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Skipper Mike
85 abonnés
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5,0
Publiée le 13 août 2013
« You're gonna make them weep, Ann. You're gonna break their hearts. », déclare Carl Denham à la jeune actrice au début du film, mais c'est plutôt à Naomi Watts que s'applique cette phrase. D'une grâce et d'une dignité incroyables, elle illumine ce fabuleux remake, permettant l'impossible : faire croire à une histoire d'amour entre une jeune femme et un primate géant. En grande partie grâce à elle, Peter Jackson parvient à rendre hommage au film original de la meilleure façon, créant un nouveau chef-d’œuvre après sa trilogie "Le Seigneur des Anneaux". Reprenant la formule qui avait fait son succès, Jackson adopte un long format pour rendre justice au mythe que représente Kong, faisant de ce film une grande épopée romanesque, oscillant entre l'aventure et la romance. La photographie est fantastique, baignant les personnages dans une ambiance mélancolique grâce au jeu des lumières, levers et couchers de soleil. L'île apparaît ainsi à la fois comme un enfer et un paradis, malgré les nombreuses scènes oppressantes que contient le film. L'attaque des insectes démesurés est un parfait exemple de cette atmosphère pesante qui peut régner, de même que la scène du sacrifice, éclairée par des rivières de feu dantesques. Quant au mouvement final dans les rues de New York City, il est aussi exaltant qu'émouvant, donnant un nouveau souffle au film qui se perdait parfois un peu trop dans les scènes d'action – peut-être le seul gros défaut apparent du long-métrage : cette surabondance de ralentis aux images saccadées, assez souvent agaçante. Finalement, "King Kong" montre l'ambition de Peter Jackson et les risques qu'il prend : reprendre un classique du septième art peut paraître suicidaire au premier abord – même si, vu le nombre de remakes qui avaient déjà charcuté l’œuvre originale, il aurait pu passer un peu inaperçu s'il avait raté sa version –, mais il a relevé le défi avec brio et parvient à réactualiser et donner un nouvel élan à un mythe à la perfection. James Cameron avait réalisé le même exploit dix ans plus tôt, et ce "King Kong" est peut-être l'équivalent de "Titanic" pour les années 2000.
Peter Jackson est de ces gens qui ont vraiment le don pour rendre des œuvres déjà culte immortelles et démesurés. C'est ce qu'il avait fait avec la trilogie "Le seigneur des anneaux" et réédite cet exploit avec le légendaire King Kong. Bien loin des film de Schoedsack et Guillermin, Jackson donne une humanité déconcertante au singe, ce qui le rend vraiment attachant et on peu lire dans ces yeux des émotions habituellement propre au homme. Les effet spéciaux sont magnifiques, les dinosaures encore plus beau que dans Jurassik parc, les acteurs impeccable (mention spécial à Naomi Watts qui est juste bluffante tant elle transmet des émotions rien qu'avec sont regard). Pas un simple film d'action, King Kong met en avant la soif d'argent qui peut pousser un personnage à détruire ce qu'il aime le plus au monde détruisant ainsi un grand rêve pour le plus grand malheur de la bête détruit par des être bien moins humain qu'elle. Un film qui en met plein la vue et qui fait réfléchir, à ne manquer sous aucun pretexte
Rendre hommage au film qui conditionna son choix de carrière était, pour Peter Jackson, un profond désir que seule l’autonomie artistique et financière qui lui fut accordé après le succès colossal de la trilogie du Seigneur des anneaux pouvait lui permettre d’atteindre. S’il avait déjà glisser des clins d’œil à King Kong dans ses précédentes réalisation (l’île maudite de Braindead s’appelle Skull Island), en signer un remake d’une ampleur aussi épique fut incontestablement l’aboutissement d’un travail titanesque de plusieurs années effectué grâce à l'appui d’une équipe technique de premier choix ainsi que d’acteurs en pleine forme, Noami Watts y est plus éblouissante que jamais et Jack Black et y tient sans doute le meilleur rôle de sa carrière. La reconstitution du New-York des années 30 est aussi magnifique que la motion-capture qui donne vie à ce singe géant, tandis que l’exploration de cette île mystérieuse est une des plus belles aventures vues au cinéma depuis des années. Cette relecture moderne mais très fidèle au chef d’œuvre originel et foisonnantes de scènes inoubliables n’est donc pas qu’une source d’autosatisfaction pour son auteur mais aussi un régal pour tous ses spectateurs qui ne verront pas passer ces trois heures tant il est impossible de ne pas tomber sous le charme de cette spectaculaire histoire d’amour impossible entre une starlette de Broadway et un gorille de neuf mètres de haut, entre la belle et la bête.
