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ClashDoherty
228 abonnés
838 critiques
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4,0
Publiée le 10 février 2007
Film hilarant, ou Matthew Broderick excelle. Une des plus grandes réussites en matière de comédies du style 'American teen movie' des années 80. A voir, pas trop souvent pour ne pas s'en lasser, mais quand même de temsp en temps. Ca ne peut pas faire de mal.
L'adolescent détesté par les adultes, adorés par ses paires; Ferris Bueller a toujours un coup d'avance sur tout le monde, et c'est pour ca qu'on l'aime.
Jamais compris pourquoi ce film est culte ? Nul au possible, on ne peut pas faire pire ; et le comble, c'est qu'il n'y a absolument aucune histoire... sans parler des acteurs qui sont tous aussi mauvais les uns que les autres, mais colle parfaitement à toutes les situations pénibles de ce film.
John Hughes s’était fait une spécialité avec les teens-movies (Breakfast Club - 1985 & Une créature de rêve - 1985) et réalisait ici l’une des comédies pour ados les plus cultes des années 80.
La Folle Journée de Ferris Bueller (1986) détonne dans le paysage cinématographique de l’époque, déjà parce qu’il brise très rapidement le « 4ème mur » et ce, tout au long du film et qu’il s’éloigne des teens-movies crétins et centrés sur le sexe, tel que pouvait l’être la saga Porky's (1981/1983/1985). Le film s’adresse aux adolescents mais d’une toute autre façon, plus intelligente tout en étant drôle.
Le film narre l’histoire de Ferris Bueller, adolescent populaire et cancre invétéré, qui décide de se faire porter pâle pour passer la journée à se la couler douce avec ses potes. En nous voilà partis au cœur d’un road-movie loufoque en compagnie de Ferris Buller et ses amis. Entre l’hilarant (mais crétin) proviseur (l’excellent Jeffrey Jones), les parents qui sont d’une rare naïveté et la soeurette (la magnifique Jennifer Grey) qui jalouse de voir son jeune frère parvenir à mener tout le monde à la baguette. A noter aussi l’excellent caméo de Charlie Sheen.
John Hughes nous offre là, l’une des plus belles façons de faire l’école buissonnière, celle de s’échapper de son carcan à bord d’une Ferrari GT Spyder et n’en faire qu’à sa tête le temps d’une journée. Sous couvert de réaliser un teen-movie, le réalisateur dresse un vibrant portait de la jeunesse américaine, insouciante et avide d’insoumission. Un hymne à la liberté et à la jeunesse, où le réalisateur s’amuse à singer le milieu scolaire et celui de la bourse (et ses traders hystériques).
Irrévérencieux, burlesque, moqueur et tendre à la fois, on ne s’ennuie pas une minute. C’est intelligent & drôle, portée par une superbe B.O. dont "Oh Yeah" ♪ ♫ de Yello. Pour la petite anecdote, le film inspirera fortement les créateurs de la série télévisée Parker Lewis ne perd jamais (1990/1993), où l’on retrouve bon nombre de similitudes avec certains personnages.
Ferris est en term’, cancre, glandeur mais surtout épicurien ; il décide de profiter d’une journée de soleil pour sécher les cours avec sa petite amie et son meilleur pote. Et oui, le leit motiv de Ferris est : « La vie passe vite. Si tu ne t’arrêtes pas de temps en temps et regarde un peu ce qu’il se passe, tu pourrais la rater ». Son excuse, une maladie imaginaire ; excuse que ses parents gobent avec sa gueule d’ange ; mais que le proviseur et sa sœur savent être une excuse bidon. Ils ne cesseront de leurs côtés de tenter de faire tomber les masques durant toute la journée. Les 80’s, les années video club, et c’est un des films emblématiques, même culte de ces années. A sa sortie ciné, il fit un carton aux EU mais un flop en France ; ce sont les K7 vidéo qui en feront un film phare pour toute une génération… et même plus. Mon fils de bientôt 13 ans est tombé sous le charme de ce glandeur et de sa folle journée ; un film intemporel ? On est si souvent déçu par les films que l’on a adorés dans notre jeunesse, que celui-ci fait exception, et pourquoi ? Le pitch est simple comme chou, John Hughes dit avoir écrit le script en une semaine. Ce miracle tient alors en trois points, dont le premier est la mise en scène. Le montage alternée entre la sœur, le proviseur et Ferris fait merveille, il est précis et percutant. Le procédé le plus identifiable car repris ensuite dans bon nombre de séries pour ados est le fait de briser le 4ème mur. Ferris, regard caméra, s’adresse au spectateur et donne des leçons de moral, et c’est magique. Et le 3ème point, c’est le charme fou du trio de comédien, Broderick en tête affichant sa gueule d’ange. Au final, c’est une sucrerie appétissante qui bat en brèche toute forme d’autorité avec une immaturité assumé et ça fait du bien. On se fout bien de savoir si une telle journée est possible au vu des événements nombreux qui la jalonnent. Un bon kiff à revoir. tout-un-cinema.blogspot.com
Après un début en fanfare qui laisse présager le meilleur, "La folle journée de Ferris Bueller" s'enferme un peu trop dans une forme d'humour plus conventionnelle et la baisse de rythme est frappante passé le milieu du film. Mais pris dans sa globalité, cette réalisation culte des années 80 qui glorifie les cancres et la paresse est quand même assez drôle et sympathique à regarder.
