Avis : Comment épouser un millionnaire - Page 4

Un petit bijou de comédie des années 50 avec 3 grandes stars Marilyn Monroe, Lauren Bacall et Betty Grable. Les situations sont cocasses traitées dans la verve entraînante des réalisations de cette époque. : celle-ci par l'expérimenté Jean Negulesco, réalisateur du célèbre papa longues jambes de 1955 avec Fred Astaire.

Cette comédie commence plutôt bien. Le speech de départ est alléchant et j'ai été agréablement surpris de sentir que c'est la belle Lauren Bacall qui portait le film. Je lui mets la mention de la meilleure interprète du film même si Marilyn s'en sort plutôt bien. Le film s'effiloche quand on se met à suivre en parallèle les 3 quête d'arge... d'amour ? de chacune des héroïnes. Je trouve que le film se montre surtout lent et lourdaud lorsqu'on suit le personnage de Grable ( l'actrice tient bien son rôle, mais un personnage gnian-gnian sur les aspects superficiels d'une relation intéressé, ça devient vite bancal) à tel point que je pense que le film aurait gagné à ne tourner qu'autour du duo Bacall/Monroe, on aurait pu avoir une sorte de Bonnie & Clyde féminin autour de la séduction... plus piquant ! Malgré des longueurs, on arrive toujours à raccrocher au film, donc ça donne un divertissement plaisant même s'il n'est pas une pépite du cinéma

J'ai cru au début m'être trompée de lien à cause de l'orchestre jouant une de ces musiques désagréables des films de cette époque, mais j'ai voulu faire assez preuve d'ouverture d'esprit quant aux manières différentes de faire des films. Cependant, j'ai finalement trouvé que le seul avantage de ce film est le témoignage historique. Trois femmes, deux idiotes (blondes à la voix aiguë), une intelligente (brune à la voix grave) cherchent à dénicher des maris riches. spoiler: Puis pour perpétuer dans le cliché elles finissent pas choisir l'amour.

Un film sympathique, sans plus.

A boire et à manger. Le film est drôle, mais pas Lauren Bacall. J’ai admiré le magnifique style de vie des années 50. Les filles sont belles, bien coiffées et bien habillées. Le film aborde les relations de la femme avec l’argent. C’est un film romantique ; à regarder en couple. Mais peu de suspense. Quelques moments inutiles. Le scénario est mal ficelé, avec une alternance de relations amoureuses : les ‘feux de l’amour’ ? Et j’imaginais une meilleure fin.

Trois femmes cherchant l’argent, cèdent finalement à la passion et au bonheur... Cette comédie tient surtout du mythique par le jeu de ces « trois drôles de dames » qui nous éblouissent tant par leur sensualité, que leur classe et leur chic… La mise en scène maintient le cap maladroitement entre humour et burlesque. Ceci notamment dû au cliché et creux du scénario. Ce qui nous reste c’est que tout y est léger et légèreté… Mais finalement, on fait tout de même un joli voyage dans le NewYork des années 5O, accompagné par trois égéries hollywoodiennes, qui nous ré-apprennent tout de la mode, de l’art de séduire et de réussir de la Pin Up.

How to marry a millionaire est pour moi bien meilleur que Gentlemen Prefer Blondes, et le scénario plus fourni (certes, on ne chante pas) ! Une excellente distribution, une Marilyn en lunettes, et un final génial ! Miss Monroe exploite ses talents comiques et y apporte ici une touche d'humour en plus, et Lauren Bacall est plus que convaincante. Une Betty Grable un peu effacée par ses deux co-stars et une intrigue bof bof, mais à sa place dans la gallerie du glamour. Bref à revoir au ciné en VOST, ne serait-ce que pour les sparkling dresses, et pour de bonnes soirées vintage !