Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
Chronic'art.com
par Jean-Philippe Tessé
On peut aisément voir dans cette grande fresque charnelle la plus belle découverte du cinéma brésilien depuis Glauber Rocha, (...)gorgé de pulsations et de visions sidérantes, le film de Carvalho reproduit sur l'écran les sentiments primitifs de son héros avec une intensité et une énergie dionysiaque digne d'une tragédie d'Eschyle.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
MCinéma.com
par Philippe Descottes
Enfin, il est impossible d'évoquer le film sans mentionner la performance de Selton Mello, intense et passionnée. Près de trois heures, certes, mais que du bonheur pour les amateurs de cinéma d'auteur.
Ciné Live
par Emmanuel Cirodde
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
Le Figaro
par La rédaction
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Les Echos
par Isabelle Danel
Une oeuvre habitée, incandescente, qui va direct au foie et droit au coeur.
Libération
par Didier Péron
Relecture saisissante d'un monstre de la littérature brésilienne. (...) A voir et écouter, absolument.
Première
par Sophie Grassin
Ces images, inoubliables, vous giflent le visage. Elles ne vous quitteront pas.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Magazine
par Michel Rebichon
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Zurban
par Eric Quéméré
Malgré le côté hystérique qui en découle, l'oeuvre distille peu à peu un charme insidieux, né à la fois du soin extrême apporté à son esthétique, de la puissante nostalgie se dégageant de ces souvenirs d'enfance, et plus encore de l'extraordinaire sensualité qui parcourt tout le film.
L'Humanité
par Vincent Ostria
En revanche, l'essentiel du récit, (...) est pesant, voire assommant. La faute aux dialogues, emphatiques et théâtraux, aux déclamations de tirades littéraires, vraisemblablement tirées telles quelles du roman d'origine (de Raduan Nassar). Bref, du baroque académique.
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Visant Tarkovski, un film vainement formaliste et ennuyeux. (...) Du cinéma pompier déguisé en flou artistique.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Télérama
par Louis Guichard
Loin de la fragilité supposée d'un premier long métrage, le réalisateur aspire trop visiblement au grandiose et tire cette histoire vers une solennité théâtrale quelque peu exténuante (...).
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Chronic'art.com
On peut aisément voir dans cette grande fresque charnelle la plus belle découverte du cinéma brésilien depuis Glauber Rocha, (...)gorgé de pulsations et de visions sidérantes, le film de Carvalho reproduit sur l'écran les sentiments primitifs de son héros avec une intensité et une énergie dionysiaque digne d'une tragédie d'Eschyle.
MCinéma.com
Enfin, il est impossible d'évoquer le film sans mentionner la performance de Selton Mello, intense et passionnée. Près de trois heures, certes, mais que du bonheur pour les amateurs de cinéma d'auteur.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Les Echos
Une oeuvre habitée, incandescente, qui va direct au foie et droit au coeur.
Libération
Relecture saisissante d'un monstre de la littérature brésilienne. (...) A voir et écouter, absolument.
Première
Ces images, inoubliables, vous giflent le visage. Elles ne vous quitteront pas.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Zurban
Malgré le côté hystérique qui en découle, l'oeuvre distille peu à peu un charme insidieux, né à la fois du soin extrême apporté à son esthétique, de la puissante nostalgie se dégageant de ces souvenirs d'enfance, et plus encore de l'extraordinaire sensualité qui parcourt tout le film.
L'Humanité
En revanche, l'essentiel du récit, (...) est pesant, voire assommant. La faute aux dialogues, emphatiques et théâtraux, aux déclamations de tirades littéraires, vraisemblablement tirées telles quelles du roman d'origine (de Raduan Nassar). Bref, du baroque académique.
Les Inrockuptibles
Visant Tarkovski, un film vainement formaliste et ennuyeux. (...) Du cinéma pompier déguisé en flou artistique.
Télérama
Loin de la fragilité supposée d'un premier long métrage, le réalisateur aspire trop visiblement au grandiose et tire cette histoire vers une solennité théâtrale quelque peu exténuante (...).