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chrischambers86
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3,0
Publiée le 16 janvier 2015
La vie d'un seul amèricain vaut-elle vraiment la vie de tout un village grec ? Quel courage dans leurs yeux, quelle rèsolution! Avec "The Angry Hills", Robert Aldrich nous emmène dans la Grèce de 1941! Les alliès luttent avec courage mais sans espoir contre les Allemands menant une guerre èclair dans le nord et se dirigeant vers Athènes qui attend les envahisseurs à tout instant! Le Führer conduit les allemands de victoire en victoire et chaque victoire les èloigne davantage de chez eux! Encore quelques victoires et les allemands rentreront jamais [...] D'après le roman de Lèon Uris, le cinèaste de "Kiss Me Deadly" n'a jamais trop aimè ce film! Pourtant, l'histoire ne se dilue jamais dans l'ennui et le film a un rythme intèressant avec de la tension et de la traitrise! L'ensemble est efficace avec des acteurs de la trempe de ceux qu'affectionne Aldrich! En homme du destin, Robert Mitchum incarne de façon insaisissable un journaliste amèricain, un simple correspond de guerre qui tente de quitter la Grèce avec de prècieux documents allemands! A ses côtès, Stanley Baker joue, bien èvidemment, le mèchant de service! Les deux acteurs sont bons! Point final...
Une qualité qu'on ne peut pas enlever à Robert Aldrich, c'est qu'il parvient toujours à maintenir l'intérêt même quand son film est bourré de maladresses et d'invraisemblances. Le film se suit jusqu'à la fin sans ennui en dépit du fait que le suspense ne soit pas du tout au rendez-vous alors qu'il ne demandait qu'à l'être. Le fait est que le scénario est déplorable et sa principale erreur est de ne pas avoir fait du personnage de Robert Mitchum le centre du film. Le début du film est plutôt réussi en ce sens mais Mitchum apparaît ensuite de côté et totalement en retrait, c'est une erreur très grave. Quelques bonnes idées émergent un peu, comme d'avoir essayé d'opposer deux personnalités totalement différentes au chef de la Gestapo incarné par Stanley Baker, mais elles sont mal exploitées. Inévitablement, l'ensemble est donc très maladroit et très bancal, dommage.
Bien que les noms au générique de Trahison à Athènes ont tout pour nous attirer il faut reconnaître que ce flim n'a rien de passionnant. L'ensemble manque de relief, pas de suspense, aucune originalité pour compenser. Une déception.
Deception que cette " Trahison à Athènes ". Cette histoire qui se déroule au début de la Seconde Guerre mondiale et qui parle d'un journaliste qui tente de quitter la Grèce avec de précieux document allemands, n'est guère emballante, la faute à une mise en scène plate de Robert Aldrich, que l'on a connu bien plus inspirée. Dommage, ceci dit car l'interprétation de Robert Mitchum n'est pas mauvaise, bien au contraire. Il s'agit donc d'une oeuvre mineur dans la carrière de ce cinéaste.
Le film avait tout pour plaire sur la papier du coup la déception n'en est que plus forte. Même les scènes sensées dégagées de puissantes émotions ne vous feront pas ciller d'un poil. Si on rajoute à ça un scénario improbable il est difficile de s'intéresser à ce film.
Robert Aldrich (Les Douze salopards - 1967) nous replonge au cœur de la Second Guerre Mondiale, et plus particulièrement en Grèce où il est question d’un soldat Américain et d’une liste de collaborateurs activement recherchés par les Allemands. Le tout, se passe dans un cadre splendide, sous le soleil Grec, entre filature et chasse à l’homme, Trahison à Athènes (1959) nous réserve d’agréable surprise, même si le début du film peine à se mettre en route. A noter enfin, que l’on retrouve un Robert Mitchum en tête d’affiche et en grande forme.
Robert Aldrich n'a peur de rien et le prouve encore avec ce magnifique "Trahison à Athènes", magnifiquement interprété par un Robert Mitchum une fois encore impeccable. Scénario bien ficelé, mise en scène classique, histoire originale, intrigue bien nouée, il ne manque rien à cette oeuvre, sinon ce petit trait de génie et de fulgurance qui marque le grand cinéma.
Le début (30 premières minutes) sont assez emballante. Par la suite l'intrigue perd pas mal de son intérêt et le rythme est en baisse. Film qui mêle habillement le genre espionnage et drame de guerre. La mise en scène de Robert Aldrich fait référence en film noir au début du moins.