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Votre avis sur Jeu d'enfant ?
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7eme critique
La fameuse poupée sanguinaire échappera au coté vieillot dans ce premier volet qui annoncera une saga bien culte. En 1988, le genre horrifique s'est trouvé une nouvelle vedette avec Chucky. La poupée s'amuse à s'éloigner de son image de "good guys" en cumulant les meurtres et nous amuse également par sa plastique de rêve et son agressivité débordante. Les cauchemars que l'on faisait étant gamin se transformeront en agréable coté nostalgique et comico-horrifique. Même si les mises en scènes, dialogues et autres évènements composants des parties de l'histoire flirtent de temps à temps avec le ridicule, Chucky reste avant tout une excellente idée (ce n'est d'ailleurs pas pour rien qu'il y a désormais six volumes...pour l'instant).
Depuis que j'ai six ans, j'ai bien du voir Jeu D'Enfant une vingtaine de fois sans jamais m'en lasser.
Et là, je viens de me l'acheter en DVD et le plaisir de le revoir fut tout aussi immense que quand j'étais gamin. Plusieurs scènes clés du film m'étaient restées ou revenaient au fur et à mesure que le film se déroulait sous mes yeux de cinéphile adultes et exigeants... C'est le plus merveilleux !!!
Et puis il faut dire que pour un film d'horreur qui a presque 20 ans, Jeu D'Enfant paraît plutôt très moderne dans ses effets spéciaux, sa musique, ses dialogues, son jeu d'acteur,... et son humour (Le fameux "Je t'emmerde" destiné à la vieille dans l'ascenseur restera dans les annales...).
Bref, la saga Chucky est vraiment excitante et j'ai hâte de découvrir le dernier opus sortie en 2005 !!!
Et là, je viens de me l'acheter en DVD et le plaisir de le revoir fut tout aussi immense que quand j'étais gamin. Plusieurs scènes clés du film m'étaient restées ou revenaient au fur et à mesure que le film se déroulait sous mes yeux de cinéphile adultes et exigeants... C'est le plus merveilleux !!!
Et puis il faut dire que pour un film d'horreur qui a presque 20 ans, Jeu D'Enfant paraît plutôt très moderne dans ses effets spéciaux, sa musique, ses dialogues, son jeu d'acteur,... et son humour (Le fameux "Je t'emmerde" destiné à la vieille dans l'ascenseur restera dans les annales...).
Bref, la saga Chucky est vraiment excitante et j'ai hâte de découvrir le dernier opus sortie en 2005 !!!
Thibault F.
Premier volet de la saga Chucky (qui en compte à l'heure de cette critique 7 opus), quelle en fut ma déception ! Le scénario est ultra-basique sans la moindre originalité, la réalisation soporifique et l'ambiance inexistante à moins que vous soyez fan des années 80 (motifs sur les tapisseries et brume dans les rues). Chucky tente de proposer une narration qui mêle l'humour noir et le slasher sauf que les différentes maladresses du film en partie du fait d'un manque de moyen évident font que les 2 genres souhaités disposent d'un mauvais traitement à l'image. En effet, l'humour noir (qui arrive relativement tard dans le film) n'est pas vraiment adapté au scénario général :
spoiler:
celui d'un enfant qui se sent seul et qui a besoin de se faire des amis alors que son père est décédé et sa mère toujours absente.
