Harry Potter et le Prisonnier d'Azkaban : Critique presse
Harry Potter et le Prisonnier d'Azkaban
Note moyenne
3,8
14 titres de presse
L'Ecran Fantastique
Aden
Cahiers du Cinéma
Chronic'art.com
Ciné Live
L'Obs
Le Figaro
Le Monde
Le Parisien
Le Point
Première
Libération
MCinéma.com
L'Humanité
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
L'Ecran Fantastique
par Stéphanie Vandevyver
Ce troisième volet jour la carte de la maturité à tous les niveaux contrairement aux deux précédents. Alfonso Cuaron développe la dimension psychologique du film et apporte ainsi une profondeur supplémentaire. Harry Potter et le prisonnier d'Akzhatan est une oeuvre autonome qui a su trouver son propre rythme et sa propre dynamique.
Aden
par Philippe Piazzo
Que tous les fans se rassurent, et ceux qui ont dévoré le troisième tome des aventures de Harry Potter (pour beaucoup, le meilleur) peuvent se frotter les mains : le film suit le livre de près et restitue son suspense intense.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Cahiers du Cinéma
par Vincent Malausa
Après deux épisodes signés du fade Chris Columbus, la saga Harry Potter se pare aujourd'hui d'un cinéaste, le mexicain Alfonso Cuaron. Une véritable réussite.
Chronic'art.com
par Vincent Malausa
Pas de véritable surprise avec ce Prisonnier d'Azkaban : comme prévu, un cinéaste largement supérieur à Chris Colombus, un récit virevoltant et des effets spéciaux assez effarants. Cela suffit à imposer, sur la durée, la saga cinématographique des aventures du petit Potter.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Ciné Live
par Emmanuel Cirodde
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Obs
par Xavier Leherpeur
(...) ce troisième volet des aventures du soricer en herbe s'impose comme nettement supérieur aux deux précédents. (...) Comme le héros, la licence mûrit et s'épanouit. Notre plaisir avec.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par Dominique Borde
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Monde
par Florence Colombani
Superficiel dans sa vision des personnages, empesé dans son style, le réalisateur Chris Columbus n'était guère à son aise. Aussi ce troisième épisode, réalisé par le Mexicain Alfonso Cuaron, est-il une excellente surprise. (...) Surtout, pour la première fois, un film de la série donne le sentiment de prendre l'univers de Harry Potter pour ce qu'il est : une réinvention ludique, créative, éclairante de notre monde, et non la description sans conséquence d'un univers parallèle, peuplé d'amusantes créatures féeriques.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Alain Grasset
En prenant les commandes de ce troisième épisode, le réalisateur mexicain Alfonso Cuarón évoque de fort belle manière, et avec modernité, le passage à l'adolescence. (...) La magie opère à nouveau, et le suspense est garanti (...). On sort de là ensorcelé et heureux.
Le Point
par Olivier De Bruyn
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Première
par Ghislain Loustalot
Alfonso Cuaron et son scénariste ont multiplié les impasses et les raccourcis. Décision judicieuse puisqu'ils leur permettent de mettre l'accent sur l'intensité dramatique de l'histoire en évitant les scories qui parasitaient les deux premiers. Le Prisonnier d'Azkaban (...) est un rite de passage vers l'âge adulte et réalisé comme tel. Harry Potter, c'est plus seulement pour les petits, c'est aussi pour nous !
Libération
par de BAECQUE Antoine
(...) On ressort du film, sonné et gavé, après deux heures et demie. Au point qu'on se demande si les concepteurs de cette version filmée n'ont pas perdu de vue les ressorts des romans, rien moins que simplement narratifs.
MCinéma.com
par Camille Brun
Le héros est (...) réduit à une sorte d'Indiana Jones jeune, aux états d'âme un peu simples. D'autant que l'on sent franchement les limites de l'interprétation de Daniel Radcliffe dans le rôle principal...(...) Passe encore pour cette fois, donc. Mais on reste dubitatif quant au passage sur grand écran de " Harrry Potter et la coupe de feu ", le livre de la série le plus réussi à ce jour, mais aussi un des plus épais et certainement le plus dense et complexe.
