En le (re)voyant, je comprends pourquoi il est rentré dans la catégorie classique. J’ai passé un moment génial devant et ça m’a rendu nostalgique de ces films d’horreur à l’ancienne. Entre le concept novateur et la mise en scène, on prend un véritable plaisir. Cette poupée, devenu un sérial killer, m’éclate. Elle a un style assez trash dans sa manière de parler. J’adore son côté vulgaire et sadique. C’est ça qui en a fait un élément incontournable de l’univers horrifique. Il a construit sa légende et l’a perpétuée avec 8 films au total. Ses attaques contre les humains sont top. Il n’y en a pas beaucoup mais cela permet de ne pas tomber dans l’excès. On savoure chaque fois que cela arrive. Elles seront violentes sans être forcément gore. Le style de l’époque était épuré. Rien que sa manière de se déplacer je l’ai trouvé génial. Pas d’effets spéciaux mais un travail d’orfèvre de marionnettistes, un voyage dans le temps agréable. Il y aura toujours un élément pour rendre le film dynamique. Il est court (1h27) et intense. Les acteurs ne sont pas forcément bons mais ça fait partie du côté kitsch.
3 étoiles car il s'agit là du premier film qui donnera naissance à la poupée tueuse culte qu'est Chucky. Au-delà de ça, le film reste une vulgaire série B..
Je n’ai rien contre la petite série B horrifique, surtout quand le second degré est assumé, mais là on est plutôt dans la série Z, avec un fond fantastique qui rappelle les plus mauvais épisodes de Charmed ou Buffy et une scène finale très très chargée en comique involontaire. J’imagine qu’on peut y trouver un plaisir nostalgique (c’est très marqué années 80), mais quitte à rire devant un film d’horreur, autant revoir Gremlins, qui a bien mieux vieilli je trouve. Je mets la moyenne pour le pitch complètement kamikaze et pour cette poupée finalement assez marrante, qui jure comme un charretier, même décapitée.
Ca faisait bien longtemps que je n'avais pas revu ce premier volet de Chucky, et j'avais quasiment tout oublié. Du coup, je l'ai redécouvert avec plaisir et nostalgie. C'est à la fois plein de suspense, et d'un humour noir très plaisant. C'est très bien rythmé et bien mis en scène. Les acteurs jouent bien, et ça devait vraiment être difficile en plus de faire jouer un enfant de 6 ans dans un film comme ça, avec en plus un des 3 rôles principaux. Ca m'étonne pas du coup, que ce film est considéré comme un classique du slasher et qu'il ait donné lieu à plusieurs suites. A revoir.
Le tout premier Chucky ! Plutôt convainquant en terme d'effets spéciaux, le scénario quant à lui est assez abracadabrantesque mais est-ce dérangeant, notamment pour l'époque ? Point du tout, on veut du sang, du meurtre, de la bonne blague, et bien on est servi ! On se marre devant la vulgarité et la violence de cette poupée démoniaque et même si la mise en place est assez longue, on ne s'ennuie pas et c'est le principal ! C'est bien foutu, notamment l'animation de la poupée, et le tout est assez tordu pour nous tenir en haleine. Je ne dirais pas que ça n'a pas pris une ride mais ça fonctionne toujours pas mal et l'idée de base reste excellente !
Le 1er Chucky est un film culte du registre horreur-slasher. Même si la nostalgie des 80's fait son oeuvre, on ne va pas crier au chef-d'oeuvre. Les acteurs sont très mal dirigés. Ce qui amène à des réactions souvent absurdes et incohérentes. Par exemple, Andy (6 ans) se baladant tranquillement en plein hiver, avec sa poupée Chucky, dans les quartiers les plus dangereux de Chicago. Les clichés s'accumulent au fur et à mesure. La réalisation ressemble fort à toutes ces productions d'époque sans s'en démarquer. Le scénario est poussif et prévisible à souhait, la bande son presque inexistante. Mais il reste une ambiance particulière, le dernier 1/4 d'heure bien gore et les animatroniques de Chucky plus réalistes que certains CGI actuels.
Le premier film d'une longue série et le meilleur, celui qui donne vraiment le frisson quand on est gosse. Difficile de dormir sans lumière après ça.. Chucky est super bien fait, le look de cette poupée est une réussite indéniable et le film est plutôt bien réaliser pour l'époque avec des plan en vue subjective et des décors fermer et glauque, la musique est angoissante. Le spish de départ est plutôt bon avec un tueur sadique qui transfert son âme dans une poupée, ce qui donne une poupée tueuse dans les bras d'un gosse de 6 ans. Un film culte et qui restera intemporel.
