AlloCiné
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Votre avis sur Les Dents de la mer 3 ?
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C'est pas vrai... ha ha ha...Ah ,les pov types, mais comment ils ont osé faire une connerie pareille...
Méme pour 83, c'est trop a chier, les effets sont parmi les plus minables jamais vus avec les scénes de vol de Superman 4. Je me le suis retapé avec ma mére cet été et on s'est vraiment bien fendu la poire tellement c'est pourri, les acteurs sont ahurrissants de nullité et les dialogues sont affligeants.
Méme pour 83, c'est trop a chier, les effets sont parmi les plus minables jamais vus avec les scénes de vol de Superman 4. Je me le suis retapé avec ma mére cet été et on s'est vraiment bien fendu la poire tellement c'est pourri, les acteurs sont ahurrissants de nullité et les dialogues sont affligeants.
Un troisième volet de "Jaws" vraiment pas dèplaisant et bien meilleur que certains nanars de requins à trois têtes, T-Rex ou dans l'espace! « Encore plus terrifiant » stipulait le slogan du film de Joe Alves à sa sortie! A l'heure où j'ècris ses lignes, flotte encore dans ce parc aux attractions sous-marin une odeur familière et nostalgique des annèes 80 (merci FR3). Les frères Brody, Bouchard, Kay & Kelly! Le casting fait ce qu’il a à faire, avec Dennis Quaid, Lou Gossett Jr. , Bess Armstrong et la jolie Lea Thompson qui se cherche encore! Le souci en revanche de "Jaws 3-D" c'est son relief qui tombe à plat quant on le voit à la tèlè! Mais la re-vision du film en Blu-Ray 3D est une bonne surprise! Si la rèussite consiste à faire ce que l'on a envie de faire, alors Joe Alves a gagnè son pari! Un requin, clair sur ses intentions, qui entre dans une nouvelle dimension dans de nouvelles aventures! Ne soyons pas injustes : en son temps, "Les dents de la mer 3" (1983) prèsentait un concept calibrè pour le divertissement pur et simple! Un vrai plaisir coupable en somme, un classique du nanar à requin...
weihnachtsmann
C’est la fête au village pour l’inauguration, un requin apparaît au milieu des gentils dauphins et avale vivant devant les spectateurs un plongeur!!!!
Enfin une attraction sensationnelle….
Malheureusement cela ne se déroule pas exactement comme ça et je trouve cet épisode un peu trop étriqué dans son complexe de loisir. Trop sombre aussi. Dans le sens qu’on ne voit pas grand chose. Ça arrange évidemment les effets spéciaux.
Manimal est là. Il aurait dû se changer en requin aussi pour le combattre. Encore une séquence qui aurait été originale
Enfin une attraction sensationnelle….
Malheureusement cela ne se déroule pas exactement comme ça et je trouve cet épisode un peu trop étriqué dans son complexe de loisir. Trop sombre aussi. Dans le sens qu’on ne voit pas grand chose. Ça arrange évidemment les effets spéciaux.
Manimal est là. Il aurait dû se changer en requin aussi pour le combattre. Encore une séquence qui aurait été originale
Roub E.
Il n y a absolument rien qui va dans cette suite des dents de la mer qui misait à l époque sur son aspect 3D qui devait je l imagine facilement être franchement vilaine. En 2D le film est immonde. Les effets spéciaux et maquillages sont calamiteux, le bâclage de chaque aspect saute aux yeux, il n y a aucun rythme. Il est juste involontairement drôle et mérite sans soucis son titre de nanard. Et pourtant avec une histoire assez semblable Steven Spielberg reprendra la main quelques années plus tard avec Jurassic Park, comme quoi le talent ça aide pour un bon film.
Ti Nou
Après un premier épisode formidable, la saga continue sa déchéance. Rien ne va dans cette suite : la mise en scène est en permanence à côté de la plaque et ruine tous ses effets, peu aidée par des effets spéciaux affreux.
Voilà un film qui m'a littéralement traumatisé enfant, je devais avoir 6 ans quand je l'ai vu, et ce n'était même pas un visionnage du film en entier, juste de sa première partie (ce fut suffisant pour me traumatiser, croyez-moi). Je me suis longtemps souvenu avec effroi de cette tête flottant dans l'eau, de ce corps à la morgue, défiguré, bien abîmé, une fois le drap retiré...Pendant des années, je n'ai pas voulu voir ce film à cause de ça, je l'ai finalement vu en entier une dizaine d'années plus tard, et...bon, clairement, ce film est raté, un bon gros navet, et ce qui m'avait impressionné enfant ne m'a rien fait à 16 ans, en même temps, des films plus brutaux étaient passés par là entre temps.
Pas le pire de la saga (c'est le suivant), mais à des années-lumière du précédent, lequel était déjà très loin de l'original. A noter qu'à l'époque, il était sorti en 3D en salles.
Pas le pire de la saga (c'est le suivant), mais à des années-lumière du précédent, lequel était déjà très loin de l'original. A noter qu'à l'époque, il était sorti en 3D en salles.