. Et la partie slasher n'est pas assez percutante : on a une succession de morts prévisibles sans originalité et qui laisse place à du gore beaucoup trop facile. Je retiens en point positif, l'aspect très timoré qui critique la société de consommation (notamment à travers l'industrie du jouet) et la fin assez jouissif avec une efficacité redoutable : dommage cependant que la tension monte à 10 mn de la fin du film. Décevant, soporifique, flegmatique... Bref, une copie à revoir
. Et la partie slasher n'est pas assez percutante : on a une succession de morts prévisibles sans originalité et qui laisse place à du gore beaucoup trop facile. Je retiens en point positif, l'aspect très timoré qui critique la société de consommation (notamment à travers l'industrie du jouet) et la fin assez jouissif avec une efficacité redoutable : dommage cependant que la tension monte à 10 mn de la fin du film. Décevant, soporifique, flegmatique... Bref, une copie à revoir
Il n'y a pas de différence de degré dans le talent entre l'artiste de talent et le génie. Contrairement à l'artiste de talent, le génie transcende par l'originalité de son concept, tout en instaurant de nouvelles règles esthétiques qui viennent bousculer la curiosité de toute une génération. Et Tom Holland reflète bien cette attitude. Sans vouloir être un "hollandophile" exagérément, "Child's Play" reflète tout ce qu'il y'a de plus efficace dans un slasher movie. Ici les scènes horrifiques font leur effet (mis à part quelques balourdises que l'on pourrait pardonner d'ailleurs à la réalisation puisque les moyens de l'époque l'exigent) et accorde une part pleine d'humanité à son récit par la relation attendrissante mère-fils qu'entretiennent nos deux héros (campés par un duo d'acteurs excellents : Alex Vincent et Catherine Hicks) en prise avec la poupée tueuse maléfique plus déterminée comme jamais dans ses desseins. Hollande se complaît dans ses astuces à faire un clin d'œil furtif à la mémorable "The Shining" de Stanley Kubrick dans un visuel assez bluffant, et tente de recréer cette même tension emblématique (puisée aux racines de l'épouvante) qu'il réussit à cristalliser dans un climax dantesque qui multiplie les effets de surprise jusqu'à épuiser son spectateur.
Un scénario simpliste ! qui exploite agréablement ses atouts sans jamais se verser dans la facilité, évite les écueils et offre un divertissement pur spectaculaire qui le fait entrer dans le registre des "anomalies classiques" en avance sur leur époque.
"Child's Play" devient dans ses derniers instants un pur bonheur horrifique qui n'arrête jamais de repousser les limites du spectaculaire et ce jusqu'à l'épuisement de son matériel. Un chef-d'œuvre absolu !
Un scénario simpliste ! qui exploite agréablement ses atouts sans jamais se verser dans la facilité, évite les écueils et offre un divertissement pur spectaculaire qui le fait entrer dans le registre des "anomalies classiques" en avance sur leur époque.
"Child's Play" devient dans ses derniers instants un pur bonheur horrifique qui n'arrête jamais de repousser les limites du spectaculaire et ce jusqu'à l'épuisement de son matériel. Un chef-d'œuvre absolu !
➖Avis bref :
C’est l’histoire d’un petit garçon, Andy qui désire à tout prix un brave gars pour son anniversaire. Sa mère va faire son possible et va lui en obtenir un pour son anniversaire, mais brave gars « Chucky » semble être possédé par l’âme d’un tueur en série. Le premier film d’une saga aujourd’hui culte. Je ne m’en lasse pas de voir et revoir ce volet malgré le fils des années. Des répliques aujourd’hui cultes. Des bons personnages comme cette mère déterminée ou le policier acolyte. Andy et Chucky, eux se révéleront bien sûr être les plus marquants. Andy est tout de suite très mignon et attachant par cet air crédule et angélique, quant à Chucky lui est pour commencer une de mes icônes préférés dans le genre horrifique. De plus, il est tout de suite cruel et manipulateur tout en sachant se montrer d’abord mystérieux par ses premiers passages à l’écran. Qu’est-ce que j’aime les films de poupée qui sait bien montrer la poupée à l’écran et Jeu d’enfant (Chucky) ne fait pas exception. Cependant, ce premier Chucky aura quand même attrapé quelques rides avec l’âge.
Enfin bref, un premier film déjà génial.
C’est l’histoire d’un petit garçon, Andy qui désire à tout prix un brave gars pour son anniversaire. Sa mère va faire son possible et va lui en obtenir un pour son anniversaire, mais brave gars « Chucky » semble être possédé par l’âme d’un tueur en série. Le premier film d’une saga aujourd’hui culte. Je ne m’en lasse pas de voir et revoir ce volet malgré le fils des années. Des répliques aujourd’hui cultes. Des bons personnages comme cette mère déterminée ou le policier acolyte. Andy et Chucky, eux se révéleront bien sûr être les plus marquants. Andy est tout de suite très mignon et attachant par cet air crédule et angélique, quant à Chucky lui est pour commencer une de mes icônes préférés dans le genre horrifique. De plus, il est tout de suite cruel et manipulateur tout en sachant se montrer d’abord mystérieux par ses premiers passages à l’écran. Qu’est-ce que j’aime les films de poupée qui sait bien montrer la poupée à l’écran et Jeu d’enfant (Chucky) ne fait pas exception. Cependant, ce premier Chucky aura quand même attrapé quelques rides avec l’âge.
