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Un visiteur
3,5
Publiée le 29 janvier 2011
Un bon Woody Allen pas exceptionnel mais trés agréable, on retrouve quasiment le même personnage qui est presque présent dans tout ses films, un auteur comique qui a des problèmes avec son amie et qui va voir un psychologue, pas l'un des meilleurs mais un film tout a fait "Allenien" comme d'habitude trés plaisant.
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3,5
Publiée le 23 août 2019
Avec "Anything Else", Woody Allen reste en terrain connu mais il s'appuie sur un savoureux duo de jeunes comèdiens comme Jason Biggs qui traverse la crise de la vingtaine (le Jim Levenstein dans la saga culte "American Pie") et la belle Christina Ricci, impeccable comme toujours! Le trente-troisième long-mètrage de Woody Allen, qui campe un personnage ètrange, triste, invraisemblable, offre de biens belles images de Central Park! C'est l'histoire d'un jeune homme qui tombe amoureux d'une ravissante jeune femme! il est dèchirè entre le fait qu'il adore et celui qu'elle est plutôt difficile à vivre! Allen s'est rèservè le rôle d'un septuagènaire, mentor de Biggs qui ne sera jamais si l'histoire de Allen ètait vraie, où si c'ètait une invention de sa part pour l'obliger à partir seul dans cette comèdie new-yorkaise! il ne le sait pas vraiment et ne la plus revu depuis! Si ça se trouve, Allen est en train de pêcher sur la glace dans le fleuve Yukon! En tout cas, on se souviendra surtout dans "Anything Else", des discussions croustillantes et des après-midis dans Central Park entre ces deux là! Bref, c'est un film qui fait du bien en ces temps de crise...
Un film où Woody Allen se parodie lui-même en nous livrant une histoire qui laisse une impression très nette de déjà vu et déjà entendu. Un jeune homme (le rôle aurait été joué quelques années plus tôt par Woody Allen mais il est à présent trop vieux pour cela et c’est Jason Biggs qui le représente ici, sans trop de bonheur, il faut le préciser), conseillé par son mentor (Woody Allen lui-même qui se dédouble donc pour la circonstance) nous conte ses amours et ses ambitions de carrière dans un Manhattan toujours aussi bien filmé (plus précisément Greenwich Village et Central Park). Le pauvre garçon, outre son maître à penser, est pris entre une petite amie complètement névrosée (Christina Ricci assez insignifiante), la mère de celle-ci, fofolle et crispante, son imprésario (Dany DeVito qui semble désemparé devant un rôle aussi pauvre) et son psychanalyste qui réunit tous les clichés de la profession. Malgré quelques bonnes séquences, le film ne décolle jamais car la mayonnaise ne prend pas et la fin arrive comme une délivrance avec l’impression que Woody n’a vraiment plus rien à dire. Il devra quitter Manhattan pour aller tourner trois films en Angleterre et s’y ressourcer…
Allen, c'est un peu un tout. Philosophe, écrivain, réalisateur, acteur, musicien ... Avec cette comédie, que maîtrise plutôt bien le cinéaste, nous est livré un métrage léger et réfléchit à la fois, ce qui donne évidemment le sourire. Anything Else nous apporte une réflexion sur le couple et la fidélité, à travers l'histoire d'un couple formé à partir d'adultères et où l'un d'entre eux soupçonne désormais l'autre de tromperie.
Bien loin du pessimisme d'un Match Point, Anything Else nous apporte un film bien construit, drôle et malin, à l'image de son réalisateur qui tourne quelques séquences tout à fait croustillantes et mêle son intrigue en virtuose. Quand on se dit que Biggs jouait dans American Pie, on se dit également qu'un bon metteur en scène peut faire de grandes choses avec n'importe qui, et que Biggs peut jouer un jeu subtile et un peu plus fin que dans la saga pour ado pré-pubères. A voir, le film est en un mot : émoustillant !
Encore du grand cru, du grand Allen, on retrouve les classiques : New-York, le son Jazzy et le vieux Allen toujours aussi loufoque en mentor de Jason Biggs. Cela reste du Allen basique (des riches abandonnés à leurs problèmes de riches) mais bien retravaillé aux discours simples mais touchants. Avec une mention spéciale à J.Biggs à son avantage.
