Anything else, la vie et tout le reste : Critique presse
Anything else, la vie et tout le reste
Note moyenne
3,6
18 titres de presse
Chronic'art.com
Les Inrockuptibles
Le Monde
Le Point
Positif
Positif
Première
Zurban
aVoir-aLire.com
Aden
Ciné Live
L'Express
L'Humanité
Le Figaro
Libération
MCinéma.com
Studio Magazine
Télérama
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
Chronic'art.com
par Vincent Malausa
Anything else est un vrai petit bonheur comme on n'en avait plus vu depuis Maudite Aphrodite ou Nuits de Chine. Ni trop sombre et amer (Harry dans tous ses états) ni trop léger (Escrocs mais pas trop) : un retour à la fantaisie et au pur plaisir de la mise en scène.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Au-delà du rituel allenien, le cinéaste parvient à faire passer de manière diffuse le malaise qui a envahi son monde et sa vie. Alors, il est comment ce nouveau "woudi-alène" ? Drôle, réussi et enelevé, oui. Mais également un peu plus triste, un peu plus amer que d'habitude.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Le Monde
par Thomas Sotinel
Jason Biggs et Christina Ricci sont tous les deux des figures ultra-contemporaines (...) Woody Allen les dépouille non pas tant de leur aspect extérieur que de leur langage (...) Ce contraste entre la physionomie des deux jeunes acteurs et leur expression est extrêmement attendrissant. C'est peut-être lui qui permet aux dialogues de retrouver souvent le swing qui faisait le charme des comédies alleniennes de la fin des années 1970.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par Olivier De Bruyn
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Positif
par Stéphane Goudet
(...) le texte est un peu austère, mais captivant pour qui accepte le projet du film, et dès que le silence s'impose, les plans sont magnifiques, d'une puissance inédite. Comme si Oliveira (...) avait trouvé un nouveau point d'équilibre entre l'invention plastique et la richesse du dialogue.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Positif
par Grégory Valens
Dans la peau de ce mentor vieillisant, Woody Allen est bouleversant (...) le champ que Anything else travaille, c'est celui de l'intime. Intimité avec le cinéma de Woody Allen qu'implique cette relecture émouvante de ses premières oeuvres de maturité - ce serait un bonheur pour happy few si les few n'étaient si nombreux.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Nicolas Schaller
Un peu myope aux starting-blocks, le nouveau Woody, 33e du nom, a vite fait de redresser ses lunettes pour nous servir un menu archi-connu mais qu'il est bon de retrouver bien cuisiné (...) On a plaisir à retrouver le réalisateur s'attarder sur ce qu'il connaît le mieux.
La critique complète est disponible sur le site Première
Zurban
par Claire Vassé
Il faut bien l'avouer quand même, les scènes avec Woody Allen restent les plus drôles et on en redemande. Mais la petite frustration qui découle de cette discrète présence n'est pas un défaut, elle est au contraire l'atout du film. Woody joue à la coquette et on aime ça.
aVoir-aLire.com
par Sébastien Tong
Certes, pour Anything else, Woody Allen n'hésite pas à recuisiner ses veilles recettes mais, c'est sans doute la marque des chefs, la sauce prend toujours aussi bien. Le cinéaste dote ses personnages de dialogues champagne.
Aden
par Philippe Piazzo
Certes, on sourit parfois un peu, mais avec l'arrière-goût d'une immense nostalgie. Pas drôle d'être devant la copie délavée d'un ancien tableau qu'on aimait tant.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Ciné Live
par Grégory Alexandre
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
L'Express
par Eric Libiot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
par Jean Roy
La mécanique est si répétitive, attendue, qu'elle impressionne moins, ce qui comporte certainement une part d'injustice.
Le Figaro
par Marie-Noëlle Tranchant
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Libération
par Gérard Lefort
Ce ressassement paraîtrait lassant, voire pathétique (peines de coeur chez les cartes Gold), s'il n'était ponctué de petits détails cousus main dans un film relevant par ailleurs du prêt-à-filmer. En roue libre mais les pneus crevés, Anything Else (la Vie et tout le reste) nous convient.
MCinéma.com
par Hugo de Saint Phalle
On a beau sourire devant les pérégrinations amoureuses des deux héros et quelques répliques bien senties, il manque un réel enjeu scénaristique. (...) Reste malgré tout la prestation impeccable des comédiens, Jason Biggs en tête.
