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Un visiteur
2,5
Publiée le 30 octobre 2015
Film extrêmement décevant en comparaison avec les 2 précédents, et peu fidèle au livre qui n'était pourtant pas beaucoup plus épais. Poudlard a perdu de sa magie avec ce nouveau réalisateur qui a perdu l'esprit du livre et choisissant par exemple de ne plus faire tourner les acteurs élèves à pouf lard en robe de sorcier, mais en jean. Cela reste cependant un film à voir.
Il faut avouer que j'ai un gros faible pour les visuels riches et les moments de bravoures brillamment réalisés, j'ai déjà eu cette sensation avec le tout premier film. Pour ma part, il s'agit du meilleur épisode de la saga après moultes réflexions, pas spécialement vis à vis de l'adaptation mais de la tournure que prend la franchise avec Cuaron aux commandes. C'est plus mature, sombre, glacial, épique et maîtrisé, je dis tout cela sans avoir lu les livres, autant dire que je ne suis pas un adepte de lecture. Après les quinze premières minutes la magie opère plus que jamais, plus noire qu'auparavant et le suspense à la hausse également. Le film respire la poésie, et dévoile une âme sans précédent, on repousse les limites des deux premiers films pourtant très bons. C'est cohérent et les nouveaux personnages sont géniaux, la musique de Williams est, comme à son habitude toujours aussi magique, épique et envoûtante. ''The Prisoner of Azkaban'': j'adhère complètement, bien qu’imparfait il soit..
Un film, réalisé par Alfonso Cuarón, qui marque un véritable tournant dans la saga Harry Potter et un changement radical d’atmosphère. Le réalisateur apporte sa patte, il soigne ses cadres et ses effets visuels, et dégage une photographie peu colorée. Le résultat est relativement froid et la réalisation semble alors dénuée de tout charme. L’univers magique et féerique, l’enchantement et l’émerveillement, l’aspect intimiste et chaleureux des deux premiers volets ne sont plus présents. Exit les virevoltants matchs de quidditch, les banquets pantagruéliques de début d'année ou de réveillon, la Coupe des 4 maisons, les grimoires poussiéreux ; exit les longues robes noires, place aux jeans/baskets. Même le cadre de Poudlard est délaissé au profit des extérieurs. L’attitude est plus rebelle, l’intrigue est nettement plus noire et inquiétante mais n'est pas toujours très entraînante, ne laissant apparaître aucun personnage charismatique. Un troisième opus, original et moderne, quelque peu déstabilisant, qui nous fait perdre nos repères, et qui s’avère moins prenant et réussi que les deux premiers épisodes !
probablement mon préférée , Alfonso Cuaron ajoute un style plus noir et avec plus d'humour sans toute fois perturber le travail de ces prédécesseurs ,les plans sont juste sublime , les acteurs assure toujours.Un film a voir .
Un troisième opus plus rythmé que les deux premiers. Alfonso Cuaron réalise une suite survitaminé d'effets spéciaux et de scènes d'actions spectaculaires. Une mise en scène énorme ! Un casting d'enfer ! On retrouve Chris Columbus comme producteur ! Les studios Warner Bros Pictures nous offre cette suite immense ... ! GRANDIOSE !! Avec la participation d'Emma Thompson, pour le rôle du professeur Trelawney, le film garde son humour, son rire garantis, avec cette prof délirante ! A voir en famille ! Harry Potter et le Prisonnier d'Azkaban est une réussite totale. 5/5 *****
Ma critique envers ce film n'a cessé d'évoluer avec le temps. SYNOPSIS : j'étais toujours aussi impatient de découvrir le film!
APRES VISIONNAGE ( en salle de cinéma) : j'avais été déçu...l'atmosphère était différente par rapport aux deux autres films. C'était peut-être pour ça que je n'étais pas satisfait. La réalisation était plus adulte et le ton était moins enfantin que les deux autres films... Les acteurs étaient parfaits!
APRES VISIONNAGE (en 2014) : j'aime beaucoup ce film!!! C'est sans doute parce que j'ai gagné en maturité et que j'ai une perspective d'ensemble sur tous les films adaptés du livre que j'ai changé d'avis. Le ton assez sombre du film est pour moi entièrement mérité! On sent que Harry est train d'évoluer et que son entourage est aussi en train de changer. Les acteurs ont eu aussi gagné en maturité!
