait ainsi une place immédiate aux côtés de ces faux-films de genre mais vrais pamphlets sociétaux que sont Crash de Cronenberg ou Safe de Todd Haynes, autres immenses films introspectifs.
La critique complète est disponible sur le site Novaplanet.com
Obejctif-Cinema.com
par Cyril Rota
Pour le spectateur qui refuse d'entrer dans l'univers glauque et fantastique de Marina De Van, c'est évidemment une intense douleur qu'il ressentira, au lieu d'une immense poésie.
La critique complète est disponible sur le site Obejctif-Cinema.com
Positif
par Olivier De Bruyn
Nous attendions avec impatience le premier long métrage de Marina de Van, remarquée pour ses courts métrages et pour ses collaborations avec François Ozon. Mais nous n'imaginions pas un tel choc.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Aden
par Philippe Piazzo
Dérapage morbide autant que dérive poétique à la Lautréamont, le premier film de Marina de Van est ahurissant. La mise en scène finit, comme dans un accès de contamination, par fragmenter l'écran comme autant de pièces détachées. Devant nous, un moteur sanglant, décortiqué, et un film qui se livre corps et âme, avec une douceur éprouvante.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Chronic'art.com
par Elysabeth François
A voir surtout pour la présence troublante de Marina de Van, actrice trop rare dans le paysage du cinéma français.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Ciné Live
par Philippe Paumier
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Libération
par Didier Péron
C'est un des tours de force du film d'avoir su rendre ce processus émotionnellement intelligible, simultanément éprouvant pour un oeil que toute viande, par principe, répugne et néanmoins délicat en ce qu'il fait jaillir le for intérieur à la surface desquamée, tuméfiée d'une jeune femme pantelante.
La critique complète est disponible sur le site Libération
MCinéma.com
par Camille Brun
Alors même si son premier film faiblit un peu sur la fin, même si pour rien au monde on irait y faire un tour, dans sa peau, DANS MA PEAU est un film qui laisse des traces et qu'on n'est pas près d'oublier.
Première
par Stéphanie Lamome
Le rapport d'Esther à son propre corps est d'autant plus viscéralement fascinant que ne rentrent en compte ni la notion de dégoût (...) ni de masochisme primaire.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Magazine
par Michel Rebichon
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
par Olivier Bonnard
On est en effet moins souvent dérangé que troublé, ému aussi, face à la quête d'Esther.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Louis Guichard
Elle est plus spiritualiste qu'elle n'en a l'air pour postuler ainsi un écart infranchissable entre l'esprit et la matière... Mais dommage qu'elle débonde à ce point l'hémoglobine et s'attarde trop sur ce qui gagnait à rester suggéré, voire symbolique.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Zurban
par Charlotte Lipinska
En sus de sa performance d'actrice, on ne peut que reconnaître le talent d'une cinéaste à part et incroyablement gonflée. Sans oublier, tout de même de mettre en garde les âmes sensibles.
La critique complète est disponible sur le site Zurban
L'Express
par Christophe Carrière
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Le découpage cinématographique des séquences d'automutilation révoque ainsi en doute le découpage du corps humain qu'il est censé mettre en scène. Un documentaire tel que Sick, de Kirby Dick (sorti en France en 1998), qui montre en plans-séquences les performances de l'artiste Bob Flanagan, lequel fait de la mutilation de son corps une expérience vitale parce qu'il se sait condamné par la maladie, renvoie Dans ma peau sur le terrain de la pure démangeaison artistique, aussi talentueuse fût-elle.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Alain Grasset
A conseiller ? Non. Une oeuvre sincère ? Oui. Pour cinéphiles exclusivement.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
L'Humanité
par Jean Roy
Sublime, diront certains, abject, affirmeront les autres, qui auront sans doute quitté la salle bien avant la fin. On les comprend, même si, conscience professionnelle oblige, nous avons tenu jusqu'au bout.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Télérama
par Jean-Claude Loiseau
Paradoxalement, Dans ma peau manque cruellement de chair. Le récit décolle rarement de la théorie.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Brazil
(...) que vous aimiez ou pas Dans ma peau, laissez au moins les créateurs s'exprimer. Surtout quand ils ont le talent de Marina De Van.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Les Inrockuptibles
Marina De Van (se) fait très mal avec un premier long métrage fascinant/répulsif, traité d'autocharcutage.
