Un ‘Ace Ventura’ version féminine mais au rabais. C’est dingue comment le premier film est supérieur à celui-ci parce qu’à partir du moment où le sujet du film a été changé pour avoir finalement une lutte ‘féroce’ contre les tests cosmétiques des animaux, tout est parti en lambeaux. De même, le mariage entre Elle et Emmett révèle des sentiments trop bien-pensants de telle sorte que ça en devient mièvre, il n’y a pas pire donc ! N’oublions pas les seconds rôles encore plus débiles qu’avant. En conclusion, un film niais qui joue sur l’attendrissement canin, c’est tout simplement pitoyable et n’importe qui remarquera bien que tout est fait pour se servir de la réussite du premier opus. Rien que la plaidoirie finale est une catastrophe d’idiotie totale et sans intérêt.
Il ne faut pas sous-estimer une blonde et c’est peu dire qu’on n’attendait pas vraiment son retour et pourtant Elle Woods s’offre un nouveau film. On ne s’est pas beaucoup foulé au niveau de l’écriture du scénario ; la page Harvard étant tournée, on vise un peu plus haut avec le congrès américain. A quelques détails près, c’est la bonne vieille formule du copier/coller qui est reprise ; Reese Whiterspoon doit de nouveau faire ses preuves et rabattre le caquet de ceux qui ne croient pas en elle mais aussi user de ses connaissances pointues de la mode pour démontrer ses talents d’avocate. Déjà que le 1er épisode n’était pas une franche réussite, La blonde contre-attaque parvient à se montrer encore plus inintéressante.
Les ingrédients du premier son toujours présent, mais l'effet de surprise lui ne l'est plus. Du coup, le film déçoit un peu, là ou le un n'était déja pas exceptionnel... Un scénario un peu plus improbable que dans le précédent et des séquences parfois plaisante à regarder (mais loin d'être plier en deux), mais d'autre qui font peine à voir... LEs suites sont généralement moins bonne que le précédent et c'est effectivement le cas ici. Mais si l'on a vu le premier, on se doute un peu de ce qui nous attend (le DTV faisant deja preuve^^). C'est passable, mais l'on aura vite fait de zapper ou de le refourguer une fois vu (tout comme le un, qui restant sympa ; s'avère quand même bien maigre en tout point. Idem pour celui-ci^^). Certains trouveront peut être un peu de charme au niveau de l'"héroine" du film...llol.
Deux ans après l’inutile La Revanche d'une blonde (2001), Reese Witherspoon récidive avec La Blonde contre-attaque (2003), toujours dans le rôle de la blonde écervelée et habillée en rose flashy. Robert Luketic cède sa place à Charles Herman-Wurmfeld (à la réalisation) qui s’est attelé à la suite du premier opus où l’on retrouve la célèbre blonde dans un grand cabinet d’avocats (après avoir brillamment quitté Harvard). Etait-il possible de faire plus ridicule et craignos que dans le précédent film ? La réponse est affirmative sans le moindre doute puisque ici, la cruche souhaite inviter à son mariage la mère de son chien (non, vous ne rêvez pas), cette dernière découvre qu’elle est utilisée comme cobaye dans un laboratoire de cosmétique. Ni-une ni-deux, la voilà bien décidée à prendre la défense des animaux. Scénario navrant, voir indigent, les rares moments où il nous est permit d’en rire se compte sur les doigts de la main. Malgré le charme de Reese Witherspoon, on prend notre mal en patience en attendant que le film daigne enfin se terminer !
0/20 : A quoi sert ce film ? A rien. Scénario pauvre et ridicule, le personnage de Reese Witherspoon devient lourd et lassant, les scènes ne sont ni drôles, ni rythmées et la fin est déjà prévisible dès le début. On s'ennuie à mourir !
Un film nul. Ce film est l'exemple de la suite à ne pas faire. Tout est largement en dessous de La Revanche d'une Blonde. Le scénario est au raz des pâquerettes. Le jeu d'acteur est caricaturale comme dans le premier volet mais ne prends pas ici.
Encore une fois un réalisateur qui n'a pas su se contenter d'un seul volet & qui aurait dû , pourtant. Comme on pouvait s'en douter c'est loin d'être aussi bien que le premier ! C'est dommage ...
Vous l’aurez deviné, avec son scénario écrit par des élèves de maternelle et un mauvais goût de tous les plans (attention à l’overdose de rose), le film, plus hystérique q’énergique, met tout les sens à l’épreuve
Nettement moins bien que le premier, cette suite est néanmoins amusante bien qu'irréaliste au possible et on se laisse emporter par cette blonde en quête de justice.