Enfin bref, un premier film déjà génial.
Une bonne réalisation et une ambiance noir, en font un bon film d'horreur efficace, devenu culte. Le scénario est original mais le jeu d'acteurs lui laisse à désirer.
"Chucky", la réincarnation vaudou de l'esprit d'un tueur psychopathe à travers le corps d"une poupée. Le film culte qui a traumatisé une génération de gamin, effectivement ce premier volet mérite la note maximale à mon avis malgré un certain vieillissement, le plus important est de se focaliser sur l'originalité du scénario, l'atmosphère inquiétante jubilatoire installée. Mon préféré d'une saga encore une fois surexploitée maladroitement et inutilement par la suite, illustrant la poupée jouet au rang de démon blasphématoire à la frontière du ridicule non contrôlé, effaçant tout le mystère qui pouvait maintenir la tension nécessaire à la réussite de ce genre. "Jeu d"enfant" est une franche réussite et un souvenir inoubliable pour beaucoup de cinéphiles, et pour ceux qui ne le connaissent pas, je le conseillerais en priorité, ce film privilégie l'effroi à la grossièreté débile de ses suites.
Premier épisode donnant la naissance à Chucky l'un des Boogeyman les plus sympas si je puis dire sous la plume de Don Mancini et derrière la caméra de Tom Holland. Autant dire il est à mes yeux yeux le plus réussis des 3 premiers épisodes plus axés horreur tout en ayant une certaine ironie et quelles belles touches d'humour noir. Le film a pour cadre Chicago et ses faubourgs mal famé ce qui nous éloigne considérablement des banlieues résidentiels habituels et porte quelques belles piques à la société de consommation notamment l'industrie bien débile du jouet. Mais avant tous ça, Jeu d'enfant reste très efficace dans ces moments de tension et la voix de Brad Dourif fait merveille.
Un petit classique mêlant horreur et humour, Jeu d'enfant est pour moi un des symboles dans la catégorie horreur qui ne se prennent pas au sérieux mais qui sont de bons divertissements.
3,5/5
3,5/5
Un film d'horreur culte et un personnage horrifique culte, mais l'ensemble pas exelent non plus. Tout d'abord l'histoire s'installe progressivement, pas avec beaucoup de suspens mais on s'attend à l'animation de la poupée chaques minutes qu'elle fait son apparition. Le jeu des acteur en revanche laisse à désirer. L'ambince du film est glauque et sombre, ce qui rend le film très effrayant, angoissant et terrifiant. Certaine scenes sont innoubliable, la fin est exelente rien à dire dessus à part que chucky devient de plus en plus effrayant surtout après son immolation et son démembrement. Pas une goutte de sang, que de l'angoisse pour passer une agréable soirée dans le noir. Un poupée culte et aprecié de tout les fans de film d'horreur, Tom Holland nous offre un film à voir et revoir pour son efficacité qui n'est pas encore prêt d'etre oublié. 4/5
Doté d'une bonne réalisation, "Jeu d'enfant" permet d'angoisser quelques fois le spectateur par des scènes plaisantes et surprenantes. La poupée Chucky est très intéressante même si le long-métrage se contente d'un scénario juste. Par ailleurs, les acteurs sont assez convainquants dans l'ensemble. Ainsi, le film est captivant tel un bon divertissement.
un premier réussi entre horreur et fantastique ou l'on voit les début du tueur contraint de survvre dans une poupée. l'un des films d'épouvante référence, grace a son aspect gloque et kitch qui ont fait la renomée de la saga.
Les premiers émois de la poupée tueuse la plus appréciée des adeptes de cynisme horrifique pourraient bien décevoir ces derniers, tant Child's Play apparaît comme un banal film de genre. Vestige de son époque, avec tout ce que cela comporte de charme vintage comme d'effets de déjà-vu, le premier Chucky s'inscrit dans la foule d'un cinéma d'horreur très 80's, décomplexé mais aussi plus teen, ou l'outrance flirte constamment avec l'arnaque et le vide ne semble jamais loin ; ère des Freddy et Vendredi 13 oblige.