Contrairement à son cousin éloigné, Le Leprechaun, la poupée Chucky parvient à faire peur. On doit cet exploit, à savoir transformer une petite créature à l'aspect inoffensif en créature terrifiante à plusieurs aspects : D'abord l'ambiance, qui m'a fait penser à du John Carpenter qui tire à profit un maximum de la petite taille de la poupée. Ensuite, les personnages ne sont pas de simples archétypes et j'ai ressenti de l'empathie pour certains d'entre eux. Enfin, la mise en scène est maitrisée et arrive parfois même à faire passer Chucky pour un mini Michael Myers (en plus grossier) et le scénario tient vraiment la route pour un slasher. Il est clair et précis et les quelques cadavres que laisse le tueur derrière lui sont logique au vu de l'histoire. On a donc ici un slasher aussi angoissant que divertissant qui a le mérite d'apporter une originalité au genre avec l'apport au passage d'une musique mémorable.
indéniablement, ce film à pris un méchant coup de vieux, mais ce n'est pas ça que nous prenons en compte pour le noter. L'idée de base est excellente. Ce film peut être apprécié par tous car il ne tombe pas dans le gore crade et rébarbatif de nombreux films d'horreur. Oui il y a du sang, oui on peut sursauter, être angoisser et rire grâce à l'humour donner à Chucky. Un bon moment donc.
Figure emblématique du cinéma d’horreur contemporain, Chucky n’a pas prit une ride ! Le film est génial, plein d’humour noir, des acteurs plutôt correct, Jeux d’enfant est un film assez bon pour le si peu de budget qu’il avait. Pour le résumé simplement : drôle, stressant et trash !
Infame, comédie ratée. L'horreur est brisée dès les premieres scènes et encore plus quand l'on découvre la poupée qui bouge. Le film est long et la conclusion n'a aucun sens. Le jeu d'acteur.... l'enfant est mort de l'interrieur. Les personnages n'on pas de logique. Les méchaniques on mal vieillie,spoiler: la chute de la meilleure amie de la mère est ????? . spoiler: Scène cliché du policier qui sauve la mère dans la rue ??? . Le policier n'est pas cohérent, ses actions se contredisent. Obligé d'avoir recours au screamers pour faire peur.
Premier volet et unique que je n'avais encore jamais vu, il s'est avérer long au démarrage mais s'est petit à petit mis en route. Le jeu étant ce qu'il est pour l'époque, il en va que la qualité visuelle est très bonne mais seulement mécanique, le numérique n'existant à l'époque. Le "jeu d'enfant" de Chucky était déjà bien à l'époque pour suivre avec les autres. Un premier volet couronné de belles scènes d'action et d'un peu de script quand même, mais encore une fois, ce fut le début. Les grand début du Slasher.
Vu à l’époque, j’avais trouvé la série B fort bien troussée, mais pas exceptionnelle non plus. A revoir près de trente ans plus tard, je trouve que le métrage s’est bonifié. Le charme des productions des années 80 marche à plein, les effets spéciaux – pourtant très simples – sont toujours efficaces et les séquences horrifiques sont vraiment bien réalisées. Il y a donc convergence entre un très bon script de Mancini, retravaillé par Tom Holland et une réalisation maîtrisée. Les acteurs sont bons et la prestation vocale de Brad Dourif en Chucky participe beaucoup du plaisir ressenti durant ce petit film décidément bien fichu. Pas étonnant qu’il soit devenu culte avec le temps.
Inspiré de faits réels bahaméens de 1906 relatant des phénomènes paranormaux suite à l’offre d’une poupée vaudou à un jeune enfant, Jeu d’enfant est le premier volet de la saga horrifique mettant en scène la poupée Chucky, contenant l’esprit d’un tueur en série nommé Charles Lee Ray, présenté lors de la scène d’introduction sous les traits de Brad Dourif (Vol au-dessus d’un nid de coucou, Dune, L’Exorciste III). Réalisé par Tom Holland (Vampire vous avez dit vampire ? ; Fatal beauty), le film comporte également les acteurs Catherine Hicks (Touche pas à ma fille, 7 à la maison) dans le rôle de la mère Karen Barclay, ainsi que Chris Sarando (Un après-midi de chien, La sentinelle des maudits, Vampire vous avez dit vampire ?) dans le rôle du flic Mike Norris.
Tandis que le jeune Andy reçoit en cadeau cette innocente poupée de la série Good Guys imitant le physique d'un petit garçon roux en salopette (soit l’apparence exacte du jeune garçon), d’étranges phénomènes se déroulent et des morts inexplicables surgissent. Si Andy affirme que Chucky lui parle directement, personne ne le croit et les drames inexplicables persistent. Jeu d’enfant a marqué son époque pour avoir fait d’un jouet inoffensif un véritable instrument de mort, en contraste total avec son visage d’ange et les publicités qui le présentent comme l’ami préféré des enfants, figure qui sera notamment reprise dans la série Chair de poule.
Cruel et envahi par la vengeance, Chucky se veut par contre relativement vulgaire, avec une VF très crue qui rend le film plus comique qu’autre chose lors de certains passages, réduisant ainsi l’angoisse procuré par l’intrigue. Chucky n’attend pas tellement avant de montrer sa véritable nature et arbore un faciès qui a du mal à convaincre. Il ne se montre véritablement effrayant qu’à la toute fin avec les yeux qui ressortent de son visage ravagé par les flammes. Si Jeu d’enfant est un film qui peine à être intense à cause d’un manque de crédibilité, et reste un grand classique de l’épouvante valorisé par un thème musical à glacer le sang.