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Réalisé par un certain Marcel Gibaud, "La rue sans loi" est une adaptation de l'univers et du style du caricaturiste Dubout, lequel co-signe le scénario. Ses personnages forment dans un quartier citadin (Paris?) une micro société typée, à la mode des années 1900, populaire et complètement farfelue. La comédie fourmille de figures burlesques, récurrentes ou pas, parmi lesquelles ce fameux couple dont Dubout a rendu la silhouette célèbre: l'épouse massive et tyrannique avec son mari chétif à son côté.
Quoique pas toujours convaincant et efficace, le film témoigne d'une réelle ambition artistique, de cohérence dans le style et l'humour, lequel détonne dans la production de l'époque. Certes, la mise en scène n'est pas très élaborée, ne bénéficie pas, faute d'intrigue, d'un sujet "structurant", et le récit, par conséquent, est décousu. Mais la singularité burlesque des personnages, tant formelle que dialectique, ne s'estompe pas, se maintient dans une joviale irréalité et se manifeste à travers une multitude et une succession ininterrompue de gags dont la candeur le dispute à la puérilité. Car on ne rit pas forcément de ce comique d'un autre temps. On retient surtout de la comédie sa population caricaturale, bigarrée et loufoque.
Quoique pas toujours convaincant et efficace, le film témoigne d'une réelle ambition artistique, de cohérence dans le style et l'humour, lequel détonne dans la production de l'époque. Certes, la mise en scène n'est pas très élaborée, ne bénéficie pas, faute d'intrigue, d'un sujet "structurant", et le récit, par conséquent, est décousu. Mais la singularité burlesque des personnages, tant formelle que dialectique, ne s'estompe pas, se maintient dans une joviale irréalité et se manifeste à travers une multitude et une succession ininterrompue de gags dont la candeur le dispute à la puérilité. Car on ne rit pas forcément de ce comique d'un autre temps. On retient surtout de la comédie sa population caricaturale, bigarrée et loufoque.
Film très amusant et burlesque. Il marque les débuts du vaudeville en France mais également les débuts de Louis de Funès devant la caméra. Malgré les critiques négatives que j'ai pu voir, je le conseille à tout ceux qui aiment ce genre de film.
Un film très démodé et complètement déjanté qui m'a fait beaucoup rire ! Louis DE FUNES (méconnaissable) y a un second rôle assez important mais n'est même pas au générique. La vedette de l'affiche semble être Annette POIVRE , femme de Raymond BUISSIERE. Il y a beaucoup d'inventivité et d'audaces comiques dans ce film, inspiré par un caricaturiste ce qui est très rare. Il mériterait de repasser à la TV, au moins sur Arte. C'est très déjanté, comme le sont aujourd'hui Eric et Ramzy ou Michaël YOUN.
Vu par curiosité dans la collection Rene Château car présence de Louis De Funès...mis en avant sur le visuel de la jaquette alors qu’il a un rôle secondaire.Difficile de parler de film car nous avons une succession de scènettes tournées en studio (de 20 m2) ou des gens de milieu populaires se côtoient,volent,trichent,etc...sans cohérence et surtout sans lien ni scénario,se dire que cela faisait rire en 1950( pourtant année de ma naissance)laisse pantois,des acteurs sans direction,sans dialogue,en grimaçant...même avec le recul et le fait que Dubout,dessïnateur doué pour ses caricatures soit partie prenante dans ce brouillion est déconcertant
Un film très étonnant, très surprenant si bien que je me suis demandé ce que j’étais en train de visionner ! Je ne connaissais pas l’univers de ce caricaturiste Dubout qui m’a fait découvrir une œuvre qui lui est propre , mêlant absurde et satire ( même si L’un ne va rarement sans l’autre). Une comédie qui mérite d’être vue au moins une fois dans une vie afin de nous permettre de développer un certain esprit critique.
Cependant quelques scènes peuvent paraître un peu longues et ennuyeuses !
Cependant quelques scènes peuvent paraître un peu longues et ennuyeuses !
