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Serpiko77
57 abonnés
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3,0
Publiée le 4 septembre 2021
Vénérés ou détestés, les films de John Hugues sont terriblement ancrés dans leur époque et on beaucoup de mal à fonctionner et à parler à la jeunesse d'aujourd'hui ou bien ceux qui n'ont pas grandi durant les années 80, celui-ci ne déroge pas à la règle. Ce "Ferris Bueller" est pourtant le feel-good movie par excellence, véritable ode au carpe diem et à l'insouciance (mais aussi à l'oisiveté et à l'impertinence...).
Le film porte très mal son titre. Le synopsis et lui pourraient laisser penser à une aventure mouvementée et intense mais finalement c'est tout l'inverse. Un peu comme dans une pizzeria où les pizzas donnent envie sur la carte sauf que l’appétit s'envole une fois dans l'assiette. Les scènes s'enchaînent beaucoup trop vite sans vraiment être exploitées et ne se lient pas entre elles. Quelques gags font sourire, le jeu d'acteur est convaincant et l'histoire est sympathique à suivre. Quelle bonne surprise de voir Charlie Sheen dans un de ses premiers films même si son rôle est loin d'être très important. Un bon divertissement.
Ce film brille malheureusement plus par sa médiocrité que par un quelconque intérêt comique. On ne rit pas, on sourit à peine, et ce uniquement grâce à l’excellente prestation d’Edie Mclurg, rarement présente à l’écran. Matthew Broderick, censé jouer un « bogoss », laissons moi rire. Il est en plus de cela mauvais et fade. Et puis il faut dire que l’idée de base était déjà particulièrement peu engageante. 1 étoile pour Edie McClurg et Jennifer Grey. Le reste est à fuir le plus vite possible.
Déjà auteur du très correct Seize bougies pour Sam et du très bon Breakfast Club, John Hugues nous donne ici son troisième film de collège en trois ans. Ce nouvel essai est comme les autres opus une satire féroce de la société, celle des parents, des professeurs et en général de tout adulte inséré dans le système. C’est un peu primaire comme idéologie mais ça fonctionne grâce à des trouvailles cinématographiques certes pas géniales mais inventives et échappant à la vulgarité, ce qui n’est déjà pas si mal. Spectacle familial et de divertissement par excellence donc…
La folle journée de Ferris Bueller, à la fois très insouciant et plein de rêves ! Il rend de bonne humeur avec des gags subtils et loin d'être aguicheurs ou démodés, des personnages drôles et attachants et un rythme bien soutenu. En revanche, ce qui dénote fortement, c'est évidemment la morale sous-entendant que sécher si on ne se fait pas choper c'est pas grave, que mentir pour s'amuser c'est acceptable, que aller à l'école c'est nul, que les professeurs sont ridicules et que les cancres sont des modèles à représenter. Ca fait beaucoup d'idées très mauvaises à balancer, surtout auprès des jeunes. Bien que, comme la plupart du temps, ces messages ne soient pas tous volontaires, ils finissent par le devenir. Un film ce n'est pas qu'un divertissement, mais c'est aussi un message, une morale. Le film est réussi, la morale un peu moins.
"La folle journée de Ferris Bueller":quel souvenir! C'est le teen-movie des années 80 qui a donné envie à beaucoup d'ados de sécher l'école pour profiter de la vie.Drôle,libéré et intelligent à l'image du travail de John Hugues,à l'acuité du regard sur la jeunesse américaine.Ferris est la star de son lycée.Cancre assumé,il préfère utiliser ses capacités intellectuelles à piéger ses parents et son proviseur avec une inventivité délirante(le mannequin ronfleur,la substitution d'identité, l'emprunt d'une Ferrari...).A rendre chèvre les adultes!Il entraîne sa petite amie et son grand dadais de comparse dans des aventures à travers Chicago,avec un sens de l'impertinence que seuls des jeunes culottés peuvent avoir.Les gags sont innombrables,surtout avec le proviseur,crétin mesquin,qui ne cherche qu'à coincer Ferris.C'est drôle de voir comment sécher les cours était toute une histoire auparavant!La mise en scène vitaminée de Hugues sert le grain de folie de ses acteurs,avec en tête d'affiche un Matthew Broderick à qui l'on donnerait le bon Dieu sans confession!Très représentatif de cet âge de tous les possibles,"Ferris Bueller" se revoit toujours avec grand plaisir,et a inspiré quantité de comédies déjantés actuelles.
