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Alolfer
133 abonnés
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4,0
Publiée le 23 juin 2020
Ce teen movie de John Hugues ,devenu culte , est un excellent film . Matthew Broderick interprète le personnage de Ferris Bueller , un personnage drole et content de sa vie actuelle . Super film et film culte
La Folle Journée de Ferris Bueller est une comédie plutôt sympathique mais le fait qu'elle soit érigée au rang de film culte pour toute une génération me semble un poil surfait. Finalement, le postulat de base n'est pas des plus originaux puisque l'on suit un adepte de l'école buissonnière et usant de tous les stratagèmes les plus ingénieux (avec des compétences en informatique dépassant largement celles de ses enseignants) pour arriver à ses fins. On suit ses mésaventures avec deux amis durant une journée où il s'est fait passé pour malade pour sécher les cours. Malheureusement, si l'ensemble du film est indéniablement sympathique, il y a tout de même peu de gags ayant engendré des rires de ma part. Le casting est séduisant avec un Matthew Broderick (acteur dont la carrière a véritablement chaviré depuis) très convaincant en jeune lycéen désinvolte. Son personnage est attachant, même s'il ne constitue clairement une incitation à travailler à l'école. Jeffrey Jones, Jennifer Grey, Mia Sara et Alan Ruck complètent bien le casting. Ce n'est pas pour moi LA comédie des années 80 mais ça se regarde bien.
Pur teenage movie signé John Hughes, le rénovateur et spécialiste du genre dans les années 1980-90. C'est léger et potache. Jamais vulgaire. Doté d'une certaine inventivité et d'un bon rythme. Assez drôle. Pas mal fait, donc, au final, mais l'argument et l'intérêt du film sont quand même très minces. Et les acteurs, généralement cabotins, parfois agaçants.
Matthew Broderick n'est assurément pas à blâmer pour son interprétation, virevoltante et sympathique, soutenue par les adresses directes à la caméra qui améliorent notre perception du protagoniste. Cependant, l'invraisemblance totale et le manque de cohérence de l'intrigue viennent démolir tout possible humour, simplement gagesque ou violemment caricatural à l'égard du monde adulte - et notamment enseignant, présenté avec un total mépris. En outre, la morale passablement détestable n'encourage guère à la sympathie pour ces fainéants menteurs et dédaigneux. Finalement le personnage le plus intéressant aurait pu être celui incarné par Charlie Sheen qui en deux minutes fournit la prestation la plus marquante!
"la folle journée de Ferris Bueller" ou "Serge le Mytho sauvé par le gong.."
Ferris Bueller, est le personnage que tout ado regardant ce film rêve d'être alors qu'au fond il n'y a que des Cameron Frye....
Film cool qui a révélé Serge le Mytho au monde... Bon ça a marché une fois... Ok mais que va-t-il devenir ce gars là ?... Il va finir par s'engager dans la police et devenir l' Inspecteur gadget !
Enfin, Bébé, même dans le coin, n'a pas été perdue pour tout le monde...Mais où est Charlie (sheen) ? dans la bouche à bébé... soupe de langue au comico...
Le film transpire les bons sentiments, la naïveté, l'insouciance. L'œuvre de John Hugues est représentative d'une époque, d'un certain style de vie, qu'il a sût capter par sa caméra. Mais il n'en demeure pas moins que le film est laborieux sur bien des aspects. On ne s'attache pas aux personnages principaux qui manquent de développement. C'est un trio de jeunes bourgeois en manquent de sensations fortes dans leur banlieue chic, et jouant les rebelles du haut de leur confort de privilégiés. Les identités respectives sont caricaturales au possible : Ferris est l'agaçant beau gosse rebelle, Cameron est l'écorché de la bande, tyrannisé par son père, et Sloane fait office de belle plante. Jeffrey Jones est finalement le plus crédible, malgré le rôle péjoratif qu'il endosse (plus plaisant qu'un Ferris qui réussit tellement toutes les initiatives qu'il se lance au point de manquer d'humanité dans son rôle). L'humour est parfois mal amené, pénible, excessivement niais, et les longueurs se font ressentir. Malgré ça, on hume le parfum d'impertinente légèreté et de nostalgie qui se dégage de cette comédie familiale. La mélancolie fonctionne, et on réalise qu'il faut profiter du peu de temps qui nous est imparti. Le film n'est pas une catastrophe, mais il souffre de nombreux défauts qui détériorent son niveau qualitatif.