Qui aurait cru qu’un troisième volet des requins mangeurs d’humains verrait le jour ? Cette nouvelle suite se passe des années après les deux premiers films, puisque cette fois ce sont les enfants du héros qui vont sauver la population du féroce squale. L’histoire prend place ici dans un parc aquatique et cela offre un duel inévitable entre les visiteurs du parc et le géant des mers, malheureusement, au-delà de cette bonne idée le scénario, le reste du film ne vaut pas grand-chose. Nanardesque, précurseur des futurs Sharknado, affublé d’une 3D qui devait déjà être horrible à l’époque, le film offre des personnages caricaturaux, à mille lieux sous les mers du charisme du film original.
Le 3ème volet de Jaws fut un flan à tous les niveaux : réalisation, dialogues et scénario catastrophiques, attaques des requins mère-fils grotesques, effets spéciaux ridicules, ratage complet de la 3D, B.O absente ou gonflante, personnages insignifiants (qu'est donc venu faire Dennis Quaid dans cette galère ?), etc. De plus, la restauration en bluray est très granuleuse et certains plans ont même le rendu qu'une vhs! Jaws 3 tient clairement plus du nanar que du film d'épouvante. Malgré tout, ce film vaut son pesant d'or rien que pour le passage du requin qui danse le moonwalk et le final "ptdr".
Suite inutile et ennuyeuse, pourtant un peu mieux gérée que le précédent opus. On retiendra surtout des effets spéciaux horriblement et involontairement drôles.
ferdinand75
Un nouvel opus où on essaie d'introduire un effet 3D, pour créer une nouvelle sensation . Ce sont maintenant les deux fils du policier qui doivent surveiller les côtes. Un bébé requin s'est piégé lui même, dans un parc aquatique, à eux de surveiller la mère requin blanc. Un scénario très faible, pour un opus bien inutile.
Le dents de la mer 3 poursuit la descente aux enfers qualitative de la saga.
Le 1er volet était un chef-d'oeuvre. Le deuxième film était de bonne facture mais n'avait finalement pas grand chose à sauver. Ce troisième volet n'a clairement plus d'inspiration. D'ailleurs il fera ce que feront plus tard quasiment toutes les sagas d'horreur (l'acteur principal ne voulant plus joué dans ces films, on va mettre en avant ses enfants devenus adultes). Autre cliché précurseur dans cette saga des autres franchises d'horreur : la lubie de vouloir faire un troisième film en 3D et clairement cette technologie au début des années 80 à mal vieilli (à part flouter et mal pixeliser les bords du cadre filmé, rien de notable).
Le budget a augmenté par rapport aux précédents volets (et notamment au 1er film) et on ne peut pas vraiment dire que ça se ressente à l'écran : le requin ne fait pas plus réaliste (le budget est peut-être passé chez les véritables dauphins qu'on voit à l'écran).
Ça reste amusant malgré lui, c'est peut-être ça qui sauve le film.
Le 1er volet était un chef-d'oeuvre. Le deuxième film était de bonne facture mais n'avait finalement pas grand chose à sauver. Ce troisième volet n'a clairement plus d'inspiration. D'ailleurs il fera ce que feront plus tard quasiment toutes les sagas d'horreur (l'acteur principal ne voulant plus joué dans ces films, on va mettre en avant ses enfants devenus adultes). Autre cliché précurseur dans cette saga des autres franchises d'horreur : la lubie de vouloir faire un troisième film en 3D et clairement cette technologie au début des années 80 à mal vieilli (à part flouter et mal pixeliser les bords du cadre filmé, rien de notable).
Le budget a augmenté par rapport aux précédents volets (et notamment au 1er film) et on ne peut pas vraiment dire que ça se ressente à l'écran : le requin ne fait pas plus réaliste (le budget est peut-être passé chez les véritables dauphins qu'on voit à l'écran).
Ça reste amusant malgré lui, c'est peut-être ça qui sauve le film.
Le premier opus restera à tout jamais un film culte des années 1970 et encore aujourd'hui, il reste une référence dans le genre des films de Squales. Il était donc évident, hélas, qu'il fasse des petits... Et dans ce troisième volet, adieu Chef Brody, mais madame et les deux petits sont bien là. Le film tourne essentiellement sur la peur des requins de la mère de famille suite aux différents drames qu'a vécu sa famille et du fils aîné qui est devenu biologiste marin. Pour le reste, rien de nouveau, un requin tueur mais au Bahamas (car il y a suivi la famille depuis Amity ). On passera bien sur sur l'horreur visuelle du requin car film de 1983 avec un budget bien plus faible que le premier. Donc ce film aurait aussi bien mérité de ne jamais exister car à part continuer à faire beaucoup de mal aux requins, il n'apporte pas grand chose cinématographiquement parlant.
Quelle catastrophe ! Effet spéciaux nullissime ont parle même pas du requin ce film est si risible ou nul ...
