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dai72
153 abonnés
2 131 critiques
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3,0
Publiée le 11 octobre 2014
Une comédie intéressante, surprenante, qui a pris un léger coup de vieux quand même mais ça se regarde facilement, sans déplaisir, la scène du mariage étant absolument dantesque et originale. On ne rit pas à chaque situation mais ce n'est ni ennuyeux, ni manqué. Tout le monde pourra se retrouver dans un des personnages parcourant différents moments. Un film dont j'avais beaucoup entendu parler, je pourrai dorénavant en parler également et en dire le bien que j'en pense !!
Juste avant The Breakfast Club, John Hughes sort sont premier film, qui est aussi culte que le second. Même si je l'aime un peu moins que ce second. En effet il y a un peu plus de stéréotypes. Justement la force de ce film c'est savoir poser des personnages qui servent d'identification pour le spectateur, avec cela dit en terme négatif des personnages un peu trop cliché. Après le film a peut sentir le vieux pour un spectateur d'aujourd'hui, cela dit c'est tout le charme du film: vestes, coiffures rétros et le bal. Mais c'est aussi la limite, car pour aujourd'hui on peut dire que sa manque de peps et que c'est trop classique.
Premier film de John Hugues en tant que réalisateur, Seize bougies pour Sam doit se voir comme l'ébauche d'un style qui fera la joie des jeunes générations pendant plus de 10 ans. Hugues qui fut en quelque sorte précurseur du Teen Moovie marquait pleinement ici les thèmes chers a son œuvre. Je pense bien évidemment a la mise en valeur de l'enfant et / ou de l'adolescent prônée par la maturité de personnages qui font toujours autorité 30 ans plus tard et qui n'ont rien a envier (bien au contraire !!) a ceux dépeints de nos jours dans les production du même genre. Bien que Sixteen Candles ne soit pas parfait, il garde valeur d’icône pour une génération bercée par des films cultes tels Breakfast Club, Une Créature de Rêve ou La folle journée de Ferris Bueller. Par rapport a ses petits frères cultes, celui ci manque un peu de folie (heureusement Anthony Michael Hall est enormissime !!!) n’évite pas l’écueil de clichés lourdingues et malgré une durée assez réduite peut paraitre longuet car s'égarant assez clairement de son postulat (Hugues lui même oublie trop facilement l'anniversaire de Sam...) Ce qui ressort de ce visionnage dans le retro c'est la nostalgie d'une époque ou on ne prenait pas les lycéens que pour des débiles obsédés sexuels, une époque ou il y avait un minimum de matière en background des légèretés de bluettes adolescentes... Merci Mr John Hugues car même si ce film la n'est pas votre meilleur il m'a donné de féroces envies de me replonger dans votre œuvre !
Super teen movie des années 80 avec au menu les clichés du genre, c'est-à-dire la fille mal dans sa peau, le mec le plus populaire du lycée, le clan des loosers, les fêtes d'ados typiques des US, le bal de promo.. Tout ça reste prévisible mais pas inintéressant. Bon film !
Pas de doutes, les années 80 étaient une autre époque. De nos jours trop peu de divertissements, qu'ils soient cinématographiques ou télévisuels, traitent de l'adolescence avec autant d'intelligence et de subtilité, il faut dire que John Hughes est un véritable maître en la matière. Il montre d'ailleurs l'étendue de son talent dès son premier essai, grâce à la compréhension de l'humain et de ses comportements dont il fait preuve et qui nourrit des histoires capables d'être à la fois universelles et intemporelles. La jolie Samantha a aujourd'hui 16 ans, problème, les membres de sa famille sont tellement obnubilés par le mariage de sa sœur qu'ils en oubli de le lui souhaiter, c'est pour elle le début d'une journée riche en émotions... Avec ce passage à la réalisation, John Hughes dévoilait les prémices d'une filmographie entièrement tournée vers un jeune public et dont "Breakfast Club" devint l'œuvre phare. Techniquement le résultat est forcément moins abouti que ce véritable modèle du genre et il est regrettable d'y découvrir un final assez mal maîtrisé, laissant planer une légère déception. Néanmoins, "Seize bougies pour Sam" garde un charme particulier, de part son ambiance et son style typique du cinéma des 80's et grâce à de jeunes comédiens plein de talent. Comme la rafraîchissante Molly Ringwald ou encore Anthony Michael Hall dans un numéro véritablement hilarant d'ado quelconque fonctionnant à l'humour et trop mature pour son âge. Un bonheur de comédie romantique pour teenagers.
