Avis : Le Tour du monde en 80 jours - Page 4

Ne vous fiez pas au titre, le roman de Jules Verne n’est qu’un doux prétexte à faire voyager le spectateur aux quatre coins du monde. Du roman, il ne reste pratiquement plus que le pari de départ et l’astuce finale sur les fuseaux horaires. Les pantalonnades kungfuesques de Jackie Chan sont au cœur du film. Pas de subtilité dans le traitement des personnages, c’est un spectacle à l’état pur pour enfants de moins de 12 ans. Burlesque et très chorégraphié, le tout dans des décors de carton-pâte digne d’un conte flattant bien la rétine ; c’est comme une représentation de cirque de qualité sur une toile. Les enfants s’éclatent devant le show acrobatique et comique proposés ; les adultes restent en dehors du chapiteau. Peu d’intérêt scénaristique et cinématographique, il est néanmoins bon d’entendre ses enfants rire aux éclats.
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Je m'attendais pas à grand chose de ce pétard mouillé qu'avait été le film a sa sortie. Et finalement c'est assez plaisant et distrayant même si le mélange Jules Verne / Kung fu est parfois hasardeux et un temps soit peu insolite... Il y a du rythme, de l'humour. Quelques ratés (les effets spéciaux très cheap par exemple) mais une bonne volonté de faire un film qui plaise aux gosses et à leur parents et la mission est réussie.

Dur parfois de trouver l'inspiration et les mots pour tenter de dissuader les cinéphiles avertis, ou non, de regarder ce genre de chose.

Une bande dessinée caricaturale de l'œuvre de Jules Vernes et des films de kung Fu. À ne regarder que si l'on est fan de Jacky Chan. Lequel est toujours aussi excellent dans son genre.

Une adaptation sympathique du roman de Jules Verne; Jackie Chan met beaucoup d'énergie et le film est bien rythmé. Il y a les rebondissements prévus, et le budget conséquent permet de bien illustrer le roman. A noter l'agréable apparition de Cécile de France , toujours délicieuse.

80 jours pour réaliser un exploit encensé, tel est le défit lancé par le génial inventeur Phileas Fogg au président de la Royal Academy of Science, Lord Kelvin. On parle bien entendu d'une époque lointaine où réaliser un tel périple relevait de l'hérésie pure, un délire d’aliéné, sachant qu'aujourd'hui, on peut le faire en à peine 15 jours. L'époque où une simple montgolfière était une révolution, l'apogée de la conquête du ciel, l'age d'or des frères wright. Ce qui nous laisse un aperçu de l'épopée qui nous attend avec ce film d'aventure explosif. Outre l'aspect road movie fantaisiste et les décors fantastiques, il sera difficile d'éluder la présence d'un Jackie Chan au meilleur de sa forme, enchainant combats frénétiques et chorégraphies cartoonesques. Les prestations de Steve Coogan et Cécile de France sont également du meilleur effet. Une amitié se crée entre le trio d'acteurs qui deviennent très vite inséparables et attachants. A tel point qu'on en redemande, car le divertissement opère tout de suite. Une amusante adaptation du roman de Jules Verne pour toute la famille. 4,5/5

Une pléiade de 2nds rôles (Schwarzeneger énorme en turc, Owen et Luke Wilson, John Cleese, Kathy Bates, Michael Youn...) et un trio vedette sympa (Cécile de France en tête) mais une mise en scène pas à la hauteur et un ton beaucoup trop gamin. Et pourquoi Passe-partout en devenu un asiatique adepte du kung-fu ? Dommage!

A réserver à de jeunes enfants. IL ne faut pas voir ce film pour chercher du Jules Verne ni de la réalité historique. Les dialogues, le scénario, le choix de Jackie Chan, tout cela montre une volonté affichée de divertir et absolument rien de plus. Cécile de France est un bon atout charme, mais cela ne fait pas oublier le reste, notamment des effets spéciaux peu dignes de l'année de production. En 2004, nous infliger un ballon qui voyage devant un fond bleu dans un studio de 10m², c'est pire que pas terrible.

Cette adaptation libre (et non crédible) d'une œuvre de Jules Verne est plutôt amusante en grande partie grâce au casting prestigieux. En effet, on aime voir Jackie Chan en découdre avec des hordes de méchants et les différentes apparitions sont improbables mais charmantes : Arnold Schwarzenegger (dont c'est ici la dernière apparition avant son mandat de gouverneur), Katie Bates ou encore ... Michaël Youn. L'aventure est légère et dynamique est ravira surtout son public cible : les enfants. Les autres pourront pester sur les personnages trop caricaturés qui empêchent tout attachement (ça devient vraiment lourd sur la fin), l'indispensable histoire d'amour niaise à souhait et les effets spéciaux hideux.

