Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
20 critiques presse
L'Express
par Jean-Pierre Dufreigne
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Monde
par Jean-Luc Douin
C'est avec malice que Gilles Marchand, tout en maîtrisant son ballet de seringues, ses alternances d'ambiances nocturne où le blanc de l'hôpital injecte un sentiment d'enfer électrique, joue avec les pulsions du spectateur comme il s'amuse des frayeurs et des apprentissages de son héroïne.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Film noir d'une clarté immaculée, le premier long-métrage de Gilles Marchand met en scène avec style les tourments d'une jeune infirmière se débattant entre rêve et cauchemar.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par Yannick Lemarié
Le jeune réalisateur-scénariste envisage les deux facettes de son métier de manière très liée, et ça se voit. La réussite de son film repose à la fois sur la précision du scénario et celle de la mise en scène (...à
La critique complète est disponible sur le site Positif
aVoir-aLire.com
par Valérie Iniesta
Difficile de croire que ce film est un premier long métrage, tant le film de Gilles Marchand (connu jusqu'ici pour son travail de scénariste) est abouti. Cadrage, décors, musique ont été choisis avec une précision impressionnante. Les acteurs, époustouflants, sont dirigés avec rigueur, avec finesse et aussi une large place à l'émotion.
L'Humanité
par Michaël Melinard
(...) le long-métrage épouse - se perd momentanément ? - les codes du thriller. Reste que cette oeuvre vaut également par sa qualité intrinsèque. Les acteurs, magnifiques y compris dans les seconds rôles, sont parfaitement dirigés par le cinéaste.
Le Point
par Olivier de Bruyn
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Libération
par Philippe Azoury
Que la jeune biche tourne en jolie bourrique, d'amour et de peur confondus, nous voilà, comme elle, attirés et sur le qui-vive devant l'ambition sinon la folie de Marchand : réussir dans le cinéma français un film de genre qui ne prend pas son public pour des cons. Qui l'emmène loin, très loin, dans les friches d'un scénario qui se laisse lui-même prendre par le vertige de son héroïne.
Première
par Gérard Delorme
Bonne surprise : un premier film français rigoureusement écrit, qui s'amuse de choses horribles et n'a pas honte de montrer du style (...) Si le film présente des faiblesses, elles sont liées à la nature un peu frivole de ce genre d'exercice. Mais il procure un plaisir devenu si rare qu'on aurait eu tort de s'en priver.
La critique complète est disponible sur le site Première
Synopsis
par Virginie Apiou
Ce jeu de miroir où l'un semble devenir la pâture de l'autre est bercé par une mise en image flirtant avec l'onirisme et le fantastique, telle la dernière respiration de deux agonisants silencieux dans une voiture.
Télérama
par Aurélien Férenczi
Pour exprimer ce dérèglement, Gilles Marchand se pose, à l'écran, des questions de " pure mise en scène " (...) Le réalisateur sait aussi s'appuyer sur sa science du dialogue (...) La référence à David Lynch n'est pas innocente. Elle revient, de loin en loin, parfois de façon trop volontariste, à l'image d'un dénouement décevant. Gilles Marchand possède pourtant manifestement le talent de filmer sans maître.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Aden
par Philippe Piazzo
Manque d'incertitudes ? Mais l'on pourra très bien s'en accommoder : certaines séquences établissent si fortement un lien visuel entre la crainte et le désir, l'envie de connaître le mal et celle de l'éviter, que l'équilibre se rétablit. Au spectateur d'avoir surtout envie de se laisser mener.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Ciné Live
par Christophe Chadefaud
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Obs
par Pascal Mérigeau
(...) un thriller ambitieux mais pas entièrement convaincant, parce que son rythme le rend trop prévisible et accuse une certaine lourdeur des effets dramatiques.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par Dominique Borde
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
MCinéma.com
par Olivier Pélisson
Dans cet univers anesthésié, Marchand réussit à installer une ambiance pesante (...) Les trois quarts du film se déroulent dans une harmonie de récit et une atmosphère oppressante linéaires, avant de finir par à-coups successifs, car la fin à rebonds semble interminable.
Studio Magazine
par Thierry Chèze
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
TéléCinéObs
par Olivier Bonnard
Doué d'un vrai sens du cadre, secondé par une photo superbe mettant en valeur la froideur du milieu médical, Gilles Marchand installe une atmosphère à couper au couteau. Le film est intrigant... jusqu'à ce qu'il devienne interminable : on ne comprend pas où Gilles Marchand veut en venir (...)
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Cahiers du Cinéma
par Emmanuel Burdeau
C'est parce qu'il s'acharne à envisager la mise en scène comme une puissance séparée et à l'opposer symétriquement au scénario que, trop souvent, un certain cinéma français oscille vainement entre naturalisme plat et abstraite prétention à l'art.
