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Misoramengasuki
66 abonnés
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1,0
Publiée le 19 avril 2009
Un bon film de samedi ou de dimanche soir... Le niveau ne dépasse jamais celui d'un honnête film de série B. On suit sans déplaisir le huis-clos de ces quatre taulards jusque dans le dernier quart d'heure. Mais le final, confus et abracadabrant, tombe à plat. Bonne interprétation (mention spéciale à Clovis Cornillac) et mise en scène habile.
nul nul. ont a une scène sans explication d'un rituel satanique en plein début de film, les scènes dans une prison complètement délabré avec des prisonniers assez mal mentalement accompagnée par une femme transgenre qui se fait sans arrêt mégenré et n'a d'ailleurs rien a faire dans une prison pour homme, aucun de prisonnier ne porte la combinaison orange, les règles de sécurité même pas respecté un un moment l'un des prisonnier utilise des ciseaux, la plupart des scènes ils n'arrêtent pas de s'engeler sans arrêt au point d'en être insupportable, ils procèdent plein de choses censé être interdit dans une prison comme une craie, le livre caché derrière une pierre n'est pas crédible vu que l'on voit clairement que cette pierre a été taillé, beaucoup de monde aurait pu trouver ce livre avant eux TOUT EST RATE. nul nul.
Après plusieurs clips et courts-métrages, Eric Valette passe dans la cour des grands en réalisant son tout premier long-métrage, dans l’univers des taulards, avec Maléfique (2003), un film fantastique qui oscille très légèrement dans l’horreur. Entre magie noire et phénomènes paranormaux, Valette réussit son coup, pour une première œuvre. Si le scénario tient la route à 90%, le must ici revient à l’interprétation des principaux protagonistes : Gérald Laroche, Philippe Laudenbach et le plus étonnant de tous, Clovis Cornillac dans le rôle d’un transsexuel ! Alors que le film aurait très bien pu patauger dans le cliché habituel et les stéréotypes, le réalisateur les évitent de justesse, ce qui nous permet de passer un bon moment devant ce thriller étrange et psychotrope. A noter aussi que ce film a obtenu le Prix du jury du 10ème Festival Fantastic'Arts de Gérardmer.
Une ambiance plutôt inquiétante mais le film souffre du manque de moyens techniques, au niveau des effets spéciaux notamment. Certaines scènes valent le détour, mais je ne conseille ce film qu'aux amateurs du genre.
Eric Valette, pour son premier film, nous offre une oeuvre sombre aux idées scénaristiques inépuisables. Pour un film tourné en un mois avec la faible somme de 1 million d'euros, l'on ne peut que s'incliner devant ce formidable film. Bravo...
Ce qui frappe le plus dans ce film français, c'est la volonté d'innover malgré le manque évident de moyen financier. En effet, les décors se réduisent à 2 cellules de prison et à une voiture, si bien que l'atmosphère du huit clos se ressent grandement. Côté scénario, les personnages sont privilégiés: particularités très étranges et caractères bien divers. Ainsi, la majeure partie du film montre comment ils réagissent par rapport au livre trouvé dans la cellule et sensé les faire sortir de prison. Le moins que l'on puisse dire, c'est que le réalisateur ménage le suspense jusqu'à la dernière demi-heure incroyable où de multiples mystères révélés et des effets spéciaux corrects aboutissent à un dernier plan réjouissant. L'ensemble est transcendé par Clovis Cornillac, qui livre une véritable composition pour son personnage qui regroupe la quasi-totalité de l'humour et de la tension du film.
De ce genre de fausses croyances pensant que le film d'horreur est un genre bâtard, il faut bien reconnaître que se lancer dans un projet de réalisé pour la première fois un film de genre avec seulement un million en poche était tout simplement un pari de folie. Mais la réussite est la clé de ce film. Comme l'excellent Cube réalisé par Vincenzo Natali, Maléfique reprend les mêmes ficelles. Avec astuces et beaucoup d'intélligence, le réalisateur mêle avec brio situations complexes dans un décor étroit, mais l'exploité de la meilleur façon possible. De plus, la fin du film est surprenante et plutôt originale. Il ne nous reste qu'une chose à faire, retenir le nom d'Eric Valette, cinéaste à suivre de prêt.
Un fantastique convenable même si l'on si perd parfois dans la continuité d'une certaine énigme. Parfois à la limite d'en faire un peu fantastique mais habilement mis en scène pour revenir dans le présent. Un film ésotérique qui ne conviendra pas à tout le monde mais très subtile dans sa fin. Une prestation d'acteurs assez décevante, très linéaire limite "on s'ennuie !". Un huis clos avec un atmosphère pesant et un décor très simple avec ,en miroir, des Fx audacieux. 3/5 à découvrir juste pour voir si çà plait !!!
