Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
20 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Olivier Joyard
L'effort de marketing ferait presque oublier le cadeau : un casting très "grands noms de Cannes" avec ses sommets (Imamura, Chahine) et un niveau moyen pas honteux.
Cine Libre
par Matthieu Perrin
11'09"01 september 11 est un film important et nécessaire, parce qu'à partir d'une image horrible, onze cinéastes ont réussi à faire naître d'autres images, des échos souvent plein d'espoir. A ce titre, on se doit d'aller le voir (les recettes seront reversé à Handicap international).
La critique complète est disponible sur le site Cine Libre
Ciné Live
par Sandra Benedetti
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Obs
par Jérôme Garcin
Chacun, malgré les contraintes coercitives du court-métrage et l'obligation de respecter un sujt imposé, s'y exprime en restant fidèle à lui-même (...). Tout sauf Chahine.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Jean-Michel Frodon
L'intensité émotionnelle d'Amours chiennes aide à mieux percevoir quel enjeu se trouvait dans le montage des onze parties : en tête ou en fin de film, il lui aurait imposé une polarisation émotive. Installé parmi les autres, il émet haut et clair sa note singulière, sans déséquilibrer un film dont l'ouverture, les incertitudes et les contradictions ne sont pas les moindres qualités.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Echos
par Annie Coppermann
On le voit, il n'y a ici aucune ligne directrice mais un tissu, vivant, de sensibilités et de talents qui ouvre la porte à la réflexion, à la fois sur le cinéma et sur l'état du monde...
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Si les Américains sont choqués à juste titre par certains raccourcis de Chahine, ils feraient bien de regarder le segment Loach.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
MCinéma.com
par Yann Kerloc'h
Dans cette boîte aux dimensions très précises, on n'a que des surprises.
Studio Magazine
par Thierry Chèze
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
par Elodie Lepage
Mention spéciale à Idrissa Ouedraogo qui appelle, avec beaucoup d'humour, à un intérêt semblable de la communauté internationale pour les malheurs persistants du continent africain.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Aden
par Phillipe Piazzo
Ici, chacun (dé) tourne le sujet à sa manière et certains hérissent le poil.
Chronic'art.com
par Vincent Malausa
Si l'idée en soi de laisser libre court à l'expression d'une poignée d'artistes d'origines différentes est passionnante, le projet souffre malheureusement d'un aspect "package" assez difficilement supportable.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
L'Express
par Eric Libiot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Humanité
par Vincent Ostria
Attentat du 11 septembre : après les tee-shirts, les sets de table, voici le film, série de courts métrages dus à un panel de cinéastes connus. Si aucun d'entre eux ne se fourvoie dans la commémoration convenue, seul le Nippon Imamura étonne avec sa fable bizarre sur un homme-serpent, qui se conclut par la phrase : "Il n'y a pas de guerre sainte." Sorti de là, c'est l'auberge espagnole.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Figaro
par Marie-Noëlle Tranchant
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Libération
par Antoine De Baecque
(...) film à sketches culotté mais disparate.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Obejctif-Cinema.com
par Gilles Lyon-Caen
11'09''01 est une oeuvre hétérogène, constituée de onze points de vue, chacun de onze minutes et neuf secondes plus une image. Cinéaste ou pas, prudence est le maître-mot : il est de bon ton d'être humble face à un tel sujet. Ici, certains films, conçus dans l'urgence, énoncent une réflexion très ambiguë, en particulier chez Amos Gitaï et Ken Loach.
La critique complète est disponible sur le site Obejctif-Cinema.com
Première
par Olivier De Bruyn
Beau point d'orgue d'un programme dans l'ensemble recommandable.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Jean-Claude Loiseau
Forcément, onze films courts et disparates ne font pas un film cohérent.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Zurban
par N. T. Binh
Tous les courts-métrages sont intéressants, et un seul, celui de Chahine, est raté (au point d'être embarrassant). Celui de Sean Penn, avec Ernest Borgnine, est laborieux. Celui de Lelouch, avec Emmanuelle Laborit, est réussi, mais gâché par une fin ridicule.
Cahiers du Cinéma
L'effort de marketing ferait presque oublier le cadeau : un casting très "grands noms de Cannes" avec ses sommets (Imamura, Chahine) et un niveau moyen pas honteux.
Cine Libre
11'09"01 september 11 est un film important et nécessaire, parce qu'à partir d'une image horrible, onze cinéastes ont réussi à faire naître d'autres images, des échos souvent plein d'espoir. A ce titre, on se doit d'aller le voir (les recettes seront reversé à Handicap international).
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Obs
Chacun, malgré les contraintes coercitives du court-métrage et l'obligation de respecter un sujt imposé, s'y exprime en restant fidèle à lui-même (...). Tout sauf Chahine.
Le Monde
L'intensité émotionnelle d'Amours chiennes aide à mieux percevoir quel enjeu se trouvait dans le montage des onze parties : en tête ou en fin de film, il lui aurait imposé une polarisation émotive. Installé parmi les autres, il émet haut et clair sa note singulière, sans déséquilibrer un film dont l'ouverture, les incertitudes et les contradictions ne sont pas les moindres qualités.
Les Echos
On le voit, il n'y a ici aucune ligne directrice mais un tissu, vivant, de sensibilités et de talents qui ouvre la porte à la réflexion, à la fois sur le cinéma et sur l'état du monde...
Les Inrockuptibles
Si les Américains sont choqués à juste titre par certains raccourcis de Chahine, ils feraient bien de regarder le segment Loach.
MCinéma.com
Dans cette boîte aux dimensions très précises, on n'a que des surprises.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
Mention spéciale à Idrissa Ouedraogo qui appelle, avec beaucoup d'humour, à un intérêt semblable de la communauté internationale pour les malheurs persistants du continent africain.
Aden
Ici, chacun (dé) tourne le sujet à sa manière et certains hérissent le poil.
Chronic'art.com
Si l'idée en soi de laisser libre court à l'expression d'une poignée d'artistes d'origines différentes est passionnante, le projet souffre malheureusement d'un aspect "package" assez difficilement supportable.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
Attentat du 11 septembre : après les tee-shirts, les sets de table, voici le film, série de courts métrages dus à un panel de cinéastes connus. Si aucun d'entre eux ne se fourvoie dans la commémoration convenue, seul le Nippon Imamura étonne avec sa fable bizarre sur un homme-serpent, qui se conclut par la phrase : "Il n'y a pas de guerre sainte." Sorti de là, c'est l'auberge espagnole.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Libération
(...) film à sketches culotté mais disparate.
Obejctif-Cinema.com
11'09''01 est une oeuvre hétérogène, constituée de onze points de vue, chacun de onze minutes et neuf secondes plus une image. Cinéaste ou pas, prudence est le maître-mot : il est de bon ton d'être humble face à un tel sujet. Ici, certains films, conçus dans l'urgence, énoncent une réflexion très ambiguë, en particulier chez Amos Gitaï et Ken Loach.
Première
Beau point d'orgue d'un programme dans l'ensemble recommandable.
Télérama
Forcément, onze films courts et disparates ne font pas un film cohérent.
Zurban
Tous les courts-métrages sont intéressants, et un seul, celui de Chahine, est raté (au point d'être embarrassant). Celui de Sean Penn, avec Ernest Borgnine, est laborieux. Celui de Lelouch, avec Emmanuelle Laborit, est réussi, mais gâché par une fin ridicule.