Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
9 critiques presse
MCinéma.com
par Jean-Luc Brunet
Quant à Jean Dujardin, le Loulou de France 2, il se sort avec les honneurs de son premier grand rôle au cinéma. Le film, lui, malheureusement, ne figure pas au nombre de nos chouchous du moment. Dommage !
Première
par Christophe Narbonne
La mère, une foldingue, est jouée sans filet par une Carole Bouquet aussi déchaînée que dans Blanche. Ces deux comédies trash sont d'ailleurs comparables : les dialogues font parfois mouche mais le manque d'enjeu frôle l'indigence.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Magazine
par Thierry Cheze
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Aden
par Philippe Piazzo
Sinon, reste le jeu de massacre. Bien trop gentil, ici, pour effrayer. Et comme, pour son premier film, Francis Palluau a aussi l'ambition de s'aventurer du côté de l'absurde pur, il égare encore plus le spectateur après s'être égaré. Difficile de ripoliner le trash et de faire une comédie grand public avec une tendance à la John Waters.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Chronic'art.com
par Laurent Robert
Sournoisement présenté comme une petite bombe subversive confectionnée avec une large rasade de comique corrosif, Bienvenue chez les Rozes et son humour (?) à peine potache ne fait même pas l'effet d'un attentat pâtissier qui éclabousse sa cible de ridicule.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Ciné Live
par Emmanuel Cirodde
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
par Christophe Carrière
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
TéléCinéObs
par Jean-Philippe Guérand
Faute d'un chef capable de monter cette mayonnaise pourtant composée d'ingrédients de choix, on garde de l'expérience un fort déplaisant arrière-goût.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Télérama
par Louis Guichard
Chacun est supposé révéler son côté sauvage selon un crescendo délirant de vices et de crimes. Mais vu le flou de la direction d'acteurs et la faiblesse homogène des dialogues et des situations, il n'y a guère de différence entre l'avant et l'après.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
MCinéma.com
Quant à Jean Dujardin, le Loulou de France 2, il se sort avec les honneurs de son premier grand rôle au cinéma. Le film, lui, malheureusement, ne figure pas au nombre de nos chouchous du moment. Dommage !
Première
La mère, une foldingue, est jouée sans filet par une Carole Bouquet aussi déchaînée que dans Blanche. Ces deux comédies trash sont d'ailleurs comparables : les dialogues font parfois mouche mais le manque d'enjeu frôle l'indigence.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Aden
Sinon, reste le jeu de massacre. Bien trop gentil, ici, pour effrayer. Et comme, pour son premier film, Francis Palluau a aussi l'ambition de s'aventurer du côté de l'absurde pur, il égare encore plus le spectateur après s'être égaré. Difficile de ripoliner le trash et de faire une comédie grand public avec une tendance à la John Waters.
Chronic'art.com
Sournoisement présenté comme une petite bombe subversive confectionnée avec une large rasade de comique corrosif, Bienvenue chez les Rozes et son humour (?) à peine potache ne fait même pas l'effet d'un attentat pâtissier qui éclabousse sa cible de ridicule.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
TéléCinéObs
Faute d'un chef capable de monter cette mayonnaise pourtant composée d'ingrédients de choix, on garde de l'expérience un fort déplaisant arrière-goût.
Télérama
Chacun est supposé révéler son côté sauvage selon un crescendo délirant de vices et de crimes. Mais vu le flou de la direction d'acteurs et la faiblesse homogène des dialogues et des situations, il n'y a guère de différence entre l'avant et l'après.