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Un visiteur
5,0
Publiée le 28 août 2007
J'avais vu le film lors de sa sortie au cinéma lorsque je devais avoir 9 ans et j'avais A-DO-RE!maintenant je le regarde en dvd et j'adore toujours.Richard Berry a réalisé a la perfection se film sur l'enfance.Il est drole et très bien pensé.BRAVO
Pour un film de ce genre, je pensais que l'histoire tournerait en rond... Eh bien non ! Tout y est dans ce film pour ne pas s'endormir: Humour, amitié, voyage, découvertes, j'ai été servi !
Et bien moi, j'ai vraiment bien aimé. Ce cséar, c'est un rigolo ... Un sentimental ... Et c'est vrai qu'une vie d'enfant c'est dur , parce que c'est comme être adulte mais sous la dépendance de ceux ci . J'ai aimé le ton du film.
Bof... le film commence bien: Richard Berry analyse bien le travail de l'imagination à patir des faits réels. Mais très vite, il abandonne cette piste scénaristique pourtant intéressante sans donner d'explication réelle au faits (pourquoi la police? qui est venu chercher le père?) pour nous entrainer à Londres dans une fugue invraisemblable et grotesque habité par une Anna Karina punk caricaturale pour enfin conclure d'une façon extrêmement convenue. En bref malgré quelques bons moments (le caméo de Cécile de France, l'interprétation survoltée de Stéphane Guillon, la qualité de la photo...), le scénario donne trop dans la facilité, la caricature et l'invraisemblance pour accrocher durablement le spectateur. Et puis Jules Sitruk...pfff...
Richard Berry nous donne une bonne leçon au travers du regard d’un gamin de 10 ans. Les dialogues sont pleins de bons sens, les bambins attachants, l’histoire divertissante. Bien des parents devraient en prendre note, le film pourrait être une thérapie, un tremplin vers une prise de conscience. Les enfants paraissent normaux aux regards de parents plus « foldingos » les uns que les autres. Les plus responsables ne sont pas ceux que l’on croit. Une petite réussite.
Allez, je lui mets 3 étoiles parce que c'est un film que j'ai adoré quand j'étais petit, et j'étais amoureux de la petite Sarah. Non, sans rire, ce film est plein d'humour et permet de voir le monde à travers l'oeil d'un gosse. Richard Berry a réussi son coup.
Ce deuxième film de Richard Berry manque d'humour (même s'il y en a dans certaines scènes), le scénario est "tiré par les cheveux", la caricature ou le constat d'un enfant de 10 ans est assez monotone etc... Au final, le seul point positif repose sur la bonne prestation de Jules Sitruk.
Les choses commencent à vraiment dégringoler à partir du moment où le père donne une gifle à Cesar ! Comment ne pas etre constérné devant cette scene qui aurait pu etre evitée, si on avait simplement dit la destination du voyage au pauvre Cesar !! Oui, mais là y'aurait plus eut de film ! Un scenario bidon qui donne un film bidon, à la narration bien bien lourde !!
J'ai beaucoup apprécié les remarques de l'enfant du début jusqu'à la fin. Je les trouvait marrante mais surtout très vrai. Sinon, j'ai trouvé que ca manquait un peu de rythme et que le scénario était bidon. Quant aux acteurs le seul à retenir est le personnage principale. Les autres...euh...voila quoi.
Mais c'est quoi ce navet ?? Quelle merde ce film !! Scenario pourris, acteurs minables, peripeties trop prévisibles, et surtout, humour mediocre !! A éviter
R. Berry réalise son 2ème film, qui propose un regard juste et inhabituel sur les enfants puisque la caméra se place à la hauteur du héros (un petit garçon de 10 1/2 d'1m39). La 1ère partie nous plonge dans son quotidien, entre son père absent et violent, sa classe, son 1er amour, sa vie quoi. Ton mordant, regard juste, mise en scène impeccable, numéros d'acteurs savoureux : c'est un festival. Et puis, le film se dilue et se perd dans une seconde partie moins intéressante et trop improbable : l'escapade londonienne ne convainc et n'accroche pas. Dommage, cela gâche un peu le film, dominé par un J. Sitruk confondant de naturel, des seconds rôles au top (D. Bénureau, J. Benguigui, S. Guillon, J-P. Rouve) et des jeunes comédiens épatants (notamment l'interprète de Morgan). D'autres critiques sur
Tout simplement un film attachant, malgré certaines péripéties qui sont je penses impossibles. La réalisation de Berry est très très bonne, avec un super plan de départ avec les parapluies. Les enfants jouent très bien, les adultes de même. A voir en famille.
Une comédie familiale filmé de façon moderne à la steadycam en pleine face et aux acteurs made in m6 qui sentent le piston.Outre ces conditions Berry arrive néanmoins à divertir de la même maniére des comédies familiales du début des 90s (genre génial mes parents divorcent...)
Deuxième long-métrage de Richard Berry, «Moi César, 10 ans ½, 1m39» (France, 2003) s’apparente à une œuvre autobiographique, un conte à la première personne où son réalisateur mêle avec espièglerie traces réelles et fabulations jouissives. Berry déverse une potion de couleurs et de malices avec gaucherie, inondant le tout d’une naïveté convaincue. Si seulement Berry créait ce baume édulcoré or il pille le travail de Jeunet sur «Le Fabuleux Destin d’Amélie Poulain» (France, 2001), des décors douceâtres jusqu’aux musiques enjouées (Reno Isaac reprenant parfois à quelques mesures prêts des airs de Yann Tiersen). Si l’esthétique calquée est un choix discutable, le traitement idéalisée de l’enfance laisse parfois coi de tant d’ingénuité. En rapport à «Les Quatre cents coups» (France, 1959) de François Truffaut que Berry se permet de citer, le film est pétri de candeur. Richard Berry, co-scénariste du film, mêle une réalisation à avantage d’enfant avec des plans à basse hauteur et composés par une puérilité voulue et personnages enfantins à la conscience bien évoluée et à la morale sans reproche. Chutant dans l’écueil de l’insouciance enfantine, le film se meut par des réactions pétries de bon sens, un bon sens magnifié par un drame incroyable. Où est la causticité anodine des enfants ? Et leur insouciance du futur ? Pourtant formellement adéquat au milieu du jeune âge, Berry traite son fond non plus en se positionnant comme son héros mais en posant sur lui un œil rétrospectif. C’est la rancœur a posteriori des affres de ses jeunes années, l’autobiographie prenant alors un goût de confession inintéressante puisque mut par des souvenirs individuels. Mais il faut bien à Berry des péripéties pour caser ses ressentis passés, c’est ainsi que le film se scinde en deux parties distinctes : le malentendu naïf sur le voyage du père et le départ à Londres. Ces deux parties reliées entre elles par un bout de gag n’ont nul lien sinon les mêmes personnages qui alimentent le conte.