Novaplanet.com
Dans ma peau se fait ainsi une place immédiate aux côtés de ces faux-films de genre mais vrais pamphlets sociétaux que sont Crash de Cronenberg ou Safe de Todd Haynes, autres immenses films introspectifs.
Obejctif-Cinema.com
Pour le spectateur qui refuse d'entrer dans l'univers glauque et fantastique de Marina De Van, c'est évidemment une intense douleur qu'il ressentira, au lieu d'une immense poésie.
Positif
Nous attendions avec impatience le premier long métrage de Marina de Van, remarquée pour ses courts métrages et pour ses collaborations avec François Ozon. Mais nous n'imaginions pas un tel choc.
Aden
Dérapage morbide autant que dérive poétique à la Lautréamont, le premier film de Marina de Van est ahurissant. La mise en scène finit, comme dans un accès de contamination, par fragmenter l'écran comme autant de pièces détachées. Devant nous, un moteur sanglant, décortiqué, et un film qui se livre corps et âme, avec une douceur éprouvante.
Chronic'art.com
A voir surtout pour la présence troublante de Marina de Van, actrice trop rare dans le paysage du cinéma français.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Libération
C'est un des tours de force du film d'avoir su rendre ce processus émotionnellement intelligible, simultanément éprouvant pour un oeil que toute viande, par principe, répugne et néanmoins délicat en ce qu'il fait jaillir le for intérieur à la surface desquamée, tuméfiée d'une jeune femme pantelante.
MCinéma.com
Alors même si son premier film faiblit un peu sur la fin, même si pour rien au monde on irait y faire un tour, dans sa peau, DANS MA PEAU est un film qui laisse des traces et qu'on n'est pas près d'oublier.
Première
Le rapport d'Esther à son propre corps est d'autant plus viscéralement fascinant que ne rentrent en compte ni la notion de dégoût (...) ni de masochisme primaire.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
On est en effet moins souvent dérangé que troublé, ému aussi, face à la quête d'Esther.
Télérama
Elle est plus spiritualiste qu'elle n'en a l'air pour postuler ainsi un écart infranchissable entre l'esprit et la matière... Mais dommage qu'elle débonde à ce point l'hémoglobine et s'attarde trop sur ce qui gagnait à rester suggéré, voire symbolique.
Zurban
En sus de sa performance d'actrice, on ne peut que reconnaître le talent d'une cinéaste à part et incroyablement gonflée. Sans oublier, tout de même de mettre en garde les âmes sensibles.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Monde
Le découpage cinématographique des séquences d'automutilation révoque ainsi en doute le découpage du corps humain qu'il est censé mettre en scène. Un documentaire tel que Sick, de Kirby Dick (sorti en France en 1998), qui montre en plans-séquences les performances de l'artiste Bob Flanagan, lequel fait de la mutilation de son corps une expérience vitale parce qu'il se sait condamné par la maladie, renvoie Dans ma peau sur le terrain de la pure démangeaison artistique, aussi talentueuse fût-elle.
Le Parisien
A conseiller ? Non. Une oeuvre sincère ? Oui. Pour cinéphiles exclusivement.
L'Humanité
Sublime, diront certains, abject, affirmeront les autres, qui auront sans doute quitté la salle bien avant la fin. On les comprend, même si, conscience professionnelle oblige, nous avons tenu jusqu'au bout.
Télérama
Paradoxalement, Dans ma peau manque cruellement de chair. Le récit décolle rarement de la théorie.