Fêtons le cinéma
Jaws-3D semble très fier de sa technologique et des nouveaux frissons qu’elle peut susciter auprès du public ; dès lors, la réalisation oscille entre des gros plans destinés au relief, qui font surgir poissons et mammifères ainsi que membres déchiquetés flottant çà et là, et d’autres d’une platitude terrible, comme exécutés machinalement entre deux défis visuels. Le résultat, pour le spectateur contemporain, relève du supplice : la 3D montre rapidement ses limites, elle qui paraissait déjà datée au moment de la sortie du film, si bien que le découpage des vaisseaux nautiques ou de la femme requin blanc suscite hilarité et consternation mêlées. Mais ce défaut sur le plan visuel engendre un second défaut, plus important encore, sur le plan du rythme : l’arrêt par pauses sur des objets et des corps casse la dynamique d’ensemble et détruit l’action, au même titre que le montage approximatif.
Ce qu’il manque cruellement à ce troisième volet est la présence, derrière la caméra, d’un cinéaste ; ce qui lui fait défaut, terriblement, c’est une mise en scène apte à intégrer les innovations 3D dans un récit solide, par ailleurs ici scénarisé par Richard Matheson. Qu’un grand requin blanc propulsé dans un parc d’attractions en compagnie de son petit diffuse un tel sentiment d’indifférence laisse sans voix.
Ce qu’il manque cruellement à ce troisième volet est la présence, derrière la caméra, d’un cinéaste ; ce qui lui fait défaut, terriblement, c’est une mise en scène apte à intégrer les innovations 3D dans un récit solide, par ailleurs ici scénarisé par Richard Matheson. Qu’un grand requin blanc propulsé dans un parc d’attractions en compagnie de son petit diffuse un tel sentiment d’indifférence laisse sans voix.
Quand Steven Spielberg réalisa Les Dents de la Mer, il ne devait pas s’attendre à voir son film transformé en saga d’horreur d’exploitation. Le troisième épisode servit à expérimenter la 3-D, à la mode en 1983.
On savait tous que le film serait totalement pourri, suite indigne de l’excellent film de Spielberg, qui perd tout ce qu’il y avait de bien dans le film originel : le huis clos sur la mer et le Sheriff Brody, Roy Scheider ayant jeté l’éponge (à raison). On retrouve alors un jeune Dennis Quaid, dans le rôle d’un des deux fils Brody, Louis Gossett Jr. dans le rôle d’un mogul avide, dirigeant d’un Seaworld et Simon MacCorkindale dans le rôle d’un chasseur de requins impitoyable (devinez ce qui lui arrive ?). Ces trois acteurs sont sympathiques et font survivre le film dans sa première heure, d’une longueur insupportable, où il ne se passe ABSOLUMENT rien. Alors que le spectateur s’aperçoit qu’il va s’ennuyer ferme pendant 1h40, il se trouve que la dernière demi-heure est étrangement sympathique, avec un massacre généralisé du requin dans le Seaworld, qui s’occupe de dévorer des personnages d’une débilité insoupçonnée. Le film se retrouve en huis clos (ou presque) et on peut enfin s’amuser coupablement. C’est court, mais c’est mieux que rien, surtout au vu des effets spéciaux scandaleux. Le film étant imaginé pour la 3D, son cadre, en version 2D, est dégoutant et bave sur les côtés, le rendant très dur à regarder avec intérêt.
Jaws 3D est le cas typique du bien mauvais film sauvé par un deuxième acte débilitant mais jouissif. Cependant, c’est bien trop peu pour jubiler et le bilan du film est plutôt négatif. Dommage.
On savait tous que le film serait totalement pourri, suite indigne de l’excellent film de Spielberg, qui perd tout ce qu’il y avait de bien dans le film originel : le huis clos sur la mer et le Sheriff Brody, Roy Scheider ayant jeté l’éponge (à raison). On retrouve alors un jeune Dennis Quaid, dans le rôle d’un des deux fils Brody, Louis Gossett Jr. dans le rôle d’un mogul avide, dirigeant d’un Seaworld et Simon MacCorkindale dans le rôle d’un chasseur de requins impitoyable (devinez ce qui lui arrive ?). Ces trois acteurs sont sympathiques et font survivre le film dans sa première heure, d’une longueur insupportable, où il ne se passe ABSOLUMENT rien. Alors que le spectateur s’aperçoit qu’il va s’ennuyer ferme pendant 1h40, il se trouve que la dernière demi-heure est étrangement sympathique, avec un massacre généralisé du requin dans le Seaworld, qui s’occupe de dévorer des personnages d’une débilité insoupçonnée. Le film se retrouve en huis clos (ou presque) et on peut enfin s’amuser coupablement. C’est court, mais c’est mieux que rien, surtout au vu des effets spéciaux scandaleux. Le film étant imaginé pour la 3D, son cadre, en version 2D, est dégoutant et bave sur les côtés, le rendant très dur à regarder avec intérêt.
Jaws 3D est le cas typique du bien mauvais film sauvé par un deuxième acte débilitant mais jouissif. Cependant, c’est bien trop peu pour jubiler et le bilan du film est plutôt négatif. Dommage.
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