Jeu d'enfants tente de brasser plusieurs sous-genres -thriller puis drame fantastique, slasher...- pour une réussite toute relative, le cocktail s'avérant divertissant mais reposant sur de frêles ressorts. Ne se gargarisant pas totalement des excès typiques de la vague horrifique évoquée, Chucky premier du nom aborde son sujet avec sérieux, mais peine lui-même en fin de parcours à écarter la vague idée que l'entreprise a comme un petit quelque chose d'aberrant. Le réalisateur de La peau sur les os s'en remet donc aux conventions afin délivrer un produit carré [plutôt qu'errer il abandonne son intrigue non pas à un dénouement, mais AU dénouement convenu de service avant d'achever le tout sur un mystère ringard par excellence], tout en invoquant déjà la veine comique de son attraction maléfique, l'installant progressivement par de rares petites touches peu concluantes.
Jeu d'enfants tente de brasser plusieurs sous-genres -thriller puis drame fantastique, slasher...- pour une réussite toute relative, le cocktail s'avérant divertissant mais reposant sur de frêles ressorts. Ne se gargarisant pas totalement des excès typiques de la vague horrifique évoquée, Chucky premier du nom aborde son sujet avec sérieux, mais peine lui-même en fin de parcours à écarter la vague idée que l'entreprise a comme un petit quelque chose d'aberrant. Le réalisateur de La peau sur les os s'en remet donc aux conventions afin délivrer un produit carré [plutôt qu'errer il abandonne son intrigue non pas à un dénouement, mais AU dénouement convenu de service avant d'achever le tout sur un mystère ringard par excellence], tout en invoquant déjà la veine comique de son attraction maléfique, l'installant progressivement par de rares petites touches peu concluantes.
Chucky est devenu au fil du temps un mythe du cinéma d’horreur. Sa carrure est largement associée à l’image que l’on se fait d’une poupée maléfique. C’est en 1988 que sa légende démarre avec le film « Jeu d’enfant » un brin mou, qui reste tout de même agréable à regarder. La première séquence qui montre un tueur en série transposer son esprit grâce au vaudouisme dans le corps de cette immonde poupée place le contexte, celui du surnaturel que confronterons sans cesse les personnages. L’histoire qui présente des situations réalistes est confrontée à un objet animé, ce qui semble irréel. Ainsi, il est régulièrement question de la croyance, de la peur de ce qui semble impossible et le long-métrage mise sur cet aspect pour faire peur notamment au départ en nous mettant du côté de la première victime de Chucky. Une séquence réellement stressante car le réalisateur mise sur des caméras subjectives (qui adoptent le regard du personnage) efficaces pour créer une longue partie de cache-cache effrayante dans un appartement sombre. Néanmoins après ce premier meurtre de Chucky, ce dernier se montre plus souvent à la caméra ce qui diminue son impact horrifique. Son design est, il faut le dire, particulièrement terrifiant et assure tout de même le reste de l’horreur du métrage. La course-poursuite qui lance les héros de l’histoire aux trousses de la poupée n’est tout de même pas inintéressante et met en place de bonnes idées. De plus, les effets spéciaux sont réussis, on croit à ce personnage bel et bien vivant qui multiplie les coup-bas pour satisfaire ses pulsions meurtrières. Un petit coup d’éclat qui, sans être exceptionnel, ouvrira la voie à plusieurs décennies d’ancrage dans la culture populaire.
PowerKing - Les Chroniques du Cinéphile
Le 1er volet d'une saga culte au franc succès des années 80. Pour être franc, en 2013 ce film a perdu environ 80% de sa crédibilité malgré le côté 2nd degrés toutefois original qui en a fait sa renommée. D'un point de vu enfantin, Chucky peut se révéler terrifiant, mais pour un adulte saint d'esprit, sa folie meurtrière fait tout juste sourire. Des effets spéciaux préhistoriques tellement poussiéreux qu'on en éternue d'ennui. Disons que le concept a du potentiel; à voir si la suite relève le niveau. 2/5
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