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Il y a donc ce que l'on voit (aujourd'hui, hors du camp) et ce que l'on ressent, à travers l'actrice et son émotion, à travers ce que l'on connaît de cette page d'histoire (hier, à l'intérieur du camp). Ces deux mouvements se juxtaposent. Telle est la singularité de cette fiction nourrie de réel.
La critique complète est disponible sur le site Aden
A 75 ans, la cinéaste a eu l'énergie incroyable de réaliser ce film, avec la conscience de la disparition inexorable des derniers témoins de la Shoah. Restituant ainsi à l'abstrait "devoir de mémoire" toute son imparable nécessité.
La cinéaste réussit l'impensable, rendre plausible le dialogue entre un petit-fils de SS et cette survivante qui se libère de la culpabilité de l'oubli (...) Aujourd'hui, sans images d'archives, tourné par un bel automne dans une Pologne méfiante, son film émeut. Pensé au présent, sa facture et sa portée sont magnifiques.
La critique complète est disponible sur le site Positif
La pudeur et la dignité hantent ce film d'une sincérité totale. On pourrait certes pointer telle ou telle maladresse (...) Mais la nécessité impérieuse à l'origine de La Petite prairie aux bouleaux est si sensible au détour de chaque plan que l'exercice critique est irrémédiablement disqualifié.
La critique complète est disponible sur le site Première
Anouk Aimée vraiment extraordinaire (...) Travail d'épure construit sur une matière brute, conçu sans haine ni esprit de vengeance, le film de Marceline Loridan est un voyage intime qui confine à l'universel.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Tout ça n'est pas tout à fait homogène, ne coule pas de source, d'autant que les défis lancés à Anouk Aimée sont d'ordre si divers qu'il lui est parfois difficile d'y répondre. Mais, sans cesse, Marceline Loridan-Ivens ramène son film vers le lieu essentiel de la douleur qu'elle habite encore tant qu'elle est vivante et qui sera bientôt peuplé de fantômes.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Ce film-ci est loin d'être médiocre, il pâtit juste de ce qui est censé le rendre plus attrayant : la présence d'Anouk Aimée incarnant l'histoire de Myriam, une ancienne déportée (...) le jeu de l'actrice choisie, son surjeu parfois (les foudroyants regards lancés aux non-juifs croisés dans l'enceinte ou autour du camp) font trop souvent écran, empêchent l'émotion vraie.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Parfois malhabile, le film émeut pourtant, alternant réalisme et métaphore. Il livre au final un point de vue inédit et nécessaire sur la mémoire douloureuse d'une déportée, entre blocages et trahisons.
Les ingrédients de ce projet, avec leur sincérité et leurs simplismes, restent là, posés côte à côte à l'écran, sans que rien ne se produise (...) ni la douleur ni l'engagement d'une comédienne pour une cause ne font du cinéma.
Aden
Il y a donc ce que l'on voit (aujourd'hui, hors du camp) et ce que l'on ressent, à travers l'actrice et son émotion, à travers ce que l'on connaît de cette page d'histoire (hier, à l'intérieur du camp). Ces deux mouvements se juxtaposent. Telle est la singularité de cette fiction nourrie de réel.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
C'est un bouleversant témoignage autobiographique sur la Shoah. Un voyage douloureux dans sa mémoire. Un bel hymne aussi à la vie après le cauchemar.
Libération
A 75 ans, la cinéaste a eu l'énergie incroyable de réaliser ce film, avec la conscience de la disparition inexorable des derniers témoins de la Shoah. Restituant ainsi à l'abstrait "devoir de mémoire" toute son imparable nécessité.
Positif
La cinéaste réussit l'impensable, rendre plausible le dialogue entre un petit-fils de SS et cette survivante qui se libère de la culpabilité de l'oubli (...) Aujourd'hui, sans images d'archives, tourné par un bel automne dans une Pologne méfiante, son film émeut. Pensé au présent, sa facture et sa portée sont magnifiques.
Première
La pudeur et la dignité hantent ce film d'une sincérité totale. On pourrait certes pointer telle ou telle maladresse (...) Mais la nécessité impérieuse à l'origine de La Petite prairie aux bouleaux est si sensible au détour de chaque plan que l'exercice critique est irrémédiablement disqualifié.
TéléCinéObs
Anouk Aimée vraiment extraordinaire (...) Travail d'épure construit sur une matière brute, conçu sans haine ni esprit de vengeance, le film de Marceline Loridan est un voyage intime qui confine à l'universel.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Monde
Tout ça n'est pas tout à fait homogène, ne coule pas de source, d'autant que les défis lancés à Anouk Aimée sont d'ordre si divers qu'il lui est parfois difficile d'y répondre. Mais, sans cesse, Marceline Loridan-Ivens ramène son film vers le lieu essentiel de la douleur qu'elle habite encore tant qu'elle est vivante et qui sera bientôt peuplé de fantômes.
Les Inrockuptibles
Un film mû par une nécessité impérieuse, indiscutable, qui cherche une forme de transmission de l'indicible sans toujours y parvenir.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
Ce film-ci est loin d'être médiocre, il pâtit juste de ce qui est censé le rendre plus attrayant : la présence d'Anouk Aimée incarnant l'histoire de Myriam, une ancienne déportée (...) le jeu de l'actrice choisie, son surjeu parfois (les foudroyants regards lancés aux non-juifs croisés dans l'enceinte ou autour du camp) font trop souvent écran, empêchent l'émotion vraie.
Zurban
Parfois malhabile, le film émeut pourtant, alternant réalisme et métaphore. Il livre au final un point de vue inédit et nécessaire sur la mémoire douloureuse d'une déportée, entre blocages et trahisons.
Cahiers du Cinéma
Les ingrédients de ce projet, avec leur sincérité et leurs simplismes, restent là, posés côte à côte à l'écran, sans que rien ne se produise (...) ni la douleur ni l'engagement d'une comédienne pour une cause ne font du cinéma.