Après avoir vu et aimé Breakfast Club je me suis laissé tenter par Sixteen Candles malheureusement celui ci ne m'a pas convaincu c'est un film assez moyen avec une histoire déjà vu et trop prévisible pour être intéressante.
Ce qu'il y a de sympa dans ce film, c'est que le playboy a du respect pour le looser. Je n'en dis pas plus, mais ce sont les situations les plus surréalistes qui donnent du charme à ce film teenage 80's à 200%
Après la saga Vacation, John Hughes s’attelait à la partie la plus importante de son œuvre, le film en milieu estudiantin. Et pour l’occasion, il se trouvait derrière la caméra pour la première fois de sa carrière.
Seize Bougies Pour Sam est un film profondément sympathique, grâce à ses personnages tous bien troussés (même Sam, qui, sous ses abords pénibles dans les premières scènes, évolue plutôt bien au fur et à mesure que le métrage avance) et tous bien interprétés par des jeunes acteurs qui n’ont pas forcément eu la carrière qu’ils méritaient. Si Anthony Michael Hall l’a eu (avec même une série en premier rôle, Dead Zone), les autres ont surtout vécu pendant l’époque John Hughes, justement. C’est dommage. Le film est plutôt rythmé, amusant de bout en bout et on retrouve des figures connues des films précédents écrits par John Hughes comme le jeune fils de la famille gouailleur et sarcastique, l’adorable nerd et la jolie fille vicieuse. Malheureusement, le film dérape une ou deux fois, avec une réplique très mémorable du beau gosse du film ”She’s drunk. I could rape her two or three times” en parlant de sa copine du moment (qui se fera par ailleurs quelque peu violer, justement, par le nerd). Mais bon, tout ceci est de l’humour et des mots un peu mal choisis plus qu’autre chose. Il n’empêche que c’est une vraie erreur de la part de John Hughes.
Seize Bougies Pour Sam est un bon film, voire même un très bon film, que certaines maladresses ne peuvent vraiment égratigner pour les fans de Hughes. Les autres oublieront très vite ce bon moment.
13 955 abonnés
12 478 critiques
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4,0
Publiée le 27 avril 2013
Premier long-mètrage rèalisè par le regrettè John Hughes, "Sixteen Candles" repose sur une intrigue assez banale mais enrichie de notations intelligentes et surtout pleines d'esprit! Les gags sont souvent excellents et les interprètes, très attachants, notamment la belle Sam alias Molly Ringwald (son personnage suffit à nous la faire aimer dès les premières minutes) que l'on avait pu voir en 1985 dans le cultissime "Breakfast Club" du même Hughes, metteur en scène qui s'ètait spècialisè dans la peinture des adolescents! Une rèussite de haute facture qui sent bon les annèes 80 où les acteurs et la rèalisation sont parfaits, à l'unisson! Venez donc souffler ses seize bougies en compagnie de Sam...
Ce film est rempli de clichés, il me semble avoir compté 5 bons "il sait même pas que j'existe..." , l'héroïne "boude" tout le long du film, il n'y a aucune intrigue (donc bon point pour vous qui lisez ça: impossible à spoiler tant la fin est attendue) et pour le côté "comédie", je dirais qu'il est tout simplement inexistant. Puis bien sûr il y a une part vraiment improbable (attention, pas dans les sens surprenant mais bien quasi-irréaliste). Enfin bon, si vous avez vu ce film ou que vous comptez malgré tout le regarder, vous verrez rapidement à quoi je fais allusion. Cependant, ce film reste, un classique américain dans la catégorie "comédie romantique" au même titre que Quand Harry Rencontre Sally ou bien encore N'Oublie Jamais. Donc à regarder dans un intérêt plutôt "culturel" (si on peut dire ça comme ça) que divertissant.