Conçu et imaginè par le cèlèbre caricaturiste Albert Dubout qui signe dans la même foulèe le scènario et les dialogues, "La rue sans loi" est une sorte de "You Can't Take It With You" à l'envers! Une comèdie sous champignons avec une galerie de doux-dingues très titi parisien qui s'amusent comme des gosses de cinq ans : Annette Poivre, Nathalie Nattier, Max Dalban et Gabriello qui domine « la rue sans loi » avec ses joyeux lurons! Nous sommes dans un monde comme un autre mais cependant quelque chose ne va pas dans cette rue! Ça part un peu trop dans tous les sens! Du coup, le ton absurde adoptè ôte de sa force au sujet, gâchant parfois le talent des acteurs, pourtant tous amusants! Mais on peut se rèjouir de voir les forces de l'ordre en train de faire de la trottinette et de fuir devant les voleurs ou voir la Joconde finir ses jours dans une auberge mal famèe! Dans les seconds rôles, Louis de Funès a une immense barbe qui fait des siennes! Excellent pianiste, Fufu nous gratifie d'une berceuse peu commune! Sa prestation, sans être catastrophique, ne restera pas dans les annales! N'est pas Frank Capra qui veut...
Le fait qu'il y ait De Funes au générique n'y change rien, même si c'est c'est sans doute l'unique raison pour laquelle ce navet à été réédité. En mathématique zéro zéro ça fait toujours zéro. Rien à sauver, navrant et ridicule.
Un exécrable produit bas de gamme des années 50 qui serai totalement oublié dans l'oubli s'il n'y avait pas eu la présence d'un débutant nommé : Louis de Funès.
Un pur navet qui ne survit que par la présence en second rôle d'un certain Louis de Funès à ses débuts.
L'idée du film était de porter au cinéma l'univers du dessinateur Dubout (qui a écrit le scénario) Pari impossible ? Et pari raté ! Pourtant ça à beau être nul, on reste jusqu'au bout, preuve que quelque chose nous accroche quand même (l'extravagance d'Annette Poivre, les cuisses de la superbe Nathalie Nattier ?)
C’est un vieux film qui ne vole pas bien haut et qui a très mal vieillit. Je n’ai pas grand chose à dire à part que la présence de Louis de Funès dans ce film lui permet de relever un peu son niveau. 03 / 20.
l'un des pires navets du cinéma français qu'il faut tout de même avoir vu pour pouvoir ensuite juger les films que l'on désigne ainsi . Vaut uniquement pour un jeune acteur débutant , un certain louis de funès
Sil ny avait eu, dans La Rue sans loi, la présence - pourtant très minime - de Louis de Funès, jamais, ô grand jamais, nous naurions eu loccasion de retrouver cet incommesurable navet, signé Marcel Gibaud. Ce dernier dailleurs, hormis quelques courts métrages, naura laissé la moindre trace dans lhistoire du cinéma. Cest peut-être sévère, mais cette comédie dune heure-vingt (et non dune heure quarante tel que le Dvd et certains sites le préténdent) de 1950 est véritablement lamentable à re (voir). Lhistoire de ce groupe qui fait régner la loi dans un quartier parisien, et qui projette un hold-up, ne tient jamais la route. Mal vieilli me diriez-vous ? Se remettre dans le contexte de lépoque ? Non, je réfute tout cela, même le public bien moins exigeant de lépoque na dû, na pu apprécier cette suite de gags insipides. Et puis, de quand date Molière ! Un seul mot pour qualifier ce film tourné dans un espace apparent de huit mètres sur cinq : pénible. Lunivers du célèbre caricaturiste et affichiste Albert Dubout le père spirituel de Wolinski - avait pourtant quelque chose de très particulier (voir dailleurs www.dubout.fr). Mais art littéraire et art cinématographique se marient parfois mal, le film se soldant ainsi par un cuisant échec. Quant à De Funès, emmitoufflé dans son interminable barbe, violoncelliste pour loccasion, il parvient juste à anticiper quelques mimiques qui feront sa gloire, mais bien plus tard
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