Attention, second chef-d’œuvre consacré au célèbre singe géant !!! De la part de Peter Jackson, on ne pouvait pas s'attendre à moins. Il marque un respect vertueux pour le Film de 1933 et lui fait de savoureux clins d’œil. Par contre, il remplace la poésie onirique de la création de Schoedsack par l'action sans temps mort durant trois heures et un solide humour très fin. La romance entre La Belle et la Bête ne manque pas de piment. Les acteurs sont tous très bons, mais je tire mon chapeau à Andy Serkis pour le cuisinier à la Popeye du bateau et son interprétation du grand singe. Les effets spéciaux sont impeccables et supportent sans effort le transfert en Omnimax, ce qui n'était pas toujours le cas des CGI, en 2005. Dans mon cœur le King Kong de 1933 restera l’œuvre inoubliable de son époque. Mais Peter Jackson a signé, depuis le début des années 2000, "Le seigneur des anneaux" qui restera à mon avis la saga de notre temps, "King Kong", "District 9" et enfin, "Bilbon, le voyage inattendu". Toutes sont des créations largement au-dessus des Blockbusters décérébrés actuels. Comme Spielberg et Lucas à la fin des années 1970, Jackson change le cinéma, j'espère que contrairement à ses deux célèbres prédécesseurs, il ne perdra pas sa créativité pour répondre aux trompettes mal embouchées du business hollywoodien.
Le King Kong de Peter Jackson est extraordinaire, émouvant, et riche. Les moments d'épouvante de supplémentent aux moments d'émotion, voir d'amour, et la réalisation est parfaitement menée pour nous faire ressentir toutes les émotions qui doivent en provenir. Le film doit être vu, rien que pour l'affrontement entre la bête, la nature sauvage, et l'idiotie aveugle du monde des Hommes face à la magnificence d'une jeune femme qui défend l'innocence. Un film définitivement magnifique, un maitre dans son domaine ; ou peut être même ... Un roi ?
L'aventure est palpitante et grandiose. Le film dure 3 heures, mais elles sont très bien découpées. On découvre d'abord le vieux NYC années 20. Une jeune femme qui rêve de réussir à Broadway, un scénariste déjà confirmé et un metteur en scène sans scrupules aux ambitions démesurées. Il y a déjà de quoi faire un film avec tout cela, mais une île secrète attire l'attention du troisième cité et va nourrir ses ambitions jusqu'à lui en faire perdre le sens de la raison...
La mise en scène fastueuse, les effets spéciaux bluffants, le très bon casting, ont fait de cette adaptation du chef d’œuvre originel de Merien par Peter Jackson, un spectacle de grande qualité et un divertissement assuré sur tous les niveaux, mais qui n'est quand même pas pour moi à considérer comme un chef d’œuvre du cinéma.
Un film carrément impressionnant sur toute la longueur ! Des images est des effets spéciaux saisissants, des acteurs incroyables, une narration de l'histoire qui monte crescendo et même si l'action se fait un peu attendre, quand elle arrive, elle ne s'arrête plus ! Certaines scènes sont peut-être un peu poussée, notamment celle où les personnages se font poursuivre par les diplodocus, et la chute de ces diplodocus qui s'entassent... Mais le final et vraiment beau, aussi bien visuellement qu'au niveau de l'émotion !
Le réalisateur est de retour avec cette fois- ci un changement radical d'univers. King Kong est LE film que Peter Jackson s'impatientait de réaliser puisqu'étant enfant, il était fan inconditionnel de King Kong sortit en 1933. Son rêve est exaucé, mais, qu'en est- il du film ? Après sa trilogie ultra oscarisée, le réalisateur se lance dans un projet ambitieux : la réalisation de King Kong, adapté deux fois au cinéma, le premier en 1933, le second en 1976. Le moins que l'on puisse dire, c'est que Jackson n'a pas perdu la main puisqu'il arrive à nous tenir en haleine du début à la fin du film et qu'encore une fois, le spectacle est au rendez-vous ! Le scénario est impeccable, les acteurs sont sublimes, particulièrement Naomi Watts qui exprime les émotions avec une justesse impressionnante, Jack Black qui y joue le rôle d'un égoïste ne pensant qu'à son film (puisqu'il endosse le rôle d'un cinéaste) et l'excellent Adrien Brody, sans parler une nouvelle fois de Andy Serkis, très convaincant dans la peau du gorille géant ! Les compositions sont parfaites, la mise en scène maitrisée et les effets spéciaux qui en mettent plein la vue ! Peter Jackson réussit même à nous émouvoir avec un final impressionnant ! 3 Oscars pour ce film dont meilleurs effets visuels une nouvelle fois pour Peter Jackson, qui ressuscite là, un monument du cinéma.