Non mais quelle idée saugrenue d'être allé chercher Alfonso Cuaron, réalisateur tout sauf Britannique d'une poignée de films intimistes on ne peut plus éloigné du genre blockbuster, pour réaliser ce troisième volet. Merci pour ça J.K.Rowling. Autant j'apprécie les deux premiers volets autant il faut admettre que la réalisation Chris Colombus n'a aucune personnalité malgré ses talents de conteur, ses films sont des films de commande point final, même s'il fait l'affaire pour des films pour enfants. Mais comme le public grandit avec les personnages un changement de style s'imposait. Ce troisième opus a enfin une personnalité, peut-être bien la plus marquée de la saga: débraillée à l'image des tenues vestimentaires (adieu le noble et le traditionnel comme les chapeaux pointus) mais aussi malicieuse: entre gags visuels récurrents, montage plus rythmé (le film passe comme du petit lait soit tout l'inverse du second), ellipses et transitions astucieuses et ruses de mise en scène juste pour le style, la saga fait sa crise d'adolescence en même temps que ses protagonistes -dont l'interprétation commence à être convaincante. Le film dépeint assez bien l'état d'esprit d'un adolescent et tous ces éléments y contribuent. Alors que l'univers a besoin de polish et de maturité, Cuaron en profite pour lui donner plus de densité: son traitement du noir bouché donne un aspect feutré du plus bel effet à l'image qui s'assombrit en même temps que l'univers et ses plans-larges et plans-séquences grandioses donnent enfin toutes ses lettres de noblesse à un Poudlard qui semble enfin déborder du cadre. Sans compter les paysages naturels des alentours du château qui ont autrement plus de cachet. Mais le mieux pour donner de la consistance à l'univers reste l'importance de l'anecdotique (un simple exemple: les fantômes qui ne servent à rien mais sont là et vivent leur vie), des personnages secondaires et leur petite vie et des simples scènes de quotidien, c'est primordial dans cette saga et ce n'est pourtant qu'à partir de cet opus qu'une bonne partie de ce qui est montré à l'écran n'est pas forcément utile au film lui-même. Bon après mon seul et unique problème avec le film est justement que Cuaron a tout le temps du monde pour faire ce qu'il chante mais reste pourtant bien vague concernant les maraudeurs et surtout les animagus ce qui complique les choses aux réalisateurs qui le suivront et devront bricoler des explications par eux-mêmes voire abandonner certains éléments. Mais concernant le film en lui-même, je l'aime du début à la fin. Comme tout le monde j'aime le design des détraqueurs mais contrairement à tout le monde j'aime encore plus le design contre-nature du loup-garou. Quant au casting la saga a toujours été un 10/10 et les nouveaux venus ne dérogent pas à la règle en particulier Gary Oldman, et sans me réjouir de la mort de Richard Harris je préfère tout de même le Dumbledore de Michael Gambon. Seule la musique est moins grandiose que par le passé mais les effets spéciaux sont désormais irréprochables. Certes la note de 4,5 est aussi relative à l'ensemble de la saga mais pour moi i n'y a pas photo: cet opus-là a de la gueule comme aucun autre.
Le monde des sorciers devient légèrement plus gris, à l'image de dumbledore d'ailleurs...je tiens à saluer le savoir faire avec lequel le réalisateur a su retranscrit la menace engendrée par Sirius Black, on a vraiment peur de le voir surgir à chaques scènes...dans l'ensemble le film est fidèle à la saga : drôle, féerique mais aussi plus mature, commençant à percer une fenêtre sur les aspects les plus sombres du monde des sorciers.
L aventure est au rendez vous , la peur aussi ( vilains loups et detraQueurs ) :) les acteurs sont toujours aussi brillants et comme à chaque épisode on a un scénario intelligent et cohérent je conseille ce film à tous
1er changement de réalisateur, Alfonso Cuarón ne fera qu'un seul Harry Potter, mais il fit mon préféré de la saga. L'histoire et la mise en scène du retourneur de temps d'Hermione est très réussie et sans faux raccords. Les acteurs et personnages principaux (Harry, Ron et Hermione) ont mûri et ne sont plus agaçants comme dans les deux précèdent films de Chris Columbus, et le début du film de Harry chez lui avec l'arrivé de sa tante est excellent.
Les deux premiers volets de la saga Harry Potter, tous deux réalisés par Chris Columbus avaient un aspect enfantin prédominant. Retranscrivant avec légèreté l’univers du monde inventé par J.K Rowling. Après le deuxième opus, il était nécessaire que le saga trouve un nouvel élan. C’est chose faite avec l’arrivée d’Alfonso Cuaron au commandes. Le résultat est plus que probant. Le réalisateur mexicain fait d’ « Harry Potter et le prisonnier d’Azkaban » un opus beaucoup plus sombre, à l’atmosphère plus pesante, plus travaillée. Ce troisième opus est donc marqué du sceau du changement et de la maturité. Avec beaucoup de maitrise, le cinéaste se nourrit du bouquin de la romancière anglaise et nous propose un film partageant fantastique et romanesque avec beaucoup de justesse. Le film marque également un tournant concernant la psychologie des personnages. En effet ceux-ci entament la période transitionnelle qu’est l’adolescence avec tous les « effets secondaires » inhérents. Notamment la recherche perpétuelle d’une identité. Attardons nous un peu sur le contenu. Bien que Cuaron prend quelques libertés par rapport au roman, il parvient à donner à son film un souffle épique et en fait une œuvre à la fois ludique et intéressante qui vous rive à votre fauteuil. Les évènements s’enchainent sans le moindre accroc, et même si certains détails sont éludés, le cœur de l’intrigue lui, est bel et bien là et restitué avec précision. Mais le film n’est pas sans quelques défauts. Le dénouement est assez abstrait quant aux motivations de Sirius Black. Et en ce qui concerne le jeu d’acteur (surtout les trois principaux), c’est limite. Il y a une progression, mais ce n’est pas encore ça. En revanche certains acteurs secondaires comme Gary Oldman ou Alan Rickman sont au top. Du bon travail a été fait. Aussi bien sur le plan cinématographique qu’artistique.
Succédant à Chris Columbus, Alfonso Cuarón réalise de remarquable manière avec «Harry Potter et le Prisonnier d’Azkaban» son unique mais aussi le meilleur des épisodes de la saga. Visuellement, on change radicalement de ton. La photographie est plus sombre et s'applique extrêmement bien à cette histoire qui, sans être spectaculaire, est d’une belle noirceur. Une autre évolution significative du film concerne les trois rôles principaux, comme d’ailleurs leurs interprètes Daniel Radcliffe, Emma Watson et Rupert Grint, qui gagnent en maturité en entrant pleinement dans l’ère adolescente. Deux personnages particulièrement intéressants de la série font leurs apparitions sous les traits du génial Gary Oldman et de Davis Thewlis : Sirius Black et le Professeur Remus Lupin. A noter la présence mortelle et glaciale des «Détraqueurs», laquelle nous fait oublier l’absence de Voldemort bien que son ombre plane indéniablement sur cette troisième année à Poudlard.