Chronic'art.com
par Vincent Malausa
(...) Mélange de multiples genres mal absorbés (thriller, fantastique, conte de fées, documentaire provincial), esbroufe maladroite, travail d'élève laborieux et appliqué : rien de plus, au fond, qu'un gros téléfilm vaniteux et bouffi.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Monde
C'est avec malice que Gilles Marchand, tout en maîtrisant son ballet de seringues, ses alternances d'ambiances nocturne où le blanc de l'hôpital injecte un sentiment d'enfer électrique, joue avec les pulsions du spectateur comme il s'amuse des frayeurs et des apprentissages de son héroïne.
Les Inrockuptibles
Film noir d'une clarté immaculée, le premier long-métrage de Gilles Marchand met en scène avec style les tourments d'une jeune infirmière se débattant entre rêve et cauchemar.
Positif
Le jeune réalisateur-scénariste envisage les deux facettes de son métier de manière très liée, et ça se voit. La réussite de son film repose à la fois sur la précision du scénario et celle de la mise en scène (...à
aVoir-aLire.com
Difficile de croire que ce film est un premier long métrage, tant le film de Gilles Marchand (connu jusqu'ici pour son travail de scénariste) est abouti. Cadrage, décors, musique ont été choisis avec une précision impressionnante. Les acteurs, époustouflants, sont dirigés avec rigueur, avec finesse et aussi une large place à l'émotion.
L'Humanité
(...) le long-métrage épouse - se perd momentanément ? - les codes du thriller. Reste que cette oeuvre vaut également par sa qualité intrinsèque. Les acteurs, magnifiques y compris dans les seconds rôles, sont parfaitement dirigés par le cinéaste.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Libération
Que la jeune biche tourne en jolie bourrique, d'amour et de peur confondus, nous voilà, comme elle, attirés et sur le qui-vive devant l'ambition sinon la folie de Marchand : réussir dans le cinéma français un film de genre qui ne prend pas son public pour des cons. Qui l'emmène loin, très loin, dans les friches d'un scénario qui se laisse lui-même prendre par le vertige de son héroïne.
Première
Bonne surprise : un premier film français rigoureusement écrit, qui s'amuse de choses horribles et n'a pas honte de montrer du style (...) Si le film présente des faiblesses, elles sont liées à la nature un peu frivole de ce genre d'exercice. Mais il procure un plaisir devenu si rare qu'on aurait eu tort de s'en priver.
Synopsis
Ce jeu de miroir où l'un semble devenir la pâture de l'autre est bercé par une mise en image flirtant avec l'onirisme et le fantastique, telle la dernière respiration de deux agonisants silencieux dans une voiture.
Télérama
Pour exprimer ce dérèglement, Gilles Marchand se pose, à l'écran, des questions de " pure mise en scène " (...) Le réalisateur sait aussi s'appuyer sur sa science du dialogue (...) La référence à David Lynch n'est pas innocente. Elle revient, de loin en loin, parfois de façon trop volontariste, à l'image d'un dénouement décevant. Gilles Marchand possède pourtant manifestement le talent de filmer sans maître.
Aden
Manque d'incertitudes ? Mais l'on pourra très bien s'en accommoder : certaines séquences établissent si fortement un lien visuel entre la crainte et le désir, l'envie de connaître le mal et celle de l'éviter, que l'équilibre se rétablit. Au spectateur d'avoir surtout envie de se laisser mener.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Obs
(...) un thriller ambitieux mais pas entièrement convaincant, parce que son rythme le rend trop prévisible et accuse une certaine lourdeur des effets dramatiques.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
MCinéma.com
Dans cet univers anesthésié, Marchand réussit à installer une ambiance pesante (...) Les trois quarts du film se déroulent dans une harmonie de récit et une atmosphère oppressante linéaires, avant de finir par à-coups successifs, car la fin à rebonds semble interminable.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
Doué d'un vrai sens du cadre, secondé par une photo superbe mettant en valeur la froideur du milieu médical, Gilles Marchand installe une atmosphère à couper au couteau. Le film est intrigant... jusqu'à ce qu'il devienne interminable : on ne comprend pas où Gilles Marchand veut en venir (...)
Cahiers du Cinéma
C'est parce qu'il s'acharne à envisager la mise en scène comme une puissance séparée et à l'opposer symétriquement au scénario que, trop souvent, un certain cinéma français oscille vainement entre naturalisme plat et abstraite prétention à l'art.
Chronic'art.com
(...) Mélange de multiples genres mal absorbés (thriller, fantastique, conte de fées, documentaire provincial), esbroufe maladroite, travail d'élève laborieux et appliqué : rien de plus, au fond, qu'un gros téléfilm vaniteux et bouffi.