Un huis clos carcéral et fantastique avec de la magie noir, un transsexuel bodybuildé interprété par Clovis Cornillac et seulement deux autres acteurs ( principaux ), une chose est sur c'est que ce film a de l'ambition et de bonnes idées . Le synopsis m'a vite tapé a l'oeil mais comme souvent avec des idées comme celle ci il faut savoir les maitriser de bout en bout pour offre un résultat vraiment bon, ce qui n'est pas totalement le cas .
On se retrouve plus dans une série B a petit budget avec des effets spéciaux fauchés mais qui s'assume bien comme tel, on a une ambiance soignée et un coté mystérieux vraiment sympa . Les acteurs sont correct même si un peu ridicule pour Clovis Cornillac .
Le vrai défaut qui est tout de même assez majeur serait les 20 dernières minutes qui flanchent complétement malgré une image finale assez bien trouvée mais qui ne remonte pas pour autant ces minutes de mauvaise qualité . Le manque d'idée se ressent et ça semble bâclé, c'est bien dommage mais le résultat global est un film qui se laisse bien voir mais une fois probablement pas deux .
Maléfique est un huis-clos à l’ambiance atypique qui réussit, grâce à une mise en scène maline, à faire oublier son petit budget. Les personnages sont très stéréotypés mais le quatuor d’acteur ne s’en sort pas trop mal. Dommage que de nombreuses longueurs plombent la deuxième partie du film.
un huit clos angoissant (la quasi totalité du film se déroule dans une cellule) plutôt bien fichu. Les personnages se cotoyant dans ce petit espace sont tous bien dérangés à leur façon. Quand le surnaturel arrive, l'ambiance devient réellement glauque et le désespoir présent va en s'amplifiant jusqu'au voeux final détourné façon mauvais tour du diable.
Éric Valette réussit ici un tour de force. Imprégné de Dario Argento et Adrian Lyne, il met ici en place un premier film captivant. Le rythme est soutenu, lourd, prenant ; les interprètes sont tous parfaits, oubliant la caméra, à fond dans leur rôle respectif ; la musique est très travaillée, donnant de l'ampleur à chaque scène. L'enfer carcéral est ici montré comme une seconde vie, chaleureuse mais néanmoins emplie de méfiance et de mystères. Les effets spéciaux sont rares et donc surprenants à chaque apparition, pareillement pour les scènes gore, très peu présentes mais intenses. La palme revient bien sûr à ce scénario vraiment atypique, qui met en scène l'ignorance des mortels face au pouvoir divin, un pouvoir divin qu'il ne peuvent qu'effleurer. La fin est absolument dantesque, sublime et surtout logique. Bravo, M. Valette, revenez en France soutenir le cinéma de genre français !
On a à l'évidence à faire à un film fauché, mais il existe un grand nombre d'exemples qui prouvent que le budget ne fait pas la qualité. Surtout pour les films fantastiques. C'est le scénario, la mise en scène et le jeu des acteurs qui font cette alchimie nécessaire à l'émergence d'un grand film, ou au moins d'un bon film. Ca semble tellement bateau de l'écrire, mais j'ai l'impression que pas mal de réalisateurs l'ont oublié, dont l'auteur de ce nanar. Qu'avons nous ici ? Des personnages grotesques auxquels on ne croit pas une seconde. Je n'accuserai même pas les acteurs d'être mauvais (même si le cachet ne devait pas être bien gros, il faut bien manger…). Le metteur en scène fait tout juste son boulot. Il faut dire que filmer une cellule de vingt mètres carrés, c'est pas bien difficile. Alors, avons- nous au moins peur ? Eprouvons-nous au moins un petit frisson ? Et bien non, même pas. On est juste un peu dégoûté par deux ou trois scènes glauques. Ca ne serait pas dramatique si le scénario tenait un peu la route. Mais c'est du n'importe quoi ! Ca me fait penser à une histoire écrite entre copains un soir de délire arrosé. C'est tout juste digne d'un scénario de court métrage. Le problème, c'est qu'ici il est étiré à l'extrême pour en faire un long. Alors quand la machine s'enraye, on fait intervenir Monsieur Picus et son caméscope. Finalement, c'était peut-être un film comique ? Mais dans ce cas, c'était aussi loupé, parce que j'ai pas rigolé non plus.
Les bons films Fantastiques/Horreurs Français sont trop peut nombreux. Et "Maléfique" reste une des références du genre avec très certainement le "Haute Tension" "D'Alexandre Aja". Pour son 1er métrage, "Eric Valette" montre un savoir faire plutôt prometteur. Huit clos situé dans une cellule de prison avec ses locataires qui après avoir trouvé un livre démoniaque décident de s'évader grâce à ses incantations, "Maléfique" reste une bonne surprise. Avec notamment 2/3 effets gores plutôt sympathiques et une ambiance ésotérique rappelant celle des oeuvres de "H.P. Lovecraft". Seul défaut notable, une intrique qui tarde à démarrer sinon "Maléfique" reste un très bon huit clos horrifique avec une fin des plus réussit. Une oeuvre d'ailleurs salué au festival de "Gerardmer" en remportant le prix spécial du jury. Franchement des films Français comme ça on aimerait en voir plus souvent !