King Kong est un chef d’œuvre, c’est un de mes films préférés, jamais je n’ai eu autant d’émotions qu’avec un film comme celui-là. Il est réalisé dans un format qui lui est propre, d’une durée de plus trois heures, on ne s’ennuie jamais et l’on s’attache aux personnages. Un film Culte.
Un classique d'aventure qui arrive à introduire une dimension fantastique grandiose tout en gardant l'esprit de l'histoire originelle. La relation qui se construit entre la Belle et la Bête est en effet très intéressante et donne au film un certain cachet. Un vrai plaisir, d'un bout à l'autre.
Après sa superbe saga du Seigneur des Anneaux, Peter Jackson nous fait découvrir un film époustouflant avec un excellent scenario mélangeant action et émotion. Ce film m'a fait fait un peu pensé au film Titanic avec son histoire entre la fille et King Kong et aussi sa fin qui est émouvante. Les effets spéciaux ainsi que les effets visuels sont très réussis et les scènes d'actions sont spectaculaires. Les créatures et les décors sont très impressionnants.
Peter Jackson nous offre un excellent film que je trouve malheureusement long par moment et même ennuyant. Mais King Kong reste une véritable réussite qui nous bluffe avec des effets spéciaux extraordinaires notamment une scène culte et grandiose : le combat entre Kong et les dinosaures. Un casting de qualité où apparaissent le trio Naomi Watts, Jack Black et Adrien Brody, qui jouent parfaitement bien. Une musique sublime très bien équilibrée entre les différents moments du film. Peter Jackson met en scène un film à la hauteur de sa célèbre trilogie à succès qui prend un tournant plus sombre et plus sérieux à partir de la première scène sur l'île. En bref, King Kong est un super film qui frôle la perfection si il n'y aurait pas eu de longueurs, notamment à la fin où je m'endort à chaque fois.
Un très beau remake du classique de 1933, je crois que ce projet était destiné à Peter Jackson, car durant de nombreuses interviewes, il a pas mal rappelé que son film fétiche était le King Kong de 33, il en avait fait un petit remake étant ado avec une vieille figurine et la caméra super8 de ses parents, bref il a dû prendre un pied monumental à faire ce film, et on sent son enthousiasme constamment présent dans ce remake, à travers sa mise en scène talentueuse, car il n'oublie jamais les personnages et l'émotion au milieu d'une flopée d'effets spéciaux, d'écrans verts et d'astuces pour montrer au spectateur des décors impressionnants de jungle oppressante ou du New York des années 30 qui n'est plus du tout pareil en 2005. Car Jackson aime tellement King Kong qu'il a choisi de situer l'action en 1933 comme dans le film originel, tout en glissant de nombreux clins d'oeil ; le travail accompli par son équipe est prodigieux. Les 3 heures passent bien, si l'on excepte un peu la première demi-heure un peu longue à New York où les personnages doivent être identifiés par le spectateur, mais dès que le bateau quitte le port, c'est parti pour la grande aventure et l'inconnu. Les acteurs livrent de bonnes prestations, notamment Naomi Watts qui comme l'explique Jackson dans son commentaire de DVD, a un rôle quasi muet avec le gorille géant, tout doit passer par les regards et l'expression corporelle, de même que Jack Black se révèle très bon dans un rôle dramatique. Parmi les moments forts, on retient les séquences avec les dinosaures avec notamment l'époustouflant fight entre Kong et les T-Rex, un véritable exploit technique et un grand morceau de bravoure, ainsi que la séquence du ravin avec d'horribles bestioles. Mais l'émotion est bien présente et on y va de sa petite larme lorsque Kong se retrouve avec Ann sur un étang gelé, dans son repaire lors d'un crépuscule de toute beauté, ou encore dans l'émouvante scène finale sur l'Empire State Building. Le personnage de Kong en lui-même est une grande réussite technique, presque entièrement réalisée en motion capture grâce à Andy Serkis, un habitué de ce procédé. N'oublions pas non plus la musique de James Newton Howard qui donne une jolie note lyrique à ce grand spectacle de qualité. Bravo Peter, ton rêve est accompli !