Seize bougies pour Sam ou plutôt Sixteen Candles est un bon film qui possède un certain style, et un charme particulier qui me rappelle Breakfast Club, un film du même réalisateur... A voir avec de bons acteurs (surtout Molly RIngwald), et de moins bons comme Justin Henry et d'autres qui n'apportent rien au film. Bon film
J'avais bien aimé 'The Breakfast Club' du même réalisateur, alors je me suis laissé tenter par ce film, et le résultat est tout de même assez décevant. C'est jamais drôle, les scènes sont inintéressantes, et les acteurs laissent à désirer (sauf Molly Ringwald qui s'en sort bien mieux que les autres)... Les seules qualités du long-métrage sont le personnage de Samantha, la b-o et peut-être une ou deux scènes. Bref, dans l'ensemble 'Seize bougies pour Sam' est un teen-movie qui ne parvient pas à être réellement intéressent (contrairement à 'The Breakfast Club'), je ne le reverrais surement jamais.
Une comédie qui dresse un portrait sympathique et assez complet de la jeunesse des années 80. Les geeks, les beaux gosses, la blonde fatale, l'étudiant étranger un peu bizarre et bien sûr l'adolescente en pleine crise (le personnage central), ils sont tous là. Les thèmes principaux sont ceux de l'adolescence : les difficultés relationnelles avec la famille, les questions sentimentales et les techniques de séduction. Seize Bougies Pour Sam est le premier film réalisé par John Hughes et un peu l'American Pie des années 80.
John Hugues comprenait les adolescents,comme aucun autre cinéaste.Revoir ses films,c'est l'assurance de revivre sa jeunesse avec nostalgie et émotion.C'est pour cette raison que "Seize bougies pour Sam"(1984),sa première réalisation,passe l'épreuve du temps sans ravages,car elle parle de questionnements universels.Les ados de 16 ans n'ont pas confiance en eux,ils ont besoin d'être soutenus et appréciés,de faire la fête et de se sentir vivant.La jeune Samantha(Molly Ringwald,l'égérie de Hugues à la moue craquante)va vivre une journée très particulière,aussi embarrassante que formatrice.Hugues évolue à fond dans la teen-comedy,avec des gags fendards et une BO d'un autre temps,devenue savoureuse.Il fait d'un "geek" un héros potentiel,dont l'enchaînement de circonstances le conduira à perdre son pucelage.Il fait aussi d'un bellâtre fortuné,un être tiraillé par des sentiments troublants.Pour Hugues,chaque ado est différent,mérite attention et considération.Aimer,c'est comprendre.Certaines scènes sonnent particulièrement justes,par leur capacité à dépeindre des tempéraments amoureux et fougueux.Un grand bol de bonheur.En toute simplicité.
Première réalisation du maître du film teenager John Hughes et première réussite. Le réalisateur nous invite dans son univers de campus enfievré, de familles un peu déjantées et d'adolescents terriblement mal compris. Mais bel et bien compris par leur réalisateur qui prend le temps, entre deux scènes franchement drôles, d'écouter leurs problèmes sentimentaux ou leur mal être. Pour autant, on ne tombe jamais dans le glauque des anées 2000 ou dans la caricature grossière, non, on est bien dans une comédie bien réalisée, très bien écrite avec une gallerie de personnages tous aussi interessants les uns que les autres, oui John Hughes aime ses adolescents et ça se voit. Molly Ringwald à la moue boudeuse, dans le rôle titre, est évidemment craquante, Anthony Michael Hall, tient un des meilleurs rôle de "geek" de l'histoire du cinéma et ce petit bijou est à voir et à revoir sans modération...