Un film sympathique et divertissant. Ce n'est pas exceptionnel mais ça fait passer un bon moment. Le film se veut léger, mais j'aurais préféré que La folle journée de Ferris Bueller s'arrête plus sur certaines pistes, certes moins drôles, mais tout à fait intéressante : la fin du lycée, la fin d'une ère, l'entrée à la fac : quelque chose de nouveau, on perd de vue certaines personnes etc. Car là, si les thèmes sont abordés, ils ne sont pas vraiment exploités. Bref, on passe un bon moment, mais ça ne m'a pas non plus passionné. A choisir je préfère The Breakfast Club.
Comédie de John Hugues qui parle de nouveau d'une jeunesse éprise de liberté, suite logique au Breakfast Club. Ce film est plus porté sur la comédie et n'a donc moins d'intérêt pour ces messages (et qui donne quand même du crédit aux sécheurs). On retiendra avant tout une excellente mise en scène et le personnage d'Edward Rooney qui jouent un rôle primordial pour l'humour du film. Et puis Charlie Sheen fait une de ses premières apparitions déjà très remarquées !
Le teen-movie des années quatre-vingt n'a rien à voir ses contemporains rompus au trio alcool, sexe et grossièreté. Ferris Bueller a le charme de ces années où l'ado n'était pas l'obsédé sexuel ou n'était pas dépeint comme tel, où il pensait au lendemain, s'interrogeait sur le monde, etc.
Je devais le voir, en hommage à la série "Parker Lewis ne perd jamais" dont j'étais fan. On reconnait tous les personnages ou presque, de la soeur frustrée au chef d'établissement stressé, en passant par les parents modèles. Mais si les idées sont bonnes, le film m'a tout de même déçu. On ne rit pas beaucoup, les ficelles humoristiques sont trop grosses. Je le conseille avant tout aux jeunes adolescents. Ceux qui ont aimé la série "Parker Lewis" apprécieront de le voir une fois, mais pas deux.
John Hugues ,l'inventeur du teen movie, signait là son dernier film de cette catégorie en faisant preuve de tout ce qui avait fait son succès à savoir des comedies adolescente drôle, libertaires et ultra-référencé qui ne tombait jamais dans le formatage vulgaire des American pie. Emmenait par le jeunôt et malicieux Matthew Broderick ( qui semble vraiment avoir 15 ans alors qu'il en a 10 de plus), la "Folle Journée de ..." porte très bien son nom et nous entraine vers une journée où le jeune mais rusé ferris décide de sécher pour aller faire une virée avec son pote et sa petite amie au grand dam de sa soeur et de son impitoyable mais débile proviseur. Les gags et les situations drôles sont donc au programme sans oublier une certaine réflexions sur l'adolescence. Pour la petite histoire c'est ce film qui a inspiré la fameuse série "Parker lewis" qui a marqué la jeunesse de ceux qui sont née dans les années 80
le talentueux mathew broderick ado dans un teen movie qui je pense fut un veritable missile declencheur de tout ce qui a pu se faire par la suite, la finesse en plus (parce que faut bien admettre qu'aujoudhui les teen movies ne volent plus tres haut...)
Un teen movie des années 80 sans autre prétention que celle de faire passer un bon moment. Scénario léger, personnages sympathiques, humour enfantin (le personnage du surveillant fait fortement penser aux méchants de Maman, j’ai raté l’avion) et BO ancrée dans son époque (on a même le droit à un reprise du thème principal de Star Wars !). Pas transcendant mais pas déplaisant !
Un film qui va sûrement se placer dans mon TOP 5. La folle journée de Ferris Bueller comporte tous les ingrédients de la bonne comédie. Mise en scène ingénieuse, personnages attachants, marrants et une idée simple qui permet à John Hughes de nous mettre de bonne humeur. Ferris Bueller est le garçon le plus apprécié de son lycée, un beau jour il décide de sécher les cours avec son meilleur ami et sa petite copine ( qui est vraiment jolie ). Il fait en une journée des choses qu'il n'aurait jamais imaginé en se levant le matin. Foncer en ferrari, dîner dans un resto chic en se faisant passer pour quelqu'un d'autre, monter sur scène pendant un défilé et faire danser tous les gens présents pour l'événement, aller au musée, à un match de base ball, à la piscine. Les fantasmes d'un adolescent malin qui arrive à détourner les soupçons des adultes et qui vie ses rêves sans se soucier des conséquences. C'est le film qui fou la patate et qui donne envie de faire pareil.