Du pur Woody Allen, c'est long et chiant à mourir. Pas d'originalité, il reprend ce qu'il à fait précédemment. Et son jeu m'a encore ennuyé. J'ai quand même apprécié quelques bonnes blagues et situations.
Voici un Woody Allen mineur où il essaie de partager avec la nouvelle génération ses propres soucis qui furent déjà les thèmes récurrents de ses films précédents: Ses relations avec les femmes, la psychanalyse, la peur de la page blanche ou bien encore l'antisémitisme. A travers des dialogues de qualités inégales, il nous fait bien moins rire que dans ces meilleures comédies. Woody fatigue, il était temps qu'il aille tourner ailleurs pour trouver de nouvelles idées!
Il y a deux ou trois séquences très amusantes avec le personnage complètement barré incarné par Woody Allen et Christina Ricci est très attirante. Ce sont ses ingrédients qui font tout le sel de ce Woody Allen. Autrement l'ensemble est beaucoup trop bavard (petite précision trop bavard même pour un film du réalisateur!) et l'histoire tourne trop en rond pour vraiment intéresser. Mais le plus grosse erreur d'Allen est d'avoir choisi l'acteur Jason Biggs pour interpréter le personnage du névrosé, qu'incarnait dans ses films antérieurs l'acteur-réalisateur-scénariste, car celui-ci ne s'avère pas très convaincant et est totalement dénué de charisme. Un Woody Allen très mineur.
Un bon film de Woody Allen, mais cependant il s'agit de l'un de ses moins bons... Mais tout de même, c'est tres intéressant, le cinéaste analyse les sentiments humains avec toujours une précision et une subtilité brillante, et avec humour ! Le casting est plutôt convaincant, mis a part Jason Biggs qui n'y a pas trop sa place... Christina Ricci et Woody Allen jouent superbement leurs rôles ! Le scenario est intéressant, mené tranquillement et agréablement... Bref, on a affaire a un film de qualité, malgré quelques légers défauts et une ambiance générale moins saisissante que dans les autres films de ce réalisateur.
j'ai vu ce film de Allen pensant y trouver un moment de repos et de bonheur. Quelle surprise de voir que ce film ressemble à une semipropagande pour le peuple juif. Les reflexions du style : tu crois aller dans une salle de bains pour prendre une douche mais non..." et à toi de chercher dans ta mémoire (pas bien longtemps avec le bourrage de crane médiatique et politique!!)et tu découvres que oui, c'est bien d'Auschwitz dont on te parle encore et toujours !! Ce peuple n'est plus une victime : il a montré à la communauté internationale qu'il s'en est très bien relevé et que désormais il gouverne la plupart du monde. Pour en revenir au film, je lui mets deux étoiles car le scénario est pas trop mal.
Un Woody Allen comme il sait tres bien les faire !! Il nous fait stresser, nous met dans tous les états avec des acteurs jouant a la perfection leur personnage completement tordu!! Cette comédie romantique est un succés sans etre pour autant un grand film !
Certains disent que Woody Allen ressasse toujours les même thèmes, ses mêmes obsessions (ses peurs ?), mais qu'est ce qu'il le fait bien ! Chaque année c'est une dose de bohneur indispensable. Je l'accorde parfois c'est du déjà-vu et c'est un peu plus "faible" mais Anything Else est un bijou d'humour et de répliques cinglantes. Quel plaisir !
Anything Else est sans conteste l'un des meilleurs Allen qui m'ait été donné de voir. La psychologie des personnages est peinte à la perfection (Jason Biggs et Christina Ricci sont magistraux) ; il y a tellement de réalisme dans les situations et dans la relation amoureuse que ça en devient troublant, et devrait faire écho à bon nombre de spectateur. Woody est à l'apogée de son art niveau écriture et mise en scène.
Un film moyen qui essaye de melanger le drame a la comédie, helas maladroitement. Jason Biggs et Christina Ricci font de leur mieux, ce qui donne de nombreuses scènes excellentes, mais les apartées de l'histoire passionnent peu, les seconds rôles sont un peu mous. Les aléas amoureux sont trop nombreux pour être captivants et le récit est un peu trop linéaire. Mais les différents aspects des relations sont bien représentés avec une justesse propre au réalisateur.