Dans la veine des Maman j’ai raté l’avion et autres comédies dans le veine des années 80, J.Hughes nous claque un feel good movie pour adolescents enchaînant les gags et les situations comiques. L’un des premiers grands rôles de M.Broderick. Générationnel et culte pour beaucoup un vrai bon moment de cinéma.
J'aime le film, que cela soit à travers le scénario ou encore via sa mise en scène. Evidemment sous le charme de Matthew Broderick, mais comme un goût de trop peu finalement. Il manque un peu de surprise à pareil sèche, cela reste ultra balisé, mais demeure agréable. Évidemment le film me parle, sauf que moi j'étais en colle le mercredi et on fessait exclusivement du nettoyage. Le film est plutôt intéressant, avec une belle distribution. Cela serait bien de faire une nouvelle version de nos jours. Boulevardducinema.com
Vénérés ou détestés, les films de John Hugues sont terriblement ancrés dans leur époque et on beaucoup de mal à fonctionner et à parler à la jeunesse d'aujourd'hui ou bien ceux qui n'ont pas grandi durant les années 80, celui-ci ne déroge pas à la règle. Ce "Ferris Bueller" est pourtant le feel-good movie par excellence, véritable ode au carpe diem et à l'insouciance un film qui ne se prenais pas la tête est c'était le genre de films que l'on pouvais faire à l'epoque car maintenant tous les films ce prennent la tête, et doivent avoir des gags cohérent ou doivent refléter ci ou sa c'est du n'importe quoi maintenant au moins à l'époque on savais s'amuser et profiter de l'instant présent. L’un des premiers grands rôles de M.Broderick. Générationnel et culte pour beaucoup un vrai bon moment de cinéma. et la scène post générique est juste génial, culotté grandiose fallais penser à le faire et oser le faire bravo . Une comédie sympathique bien que pas toujours très fine Si les acteurs déploient une certaine énergie, ils ont la vingtaine bien tassée alors qu'ils sont censés jouer des lycée. La palme revient à Alan Ruck, qui incarne Cameron alors que l'acteur a 30 ans ! Une prestation un peu dérangeante par moment.
A l’époque de la sortie en salles du film, j’étais au collège et Ferris Bueller était mon idole, le dieu de la cool attitude. Et revoir ce film 35 ans après avec son fils, adolescent, est comme transmettre une religion. Le film n’a pas vieilli et Ferris Bueller fait toujours autant rêver par sa propension à échapper au système, à inventer des stratagèmes incroyables pour berner son monde, à manipuler et faire adhérer à ses idées ses condisciples. Le procédé utilisé par John Hugues de transmission directe des conseils du héros au spectateur, en brisant le 4ème mur, est sûrement l’une des clés de cette communion et idolâtrie entre Ferris Bueller et ses fans. Dans les personnages secondaires, on remarquera deux jeunes plein d’avenir qui avaient déjà partagé l’affiche de « L’Aube Rouge » : Charlie Sheen et Jennifer Grey. Quant à Jeffrey Jones, en proviseur, qui outrepasse ses fonctions jusqu’à vouloir s’introduire par tous les moyens chez Ferris Bueller, il préfigure de ce que seront les voleurs inoubliables incarnés par Joe Pesci et Daniel Stern de « Maman j’ai raté l’avion » du même scénariste John Hughes ! Enfin, n’oublions pas les musiques du film, excellentes, dont « Oh Yeah » de Yello utilisée également dans « Le Secret de mon succès » sorti 7 mois plus tard en France.
Une bonne petite journée avec Ferris Bueller qui évite les gags lourds et éculés pour nous livrer un petit film sur l'adolescence (et le séchage de cours?) humour et situations sympathiques (le proviseur, Charlie Sheen..) mais rien de bien fou... Après revenir dans les comédies des années 80 fait plutôt plaisir.
Film dynamique et léger, rendant quelque peu nostalgique de l'adolescence, on a trois ados (un couple avec Ferris et le meilleur ami de Ferris) qui décident de s'échapper d'un collège sordide (avec un proviseur sadique) et de la surveillance de leurs parents respectifs pour passer la journée en ville. C'est drôle et léger, mais pas uniquement, il y a parfois des messages philosophiques intéressants (et d'autres plus pédants). L'acmé du film reste sans doute le moment où Ferris fait danser toute la ville pour rendre hommage à son pote : rien d'un film à petit budget donc ! La course contre la montre, il doit rentrer chez lui avant que ses parents se rendent compte de son absence, rythme l'ensemble.
De trépidantes aventures, qui nous amènent dans la ville de Chicago. "La folle journée de Ferris Bueller" suit l'aventure de trois amis qui se décident à faire les 400 coups l'espace d'une journée. Ce qui les amène dans des situations pour le moins inattendues, voire catastrophiques par moments. Le film monte crescendo dans le pire, tout en maintenant un niveau d'humour sympathique du début à la fin. Très estampillé années 80, le film de John Hugues fait passer un message, sur la nécessité de vivre sa vie à fond. Pas mal.