J'adore ce film. Dommage qu'ils n'ont pas fait une suite. J'adore l'humour cool et décalé de Ferris Bueller (loin de l'humour gras et vulgaire des teens movies sortis dans les années 90/2000). Le film est de 1986, à une touche "de années 80", mais bizarrement il fait presque intemporel. Un film à voir et à revoir.
le film excelle dans un genre dont je ne suis pas spécialement amateur, mais Johnn Hugues sait s’y prendre avec suffisamment d’habileté pour livrer une chronique de l’adolescence à la fois drôle et attendrissante, avec un personnage de proviseur jubilatoire. Je n’y vois toutefois pas le monument que certains y voient mais c’est sans conteste du très bon cinéma, dans son registre.
Bon j'avais détesté Breakfast Club qui a le symptôme du film d'ados écrit par un vieux qui fantasme sur ce qu'est l'adolescence toute en se volant réaliste en brisant certains clichés (et en en créant de nouveaux). Ici on va dire que la folle journée de Ferris Bueller a l'avantage de n'être qu'un fantasme et de ne quasiment pas se prendre au série. C'est une pure comédie, ce qui rend le film tout de suite plus appréciable (lorsque l'on a pas des discours sur le fait de s'affirmer face à son papounet qui préfère la Ferrari à son fils ou sa femme).
Le film est plutôt bien rythmé, John Hughes se permet quelques apostrophes afin de maintenir le spectateur éveillé, il se passe plein de trucs, les jeunes font plein de conneries, certaines sont drôles, d'autres moins, globalement le film est sympathique... Cependant je trouve que le film échoue à être plus qu'une succession de sketchs où Ferris Bueller est plus malin de que tout le monde et la met à l'envers à son Principal ou n'importe quel autre adulte pouvait se mettre entre lui et sa folle journée.
Je comprends des dialogues qu'on est censé éprouver une certaine mélancolie de tout ce bordel, c'est la dernière fois qu'il peut se permettre de sécher les cours, ensuite les trois comparses seront séparés car ils iront à la fac, donc il faut en profiter car la vie est courte... Et je dois dire que je ne l'ai pas vu dans le film, enfin je l'ai entendu, car c'est dit... car on a l'ami du héros qui est là en train de dire que c'est le meilleur jour de sa vie... (j'aimerais bien savoir en quoi) Mais rien n'aide réellement à se sentir nostalgique, mélancolique d'une époque ou n'aide réellement à profiter du temps qui nous est imparti. Disons que le réalisateur échoue à faire passer son message avec du cinéma.
Et puis je suis désolé, mais les personnages ne sont pas réellement des personnages, se sont des fonctions, des clichés, on a le héros beau gosse rebelle qui veut s'amuser et qui ne propose jamais rien de plus... l'ami qui est peureux, qui vit sous l'emprise de son père et qui va s'en libérer (banalité/20) et la copine qui est trop bonne et qui est juste ça... qui n'a pas une once de personnalité à elle. Elle est juste là pour être là et c'est tout.
Donc ouais c'est rigolo, tout ce que tu veux... Mais bon c'est quand même pas bien malin... Il en faudra bien plus pour que j'estime que John Hughes puisse être un réalisateur intéressant.
Une folle journée d'aventures buissonnières de lycéens, regardable par tout le monde, y compris des enfants, puisque les protagonistes sont loin d'être des terreurs. On ne s'ennuie pas, et... c'est tout, il ne faut pas chercher autre chose.
Dans la veine des Maman j’ai raté l’avion et autres comédies dans le veine des années 80, J.Hughes nous claque un feel good movie pour adolescents enchaînant les gags et les situations comiques. L’un des premiers grands rôles de M.Broderick. Générationnel et culte pour beaucoup un vrai bon moment de cinéma.
Une bonne petite comédie, avec l'énergie fougueux de Matthew Broderick, qui n'a pas trop vieillie. Un scénario simple mais efficace sur la perte de temps dans la journée d'une vie. Quelques guest comme Charlie Sheen ou Jennifer Grey. Le style de John Hughes sur la vie des adolescents dans la ligne de Breakfast club, un style purement années 80. Le générique est accompagné d'une vidéo du directeur de lycée, prenant le bus scolaire, en très mauvais état et il faudra attendre y voir la fin pour avoir une petite surprise ! Amusant !