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aberdeen76
45 abonnés
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2,5
Publiée le 19 janvier 2009
Il y a de l'idée mais on est encore loin du chef d'oeuvre : En effet, coté action on est servi avec un rythme soutenu, une esthétique des scènes réussie, et une avalanche de gun fights. Pourtant le film manque singulièrement de profondeur et l'on n'a que peu d'informations sur les motivations de chacuns. De plus le jeu des acteurs laisse parfois à désirer. On est loin d'un Infernal Affairs ou d'un Bittersweet life. un film largement regardable mais qui reste loin du podium des films du genre.
Film vraiment bien, des acteurs super charismatique et des super scènes d'actions, le cinéma asiatique prend vraiment de plus en plus du poil de la bête.
le film ultime que dire sublime du debut a la fin sans doute le meilleur film realisé de tout les temps (detronant les scarface,taxi driver, ou autres parrains) le top
C'est la troisième fois que je le voit, et je suis toujours aussi fan... Ce film est tout simplement excellent. Johnny To nous signe là un petit chef d'œuvre, à la hauteur de ce qu'il à l'habitude de nous faire... De plus, les acteurs sont très bons...
Une maîtrise technique incontestable que personne n'a jamais retirée de Johnny To. Mais plaqué sur un scénario digne d’un ado de douze ans, au cerveau à la taille d’un pois chiche, et dont la tétine du biberon n'a filtré que des films de gangsters canardeux, ce film ne permet de dire qu'une chose : Merci Aspro !
Un pur film action/thriller, où To se permet tous les effets de mise en scène et image possibles (ralentis, impacts de balles, cascades...) qui vont du brillant au théatrale. Pareil pour le scénario et le montage, qui virent parfois volontairement au ridicule. Et même si ce Fulltime Killer est tout à fait regardable (le feu d'artifice final...), ce n'est qu'une oeuvre de 2nd classe dans l'infinie filmo de Johnnie To. Bon forcément, à tourner un film par an, il y a du très bon et du seulement moyen...
Pas specialement fan des films asiatiques, ce polar m'a convaincu et n'a absolument rien à envier aux film made in US. Les personnages charismatiques sont attachants, pur divertissement, le scenario ne laisse aucune place à l'ennui avec notamment de nombreuses scénes de fusilades. La mise en scéne est plaisante, et la BO emballante. Une bonne surprise.
L’esthétique du cinéma dispose d’un corolaire nécessaire qui est celui de l’éthique. Autrement dit, le plaisir de la mise en scène pose forcément la question de la moral. Peut-on jouir visuellement de tout ? «Chuen jik sat sau» (Hong Kong, 2001) de Johnnie To et Wai Ka-Fai offre un objet pertinent pour se pencher sur la question. Comme d’accoutumé, la violence est décomplexée chez To est devient le sujet d’un spectacle, l’objet fascinant sur laquelle s’exerce une mise en scène virtuose. Dans la lutte de deux tueurs à gage pour la gloire, To, accompagné de Ka-Fai, présente l’image de son cinéma. Au tueur n°1 silencieux et «discret» s’oppose son soupirant plus psychotique et époustouflant. Cette opposition des deux modèles de meurtriers est la métaphore du cinéma de To. Entre une discrétion latente qui se voudrait l’interprétation d’une vérité enfouis dans le monde et un spectaculaire monstrueux qui offrirait l’apanage de l’art du cinéma, To balance. Le penchant extraordinaire du spectacle et de la virtuose y est majoritaire. La discrétion de «Cheong feng» n’a plus cours dans «Cheun jik sat sau». Le crime et les massacres sont les nouvelles joies que le cinéma se plait à faire partager. Toutefois, To ne livrent pas vainement la violence, elle se fait vectrice d’une image nouvelle du Mal. La poétique de To se base sur la violence, comme une majorité du cinéma hong-kongais. Si elle prédomine dans ce cinéma-là c’est que le territoire où il est fait, la vie sociale qui organise Hong-Kong est perturbée. Entre le secret intime et la nécessité d’être singulier aux yeux des autres, les individus d’Hong-Kong n’auraient d’autre issue que de se confronter à la rudesse sociale. C’est par là que To justifie la violence de son cinéma. Empreinte de son territoire, le grandiose de son film se défait de tout éthique au profit de la maestria esthétique. Les effets amoraux de la pyrotechnie et du numérique, où le sang déversé n’est plus un élément du drame mais une force hédonique.
[Juin 2008] Comme souvent avec les films d'action asiatiques, "on applaudit des deux mains, mais parfois on aimerait bien comprendre aussi". En effet, certains aspects du scénario et raisonnement des protagoniste restent sont incompréhensibles pour des occidentaux... J'ai quand même apprécié l'originalité du film, sa fin très réussie et certaines scènes d'action-tir bien sympas (et complètement délirantes bien sur).
Un excellent film d'action asiatique, un scénario très intéressant, un taré, des tueurs à gages, une enquete policière, une histoire d'amour, des références à des films, bref, un film d'action au complet qui raviera les fans de la gachette.
Rien d'original dans cette sorte de "desesperado" Asiatique mais quel plaisir ! Fan de la gachette, d'humour mal placé et de dialogue "mais qu'est ce qu'il dit?" vous voilà partis pour un film qui vous laissera pas de marbre.
La V.O donne encore une fois un plus indéniable et la VF un moins confirmé:p
J'ai trop aimé ce film les acteurs, l'histoire ainsi que la B.O. c'est par celui ci que j'ai découvert Andy Lau et le cinéma de Hong kong, Je ne dis pas que tout ces films sont bons mais celui ci vaut le coup d'être vu. Et oui certains bon films n'arrivent jamais jusqu'a nos pupilles du fait qu'ils viennent de l'autre bout du monde, alors à nous de les trouver!
Une mise en scène stylisé, pour un Johnnie To en dessous de la moyenne... On s'attend à beaucoup mieux de la part de ces réalisateurs. Heuresement, une fin spéctaculaire qui rattrape, les bidons...
exellent montage rien a redire un des rares johnnie to ou ont ne ressent pas de manque de souffle ca ne traine pas ca ne parle ca divertit et c'est plutot bien ambalé