"Massacre à la tronçonneuse" le remake ou la révélation il y a maintenant trois ans d'une très talentueuse actrice, aujourd'hui assez célèbre à Hollywood. J'ai bien évidemment nommé mademoiselle Jessica Biel, dont les petites fesses nous intéressent dès le début plus vite que les nombreux cris de panique. Ce n'est pas un hasard si le réalisateur a choisi à maintes reprises de la filmer en contre-plongées de dos, afin que l'on voie sans cesse se dandiner son petit popotin. Allez, je suis mauvaise langue, on ne juge pas une actrice en fonction d'un postérieur ! Ainsi, les plans la montrant de face laissent présager une poitrine relativement conséquente dont les formes s'avèrent moulées dès que la jolie héroïne trempe son joli corps siliconé dans l'eau. Les multiples suggestions quant aux tétons pointillant semblent s'adresser à un public prépubère tout émoustillé à l'idée de voir un affreux psycopathe courser une énième bimbo. Bon, et alors ? De toute manière, ils sont tous allumés là-dedans : toute la famille y passe, du détraqué principal au père complice, sans oublier les vieilles dames affreuses aux dents détériorées (merci l'enfant indigne en passant !). Alors forcément, lorsqu'on est jeune, représentatif des teenagers abrutis, complètement oufs à l'idée de passer un week-end où on s'amuse grave entre potes, on ne peut qu'hurler sa peur dès l'instant où de sordides événements viennent s'ajouter à notre quotidien. Force est de constater que toute la bande est vraiment attardée, aux réactions calculées et ridicules mais à la carrure physique impressionnante (pas mal de vivre avec une jambe coupée et en s'étant fait empaler plusieurs fois de suite). Le boss est ultra-invincible et quasi-impossible à éliminer (en plus, il s'agit d'un mythe donc c'est pas possible qu'il se fasse battre) et reviendra se venger de façon bien plus innatendue que vous ne le pensez (magnifique final avec des flics un peu bébêtes !).