Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Aden
par Philippe Piazzo
Le sang coule, les victimes sont dépecées avec insistance et le film joue avec un esthétisme gore explicite. Une autre façon efficace de provoquer l'épouvante et le dégoût du spectateur. Les amateurs apprécieront.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Cahiers du Cinéma
par Vincent Malausa
(...) la réussite de la cuvée 2003 tient dans cette façon de considérer le premier film non comme modèle ou structure sur quoi se plaquer, mais comme inépuisable réserve d'images (...) S'il fait parfois maladroitement éclater le refoulé grand-guignolesque du premier Massacre, Nispel en réactive la puissance d'épouvante (...)
Chronic'art.com
par Vincent Malausa
Loin des bouffonnades auxquelles le genre nous a récemment habitué, Massacre à la tronçonneuse, par éclats, au détour d'un plan, foudroie et terrifie. L'essentiel est sauf.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
L'Ecran Fantastique
par La rédaction
Loin d'être un banal remake, le nouveau Massacre à la tronçonneuse s'avère à la fois un thriller psychologique et un pur récit d'horreur, dont la crédibilité constitue un élément déterminant, entraînant de concert le spectateur et ses protagonistes au sein d'un implacable cauchemar.
TéléCinéObs
par Bernard Achour
Massacre à la tronçonneuse, version 2004, réussit le petit exploit d'être aussi dément que son modèle (...) Depuis le second degré imposé par Scream, c'est la première fois que le cinéma d'épouvante américain remplit son contrat avec autant de sérieux et d'efficacité.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Ciné Live
par Marc Toullec
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Monde
par Jean-François Rauger
Le film, adroitement réalisé, se distingue réellement par une série de scènes d'un sadisme éprouvant, construites moins sur l'imagerie gore que sur l'humiliation et la torture morale.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Alexis Bernier
(...) si Marcus Nispel sait jouer avec nos nerfs, son film reste inoffensif et s'oublie vite, quand celui de Tobbe Hooper vous poursuit éternellement.
Première
par Mathieu Caratier
on se demande si tant de gore est vraiment nécessaire (...) C'est moins démonstratif que du Haneke, et on pourra toujours prendre Massacre... pour ce qu'il est avant tout : un film d'horreur d'une redoutable efficacité.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Jérémie Couston
Après un prologue décevant, le remake décolle vraiment au premier meurtre, lorsque les quatre ados (restants) prennent conscience de leur devenir viande. L'image déborde alors d'eau et de sang.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Express
par Arnaud Malherbe
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
par Vincent Ostria
(...) on se doit de déplorer la routine et le professionnalisme outranciers qui caractérisent ce remake (...) le film esthétise constamment son horreur avec une lumière au style publicitaire.
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Remake trop chic et luxueux d'un classique du gore crade. Un genre qui tourne en rond et s'épuise.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
MCinéma.com
par Camille Brun
Michael Bay (...) produit et massacre un chef-d'oeuvre de la peur (et de l'humour noir !) pour en faire un... produit qui ne fait même pas peur !
aVoir-aLire.com
par Richard Vantielcke
Le film s'éloigne alors de la réalité morne et pathétique qui fait la force de l'original. Alors si ce massacre ne mérite que d'être oublié, on peut espérer qu'il ramènera dans l'actualité son original, un des films les plus traumatisants de l'histoire du cinéma.
Aden
Le sang coule, les victimes sont dépecées avec insistance et le film joue avec un esthétisme gore explicite. Une autre façon efficace de provoquer l'épouvante et le dégoût du spectateur. Les amateurs apprécieront.
Cahiers du Cinéma
(...) la réussite de la cuvée 2003 tient dans cette façon de considérer le premier film non comme modèle ou structure sur quoi se plaquer, mais comme inépuisable réserve d'images (...) S'il fait parfois maladroitement éclater le refoulé grand-guignolesque du premier Massacre, Nispel en réactive la puissance d'épouvante (...)
Chronic'art.com
Loin des bouffonnades auxquelles le genre nous a récemment habitué, Massacre à la tronçonneuse, par éclats, au détour d'un plan, foudroie et terrifie. L'essentiel est sauf.
L'Ecran Fantastique
Loin d'être un banal remake, le nouveau Massacre à la tronçonneuse s'avère à la fois un thriller psychologique et un pur récit d'horreur, dont la crédibilité constitue un élément déterminant, entraînant de concert le spectateur et ses protagonistes au sein d'un implacable cauchemar.
TéléCinéObs
Massacre à la tronçonneuse, version 2004, réussit le petit exploit d'être aussi dément que son modèle (...) Depuis le second degré imposé par Scream, c'est la première fois que le cinéma d'épouvante américain remplit son contrat avec autant de sérieux et d'efficacité.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Monde
Le film, adroitement réalisé, se distingue réellement par une série de scènes d'un sadisme éprouvant, construites moins sur l'imagerie gore que sur l'humiliation et la torture morale.
Libération
(...) si Marcus Nispel sait jouer avec nos nerfs, son film reste inoffensif et s'oublie vite, quand celui de Tobbe Hooper vous poursuit éternellement.
Première
on se demande si tant de gore est vraiment nécessaire (...) C'est moins démonstratif que du Haneke, et on pourra toujours prendre Massacre... pour ce qu'il est avant tout : un film d'horreur d'une redoutable efficacité.
Télérama
Après un prologue décevant, le remake décolle vraiment au premier meurtre, lorsque les quatre ados (restants) prennent conscience de leur devenir viande. L'image déborde alors d'eau et de sang.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
(...) on se doit de déplorer la routine et le professionnalisme outranciers qui caractérisent ce remake (...) le film esthétise constamment son horreur avec une lumière au style publicitaire.
Les Inrockuptibles
Remake trop chic et luxueux d'un classique du gore crade. Un genre qui tourne en rond et s'épuise.
MCinéma.com
Michael Bay (...) produit et massacre un chef-d'oeuvre de la peur (et de l'humour noir !) pour en faire un... produit qui ne fait même pas peur !
aVoir-aLire.com
Le film s'éloigne alors de la réalité morne et pathétique qui fait la force de l'original. Alors si ce massacre ne mérite que d'être oublié, on peut espérer qu'il ramènera dans l'actualité son original, un des films les plus traumatisants de l'histoire du cinéma.