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Stephenballade
402 abonnés
1 239 critiques
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1,5
Publiée le 18 mars 2017
Lors de sa promo, "Bienvenue chez les Rozes" avait bénéficié d’un sacré tapage médiatique, mais était-ce bien la peine ? Le casting aurait dû suffire à lui-même. Mais on voulait promettre au public une grande et immense comédie satirique. Pensez-donc : présentés comme dangereux, deux malfaiteurs venant de s’évader se réfugient dans une maison habitée par des gens guindés, dans le genre BCBG et si coincés qu’ils se montrent conciliants. Très conciliants. Eh bien méfiez-vous des apparences ! Avec "Bienvenue chez les Rozes", on pousse la porte de l’absurde pour plonger dans un océan de situations ridicules apportées par un florilège d'apparences trompeuses. Le problème est que cette comédie ne trouve jamais son rythme. Le scénario méritait une mise en scène plus enlevée, ce qui aurait permis aux dialogues de fuser dans tous les sens, un peu à la manière de "Les vieux de la vieille", tiens. Bon d’accord, ce n’est pas la même chose, et encore moins la même époque. Mais au moins, ça nous permettrait de ne pas lutter contre un rythme à la limite de la soporification ! (oui je sais, ce mot n’existe pas mais après tout, j’estime avoir le droit d’être moi aussi satirique). Parce que là, on a l’impression de vivre une mauvaise pièce de théâtre. C’est finalement Carole Bouquet qui s’en sort le mieux, et je suis sûr que sur une scène planchéiée, elle s’en serait donnée à cœur joie. Un rôle relativement à contre-emploi pour elle, lequel a été le principal intérêt en ce qui me concerne : oui, j’avoue avoir eu les yeux rivés sur les jarretières de ses bas qu’elle n’avait de cesse à mettre en évidence, et sur son collier qui descendait dans son profond décolleté, m’interrogeant aussi sur le pourquoi ce fichu collier n'en bougeait jamais. Ben oui, elle montre : je regarde. Normal ! Et puis... le reste était tellement inintéressant… (oh ! la belle excuse ! Lol !). Même les plans sur le jardin trahissent que le tournage s'est fait en studio avec des décors paraissant dater des années 50/60 ! Le scénario partait pourtant d’une bonne idée. Excellente, même. Sauf que... Dommage !!
Une comédie française a l'humour noir. Mais malheureusement seul Lorent Dutsh et Dujardin arrive à percer dans ce film. Un scénario un peu trop lourd, et trop sur jouer par les acteurs. Quelque moment de rire, pour trop de moment de lassitude.
2 évadés de prison se retrouve collé au dos un double meurtre sur 2 agents de police. Ils croient trouvé refuge chez une famille le temps dune nuit. Qui est le plus barge entre les 2 truands et la famille composé dune mère assez antipathique, une fille suicidaire et un père amateur de bon vin et hypocrite ? Tout le paradoxe du film est là :comment la vie de famille peut devenir encore plus mafieuse que lassociation de 2 racailles de la société. Si le tout manque un peu de consistance, la fin demeure assez plaisante avec des personnages attachants et un duo Dujardin-Deutsh amusant mais pas folichon. Si lhumour noir prend une place prépondérante dans le film on sent lhésitation du réalisateur à mettre un coup de folies dans le cinéma français. On aurait vu Bienvenue chez les rozes plus au thêatre, mais cest au cinéma quil nous donne rendez-vous pour un bon divertissement sans prétention.
Un film que j'avais bien aimé il y a quelques temps déjà, mais qui aujourd'hui ne m'enthousiasme plus du tout. Le casting est sympathique, le scénario abracadabrantesque avait de quoi séduire, mais l'humour fait très rarement mouche, le côté absurde ne prend pas. Bref une comédie très dispensable, sans intérêt particulier, ce qui est dommage car il y avait un certain potentiel.
Je serais malhonnête en disant que ce film est un pure navet. Mais il s'en approche. Le scenario est tellement mal foutu qu'à aucun moment on ne croit à l'histoire. Ca aurait pu être marrant come idée, mais pour qu'on y croit encore aurait il fallu introduire au début de l' histoire qq éléments pour annoncer qui étaient vraiment les Roze. Et que le jeu des acteurs, Carole Bouquet en tête, soit autant soi peu crédible. En plus, la seule vraie surprise de l'histoire (comment ont été tués les flics et qui sont vraiment nos deux truands) est annoncé presqu'au début. Alors que ça aurait pu faire un sacré bon rebondissement de fin. Bref, un film à oublier bien vite.
Ce film avec jean dujardin est marrant, mais pas tant que ça !! Si vous aimez jean dujardin, pas la peine de vous ruer dessus. Peut etre qu'il est bon dans un gars une fille, mais pour moi, il n'as pas été convaincant dans les films de comédie, mais plutot dans contre enquete, un film très serieux, à voir.
Comédie pas terrible,l'humour est recherchée de façon assez maladroite en grossissant trop autant les événements que les traits des personnages qui sont du coup peu crédibles en dépit d'un casting intéressant mais qui n'est pas bien exploité. Et la présence des randonneurs,c'est d'un ringard.
Un film qui commence très fort, mais qui va se perdre tout droit dans l'abîme des scénarios bancales, des mauvais acteurs, des fins abracadabrantesques, et de l'humour noir, très noir! Bon point à Dujardin (très convaincant dans ses rôles sérieux, confère: Le Convoyeur; sûrement plus que dans ses rôles pseudo-comiques!), bon point à Poésy, qui fait une belle entrée dans le cinéma (meme si se mettre à poil n'est pas obligatoire je crois pour être une actice, quoique). Mauvais point aux rôles du fils Rozes, absolument exagéré, à la limite du ridicule avec tous ces clichés de la jeunesse bourgeoise! Mauvais point enfin, à l'acteur jouant le fils Rozes (encore lui), qui joue vraiment mal, on se demande où il a fait ses classes, aucun charisme, aucun charme, aucun effort surtout..."
Une bizarrerie. Une sorte d'ovni du cinéma. Carole Bouquet est excellente. Les autres acteurs sont moyens. Quelques bonnes scènes mais l'ensemble a du mal à tenir debout. Dommage.
C’est une famille bourgeoise où atterrissent deux truands en cavale. Les psychopathes ne sont pas ceux que l’on pense, et une série de quiproquos nous révèlent un André Wilms et une Carole Bouquet complètement déjantés dans un régal d’humour grinçant à l’anglaise.