Sorti durant l'ètè 2004, ce "Tour du monde en 80 jours" fonctionne à plein règime, notamment grâce à l'alchimie du trio vedette et à des dècors somptueux! Sises dans un XIXe siècle exotique à souhait, les tribulations de l'aventurier Phileas Fogg retrouvent le charme du roman mythique de Jules Verne! Jackie Chan campe un surprenant Passepartout, le domestique du savant anglais interprètè par Steve Coogan! ils sont bientôt accompagnès par la charmante belge Cècile de France et font des rencontres ètonnantes: Michaël Youn, Kathy Bates en reine Victoria, Arnold Schwarzenegger en Prince Hapi (proche du ridicule) et les frères Wilson èchappès de Chez Wes Anderson! Un divertissement très familial, non dènuè d'humour et de dèpaysement, avec des scènes d'action ènergiques à la sauce kung-fu! A recommander pour les fêtes de Noël...

Malgré un côté kitch appréciable et quelques combats réussis, Le Tour du Monde en 80 Jours demeure un film niais, à la romance a l'eau de rose agaçante, affreusement long et rébarbatif. A réserver aux enfants.

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Une adaptation "très libre" de l'oeuvre de Jules Verne recentré autour du personnage de Passe-Partout interprété par l'explosif quiquagénaire Jackie Chan et on eput que s'en réjouir. Le casting est plutôt héteroclite, Cécile De France s'est apparement amusé comme une petite folle et est vraiment très photogénique, Steve Coogan & Ewen Bremner (La chute du faucon noir) en font des tonnes tout en les pardonnant? Et quel plaisir de voir toutes ces guest-star telles Kathy Bates en reine-mère, Michael Youn, Swharzy en prince turc, Rob Schneider en clochard, Owen Wilson et son frère Luke en frère Wright dans le désert américain. Le scénario en forme de sketch allant d'un continent à l'autre avec de belles transitions nous offre quelques clins d'oeil comme Toulouse-Lautrec en charmante compagnie à Paris ou la statue de la liberté en construction ne relâche pas le rythme pendant 2 heures.
Bref, un film distrayant, leger et hilarant vraiment fait pour toute la famille.

"Le tour du Monde en 80 jours" avec David Niven reste l’un de mes souvenirs marquants d’enfance cinéphile (eh oui que voulez-vous, tout petit déjà…). C’est donc avec scepticisme et curiosité que j’ai essayé cette nouvelle version placée sous le signe du comique. Ça n’est pas exagérer que de dire qu’ici l’œuvre de Jules Verne se voit bafouée. Envisager d’adapter pareil roman sur ce mode relevait d’une mauvaise idée qui aura été exploitée jusqu’au bout. Comme convenu le long-métrage de Frank Coraci offre un spectacle familial international, mais celui-ci ne possède guère de saveur. L’humour n’y fait qu’occasionnellement mouche tandis que le suspense brille par son absence. Suite à un pari né de l’inimitié entre le très conservateur Lord Kelvin et le savant progressiste Phileas Fogg, nous voici embarqués pour un périple autour du globe. La triplette d’acteurs fait un curieux mélange auquel on a dû mal à croire. Jackie Chan en Passepartout ça ne fonctionne pas. La présence dans cette production de Cécile de France constitue une surprise mais pourquoi pas. Le plus convaincant de la bande demeure Steve Coogan qui propose une interprétation intéressante de Fogg. La thématique principale renferme un réel potentiel de séduction puisque chacun, à sa manière, s’accroche à sa quête d’idéal. Pourtant la portée du message se noie dans la légèreté de l’histoire. Ils croiseront quelques personnages historiques (en Chine, aux Etats-Unis…), l’occasion d’amplifier l’éclectisme du casting. Dans un style cartoon / synthèse, on sera libre d’apprécier ou non les petites transitions entre chaque pays traversé. Pour ma part je trouve ça techniquement réussi. Si au final je ne me suis pas beaucoup ennuyé, je reste sur l’impression embêtante d’avoir vu un film inutile. Heureusement les chansons du générique de fin sont entraînantes (notamment la reprise par les Baha Men du célèbre "It’s a small World" de chez Disney, rien d’étonnant d’ailleurs puisque ce Studio n’est pas étranger au projet…).

Une comédie sympathique mais pas vraiment drôle et qui écorche pas mal l'oeuvre original

Des acteurs pas toujours inspirés, des décors mal fait, et des blagues qui parfois sont inutiles.