L'Humanité
par Vincent Ostria
Le retour du binoclard enchanté. On prend les mêmes - sauf le réalisateur, remplacé par le Mexicain Alfonso Cuaron - et on recommence. Le seul véritable intérêt, c'est de voir un acteur grandir de film en film. (...) Mais à part un épisode assez excitant où Harry et Hermione se dédoublent et, remontant dans le temps, s'observent agissant, on reste dans le gothique industriel.
L'Ecran Fantastique
Ce troisième volet jour la carte de la maturité à tous les niveaux contrairement aux deux précédents. Alfonso Cuaron développe la dimension psychologique du film et apporte ainsi une profondeur supplémentaire. Harry Potter et le prisonnier d'Akzhatan est une oeuvre autonome qui a su trouver son propre rythme et sa propre dynamique.
Aden
Que tous les fans se rassurent, et ceux qui ont dévoré le troisième tome des aventures de Harry Potter (pour beaucoup, le meilleur) peuvent se frotter les mains : le film suit le livre de près et restitue son suspense intense.
Cahiers du Cinéma
Après deux épisodes signés du fade Chris Columbus, la saga Harry Potter se pare aujourd'hui d'un cinéaste, le mexicain Alfonso Cuaron. Une véritable réussite.
Chronic'art.com
Pas de véritable surprise avec ce Prisonnier d'Azkaban : comme prévu, un cinéaste largement supérieur à Chris Colombus, un récit virevoltant et des effets spéciaux assez effarants. Cela suffit à imposer, sur la durée, la saga cinématographique des aventures du petit Potter.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Obs
(...) ce troisième volet des aventures du soricer en herbe s'impose comme nettement supérieur aux deux précédents. (...) Comme le héros, la licence mûrit et s'épanouit. Notre plaisir avec.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Monde
Superficiel dans sa vision des personnages, empesé dans son style, le réalisateur Chris Columbus n'était guère à son aise. Aussi ce troisième épisode, réalisé par le Mexicain Alfonso Cuaron, est-il une excellente surprise. (...) Surtout, pour la première fois, un film de la série donne le sentiment de prendre l'univers de Harry Potter pour ce qu'il est : une réinvention ludique, créative, éclairante de notre monde, et non la description sans conséquence d'un univers parallèle, peuplé d'amusantes créatures féeriques.
Le Parisien
En prenant les commandes de ce troisième épisode, le réalisateur mexicain Alfonso Cuarón évoque de fort belle manière, et avec modernité, le passage à l'adolescence. (...) La magie opère à nouveau, et le suspense est garanti (...). On sort de là ensorcelé et heureux.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Première
Alfonso Cuaron et son scénariste ont multiplié les impasses et les raccourcis. Décision judicieuse puisqu'ils leur permettent de mettre l'accent sur l'intensité dramatique de l'histoire en évitant les scories qui parasitaient les deux premiers. Le Prisonnier d'Azkaban (...) est un rite de passage vers l'âge adulte et réalisé comme tel. Harry Potter, c'est plus seulement pour les petits, c'est aussi pour nous !
Libération
(...) On ressort du film, sonné et gavé, après deux heures et demie. Au point qu'on se demande si les concepteurs de cette version filmée n'ont pas perdu de vue les ressorts des romans, rien moins que simplement narratifs.
MCinéma.com
Le héros est (...) réduit à une sorte d'Indiana Jones jeune, aux états d'âme un peu simples. D'autant que l'on sent franchement les limites de l'interprétation de Daniel Radcliffe dans le rôle principal...(...) Passe encore pour cette fois, donc. Mais on reste dubitatif quant au passage sur grand écran de " Harrry Potter et la coupe de feu ", le livre de la série le plus réussi à ce jour, mais aussi un des plus épais et certainement le plus dense et complexe.
L'Humanité
Le retour du binoclard enchanté. On prend les mêmes - sauf le réalisateur, remplacé par le Mexicain Alfonso Cuaron - et on recommence. Le seul véritable intérêt, c'est de voir un acteur grandir de film en film. (...) Mais à part un épisode assez excitant où Harry et Hermione se dédoublent et, remontant dans le temps, s'observent agissant, on reste dans le gothique industriel.