Studio Magazine
par Patrick Fabre
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Télérama
par François Gorin
Anything else montre une libido bien préservée pour un quasi septuagénaire (quelques plans de l'appétissante Christina Ricci en attestent) et une fêlure côté coeur : discrète image mais si frappante, en regard de l'ambiance printanière du film, d'un ciel gris de Manhattan orphelin de ses tours jumelles. Quant aux jambes (baisses de rythme), ou au ventre (surlignage, empâtements), c'est plutôt là que le bât blesse.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Chronic'art.com
Anything else est un vrai petit bonheur comme on n'en avait plus vu depuis Maudite Aphrodite ou Nuits de Chine. Ni trop sombre et amer (Harry dans tous ses états) ni trop léger (Escrocs mais pas trop) : un retour à la fantaisie et au pur plaisir de la mise en scène.
Les Inrockuptibles
Au-delà du rituel allenien, le cinéaste parvient à faire passer de manière diffuse le malaise qui a envahi son monde et sa vie. Alors, il est comment ce nouveau "woudi-alène" ? Drôle, réussi et enelevé, oui. Mais également un peu plus triste, un peu plus amer que d'habitude.
Le Monde
Jason Biggs et Christina Ricci sont tous les deux des figures ultra-contemporaines (...) Woody Allen les dépouille non pas tant de leur aspect extérieur que de leur langage (...) Ce contraste entre la physionomie des deux jeunes acteurs et leur expression est extrêmement attendrissant. C'est peut-être lui qui permet aux dialogues de retrouver souvent le swing qui faisait le charme des comédies alleniennes de la fin des années 1970.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Positif
(...) le texte est un peu austère, mais captivant pour qui accepte le projet du film, et dès que le silence s'impose, les plans sont magnifiques, d'une puissance inédite. Comme si Oliveira (...) avait trouvé un nouveau point d'équilibre entre l'invention plastique et la richesse du dialogue.
Positif
Dans la peau de ce mentor vieillisant, Woody Allen est bouleversant (...) le champ que Anything else travaille, c'est celui de l'intime. Intimité avec le cinéma de Woody Allen qu'implique cette relecture émouvante de ses premières oeuvres de maturité - ce serait un bonheur pour happy few si les few n'étaient si nombreux.
Première
Un peu myope aux starting-blocks, le nouveau Woody, 33e du nom, a vite fait de redresser ses lunettes pour nous servir un menu archi-connu mais qu'il est bon de retrouver bien cuisiné (...) On a plaisir à retrouver le réalisateur s'attarder sur ce qu'il connaît le mieux.
Zurban
Il faut bien l'avouer quand même, les scènes avec Woody Allen restent les plus drôles et on en redemande. Mais la petite frustration qui découle de cette discrète présence n'est pas un défaut, elle est au contraire l'atout du film. Woody joue à la coquette et on aime ça.
aVoir-aLire.com
Certes, pour Anything else, Woody Allen n'hésite pas à recuisiner ses veilles recettes mais, c'est sans doute la marque des chefs, la sauce prend toujours aussi bien. Le cinéaste dote ses personnages de dialogues champagne.
Aden
Certes, on sourit parfois un peu, mais avec l'arrière-goût d'une immense nostalgie. Pas drôle d'être devant la copie délavée d'un ancien tableau qu'on aimait tant.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
La mécanique est si répétitive, attendue, qu'elle impressionne moins, ce qui comporte certainement une part d'injustice.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Libération
Ce ressassement paraîtrait lassant, voire pathétique (peines de coeur chez les cartes Gold), s'il n'était ponctué de petits détails cousus main dans un film relevant par ailleurs du prêt-à-filmer. En roue libre mais les pneus crevés, Anything Else (la Vie et tout le reste) nous convient.
MCinéma.com
On a beau sourire devant les pérégrinations amoureuses des deux héros et quelques répliques bien senties, il manque un réel enjeu scénaristique. (...) Reste malgré tout la prestation impeccable des comédiens, Jason Biggs en tête.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
Anything else montre une libido bien préservée pour un quasi septuagénaire (quelques plans de l'appétissante Christina Ricci en attestent) et une fêlure côté coeur : discrète image mais si frappante, en regard de l'ambiance printanière du film, d'un ciel gris de Manhattan orphelin de ses tours jumelles. Quant aux jambes (baisses de rythme), ou au ventre (surlignage, empâtements), c'est plutôt là que le bât blesse.