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Un visiteur
3,0
Publiée le 4 novembre 2012
Pas mal, basé sur des faits réels donc "l'histoire" se tient, et dire qu'il existe certainement encore des familles a moitié consanguine et canibale... sinon pour en revenir au film, il n'est pas très gore ce qui est un peu dommage vu le titre ( massacre), et les personnages (j'adore jessica biel) joue plus ou moins bien, mais ce film reste un peu dans le cliché des road movie
Ce remake est l'un des meilleurs remakes realisé pour un slasher avec celui des halloween par Rob Zombie et celui de vendredi 13 fait par Michael Bay . L'atmosphere du film est très glauque et sombre ce qui nous plonge dans cette oeuvre mais qui n'est malheureusement pas au niveau du commencement réalisé par Johnatan Liebesman qui a fait un film beaucoup + dérangeant en profondeur par son aspect psychologique. Enfin bref un bon film n'exploitant pas tous les domaines en profondeur pour en faire un chef d'oeuvre mais toute fois bien sympa malgré le coté psychologique du spectateur qui aurai pu être mis en avant davantage notamment en choisissant une musique beaucoup + sombre exactemment comme dans le film de 2006
Le premier que je vois, je m'attendais à un meilleur scénario tout de même mais un bon casting sauve le film. Je pense trouver mieux dans "massacre à la tronçonneuse le commencement" qui reviens sur les origines de ce tueur.
L’angoisse et les scènes gores sont justes énormes. Le coté pervertie de ce film est juste excellent. Le personnage du leatherface est super bien fait. De bons acteurs et une bonne musique qui accompagne ce film. La scène en noir et blanc de fin avec le cameraman et le policier qui visite l’abattoir est vraiment génial.
Peut-être ai-je fait l'erreur de regarder "Le Commencement" avant celui-ci?! Mais en tout cas je trouve ce film moins impressionnant que sa prequel. C'est un plaisir de revoir LeatherFace et le shérif Hoyt, cependant l'ambiance n'est pas vraiment au rendez-vous comparé à l'autre. Surement que je penserai l'inverse si je l'avais regardé avant mais mon ressenti après avoir vu les 2 d'affilé est que j'ai préféré la prequel de 2006. Les mort sont pas trop mémorables, et les jeunes acteurs....bof. Le scénario est encore une fois simpliste mais met bien en place le massacre à suivre.
Aussi populaire qu'est la franchise "Massacre à la tronçonneuse" dans le domaine du cinéma d'horreur, seule la version originale de Tobe Hooper a le mérite d'être reconnu, puisque toutes les suites se sont épuisé dans le guignolesque ou la série B. Avec l'arrivée de la vague des remakes hollywoodiens, l'annonce d'une reprise ne fût pas facile à avaler auprès des fans de l'original ! L'original par ci, l'original par là, on nous aura toujours fait toute une polémique à travers ce film qui fonctionne finalement grâce à son visuel sale, sa réalisation type documentaire et son aspect dérangé pour l'époque, le premier "The Texas Chainsaw Massacre" n'est pas un mauvais film, mais demeure un peu trop gâté. Il faut reconnaître qu'apporter une toute nouvelle version à un film qui se révèle être le meilleur de toute une lignée n'est pas chose facile, surtout quand le réalisateur se lance ici dans son premier gros film ! Massacre à la tronçonneuse (2004) n'apporte rien de nouveau, l'histoire est quelque peu la même, Nispel (Vendredi 13, Pathfinder) a gardé l'essence du film original sauf qu'il explore ici un ton plus dynamique, violent et fun. Ne révolutionne en rien dans le genre, mais a le mérite d'être plaisant !
Pourquoi cette manie de faire des remakes de films cultes? Bien avant que Wes Craven ne voit son médiocre "Dernière maison sur la gauche" transposé au 21ème siècle par Denis Iladis, c'est Tobe Hooper qui a vu son "Massacre à la tronçonneuse" subir les affres du remake. Je vais commencer directement par vous dire: oubliez cette adaptation foireuse et retournez regarder le film de Hooper. Continuons tranquillement à présent... Un point agréable du long-métrage de Nispel, si on peut qualifier ça de pleinement agréable, est le fait que le scénario garde les grandes lignes du film de Hooper en y incluant des élements originaux. Ainsi, la délicieuse famille de consanguins psychopathes rednecks se voit élargie question membres. Alors que dans l'oeuvre originale on avait les trois frères et le grand père, là maintenant on a le grand père, la grand mère, le petit-fils, les deux frères (ils en ont supprimé un, blasphème!!!!) et les deux cousines! Un beau petit monde pour une nuit d'horreur qui dénature l'ambiance du long-métrage original en remaniant le tout à la sauce hollywood. Certes, Jessica Biel rajoute une touche charme (mais quelle plastique mes amis! Quelle plastique!), les adolescent sont cantonnés à des rôles de crétins fans de marijuana sans aucune profondeur. L'angoisse n'est plus au rendez-vous tant les effets de surprises sont prévisibles et le côté malsain se voit relégué au second plan. Tout le monde se souvient d'un Leatherface monstrueux, tout le monde se souvient de cette scène du dîner, tout le monde se souvient de la peur que véhiculait le "Texas Chainsaw Massacre" original. En espérant s'accaparer les codes et l'univers crée par Hooper, Marcus Nispel à la brillante mauvaise idée de supprimer cette mise en scène pour privilégier le côté pop-corn de la chose et séduire les adolescents avides de films d'épouvantes capable de faire trembler leurs petits membres pour mieux bégotter leur copine à la fin de la séance. Quand on voit le reste des longs-métrages réalisés par Marcus, on voit le récent "Conan", un étron sans précédent et "Vendredi 13", autre remake. Spécialiste de ce genre après avoir été bouffé par la "MTVsation" avec la réalisation de clips musicaux pour Mylène Farmer ou Janet Jackson (entre autres...), Nispel représente le réalisateur "yes man", qui voit plus le chèque de dollars qui l'attend au bout du parcours à la place de se soucier de l'art. De ce fait, ce "Massacre à la tronçonneuse" version 2003 est une immense déception et un remake sans âme et sans grande imagination, les grands codes du slasher étant réutilisés pour plaire à un public jeune dans l'ensemble, au détriment de plus important: l'ambiance.