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Un visiteur
0,5
Publiée le 30 juillet 2007
Les choses commencent à vraiment dégringoler à partir du moment où le père donne une gifle à Cesar ! Comment ne pas etre constérné devant cette scene qui aurait pu etre evitée, si on avait simplement dit la destination du voyage au pauvre Cesar !! Oui, mais là y'aurait plus eut de film ! Un scenario bidon qui donne un film bidon, à la narration bien bien lourde !!
Un film qui se veut réaliste, mais qui paraît très peu probable... Trois enfants partent seuls à Londres par l'Eurostar, ils ont la chance de trouver (comme par miracle) une gentille dame, n'ont que très peu de problèmes et EN PLUS, ils arrivent à retrouver le père du garçon... Vous y croyez, vous ? N'oublions pas que le problème du billet de train est vite résolu, la petite de 12 ans se pointe devant les caisses avec 400 euros en liquide en poche, et les vendeuses lui accordent sans rechigner son billet. Décidément peu crédible, avec des anecdotes qui n'apportent rien à l'histoire, ne perdez pas votre temps, il en a des tellement mieux à l'affiche en ce moment !
Un très bon film français pour enfants avec une Joséphine Berry qui illumine totalement l'écran. Jules Sitruk joue aussi très bien. De très bonnes scènes avec une mise en scène original, ça donne vraiment un bon film.
Mais c'est quoi ce navet ?? Quelle merde ce film !! Scenario pourris, acteurs minables, peripeties trop prévisibles, et surtout, humour mediocre !! A éviter
Super film : le meilleur ami de César, Morgan, a sont père qui est partis en Angleterre et qu'il n'a pas connu... bref, quand ils vont se lancer à sa recherche, çà va être une autre paire de manches !!!
Une sorte de mini Amélie Poulain. L’histoire est jolie ainsi que le portrait touchant de l’enfance et les sentiments qui naissent. Un joli petit rythme, de l’humour bien trouvé et un JP Rouve drôle.
Avec son deuxième long-métrage, Richard Berry signe une bonne comédie sur l’enfance avec ses doutes, ses incertitudes et sa quête d’identité. Si l’aventure met un peu de temps à se lancer, elle est menée par un bon trio de jeunes acteurs. La mise en scène, à hauteur d’enfants, est souvent pertinente.
On voit le film autrement après les problèmes rencontrés récemment par Richard Berry. Le début est excellent puis au bout de 25 minutes, la magie ne prend plus. Manque de crédibilité malgré les bons acteurs. 2,5/5
Je ne suis pas inconditionnel de Richard Berry réalisateur, mais lorsque celui-ci s'efface derrière son sujet et ses personnages, cela peut donner quelque chose de très sympathique. « Moi, César, 10 an1/2, 1m39 » le démontre joliment, certes avec une certaine naïveté et un sens de la mise en scène parfois téléfilmesque, mais avec une sensibilité et une sincérité qui, elles, ne sont jamais à remettre en cause. C'est agréablement écrit, les jeunes héros sont attachants (et bien joués, ce qui n'est pas courant), sans pour autant que les adultes ne soient un instant sacrifiés (mention spéciale à l'excellente Anna Karina), le tout porté par une légèreté insouciante, typiquement enfantine qui sied très bien au propos du film. Alors oui, c'est parfois franchement improbable, mais qu'importe, le regard porté sur l'enfance et les interrogations inhérentes à cette période de la vie étant si justes qu'on n'y fait presque pas attention. Un peu facile donc, sans trop doute trop bienveillant, mais charmant.
Comment est-il possible, en 2003, de voir passer le micro du perchman au milieu du plan à chaque scène en appartement ? On ne voit souvent que ça, le micro qui manque presque de toucher le haut du crâne des acteurs... Stupéfiant. Outre le perchman qui a visiblement eu mal aux bras, Moi César, 10 ans 1/2, 1m39 est une petite comédie de Richard Berry qui vaut surtout pour la bonne bouille de Jules Sitruk, qui a complètement disparu des radars depuis. On suit donc le jeune garçon dans une aventure qui, originalité, n'est pas la sienne, mais celle de son meilleur qui veut retrouver son père (un anglais qu'il n'a jamais vu). Voilà donc les trois compères (avec la jeune fille dont les deux garçons sont amoureux) partis pour Londres, avec quelques décalages culturels amusants, quelques répliques drôles et des rencontres extravagantes en chemin. Le quotidien de César n'est pas non plus dépourvu d'exagérations entre ses parents qu'on ne souhaite à personne (le père violent et la mère effacée) et des vacances à la ferme flatulentes (le délire des pets gras est...inattendu, on n'a pas les mots). La réalisation n'est pas parfaite (en témoignent les micros qui passent tranquillement dans le cadre) et les acteurs sont plus proches d'une bonne série B qu'une grande comédie, mais on peut se laisser prendre facilement au jeu de l'intrigue des enfants qui s'embarquent dans des aventures plus grandes qu'eux, avec humour et philosophie Carambar (inattendue et drôle). Mais Richard Berry aurait tout de même pu offrir des haltères à son perchman.
César, en CM2, tombe amoureux de la jolie Sarah Delgado, et doit se la disputer avec son meilleur ami Morgan tout en restant ami. Les parents de César sont en couple, les parents de Sarah sont divorcés et Morgan ne connait pas son père. On va déjà aborder les différents types de structures familiales et voir qu’aucune n’est idyllique ; déjà une bonne chose pour l’ouverture d’esprit de nos jeunes pousses. Ensuite, ce film traite de la difficile période charnière entre enfance et adolescence, la préadolescence, à travers le regard d’un enfant timide et un peu enrobé qui a comme meilleur ami un enfant très assuré. Filmé à hauteur d’enfant pour rendre au mieux les sentiments de César, Richard Berry n’est pas Spielberg dans E.T. et surjoue la mise en scène avec des contre plongées appuyées. De même que la voix off retranscrivant les états d’âmes de César sont très fréquentes et parfois trop explicatives. Reste que la première partie du film aux modestes accents truffaldiens est menée tambour battant et offre plein de belles pastilles autour de l’enfance. Autant la seconde partie autour d’un voyage initiatique trop peu crédible et purement orientée comédie s’avère poussive voire purement décorative. Un avis bien mitigé mais Clément, 10 ans ½, 1m42 s’est beaucoup amusé devant ce film et est tombé amoureux de Sarah Delgado qui malheureusement pour lui à 30 ans maintenant. tout-un-cinema.blogspot.com