AlloCiné
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Votre avis sur Paris, je t'aime ?
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Un florilège d'originalité,un hommage fantastique à la capitale que chaque réalisateur nous délivrent sous la forme sous laquelle il la perçoit.Eblouissant,jamais faux,toujours innovant,un brin de folie permanent,un petit bijoux.
Sublime, une formidable leçon d'amour sur Paris .
Paris dans son plus simple et dans son plus bel appareil à travers cette succession d'histoires passionnantes alternant entre bonheur intégral et souffrance abyssale.
Le casting fantasmagorique (acteurs et réalisateurs confondus), la mise en scène élégante, la réalisation énergique et poétique, l'ambiance et la luminosité minutieusement soignées, les sujets aussi diversifiés que profonds, viennent compléter cette très belle affiche.
Un film sans prétention qui mérite toute notre attention.
Le casting fantasmagorique (acteurs et réalisateurs confondus), la mise en scène élégante, la réalisation énergique et poétique, l'ambiance et la luminosité minutieusement soignées, les sujets aussi diversifiés que profonds, viennent compléter cette très belle affiche.
Un film sans prétention qui mérite toute notre attention.
Film à sketches, donc déjà, il faut aimer le genre, c’est-à-dire sortir toutes les cinq ou dix minutes d’un univers pour entrer dans un autre. Ensuite, il y a beaucoup de sketches, d’où une impression de foisonnement un peu artificiel autour du vague prétexte des arrondissements parisiens. Enfin, il y a, comme toujours dans ce type de film, une inégalité de qualité parfois gênante. Signalons toutefois que le sketch des frères Coen surpasse de loin tous les autres.
Si vous aimez Paris, et surtout, si vous aimez l'amour sous toutes ses formes, ce film est pour vous! Pour ma part ce film a été une lumière scintillante dans la nuit... Très bons acteurs, très belles musiques, très belles histoires tout est reunis pour passer un bon moment d'amour et d'émotion.
Objectivement, "Paris Je t'Aime" est un ratage : aucun fil rouge, aucune cohérence pour lier une interminable succession de saynettes trop courtes, au scénario soit paresseux, soit inexistant, et ne reflétant pour la plupart d'entre elles que des idées reçues sur la "ville lumière", presque des films de touristes. Et pourtant, au-delà du fait que quelques perles sont forcément dissimulées au milieu des cartes postales banales (la "palme" revenant à mon avis à Walter Salles, pour son regard juste sur l'inhumanité fondamentale d'une ville qui relègue ses pauvres immigrés loin de ses rues-musée, suivi de Twyker, qui propose un beau scénario magique en quelques minutes, et par Payne, qui arrive miraculeusement, malgré la lourdeur apparente d'une voix off fatigante, à saisir la magie de la vie dans une séquence bouleversante au parc Montsouris - je crois), cette ballade un peu désœuvrée et vaguement dilettante dans les rues d'une ville peuplée d'inconnus qui nous ressemblent a finalement un certain charme.
coup de cœur! ce film est un petit bijoux 18 courts métrages par 18 réalisateurs différents. chacun nous conte une histoire d'amour dans les rues de paris. d'une beauté éblouissante ces courts mêlent differents genre :drame,comique ou au plus intime(true face avec natalie portman mon coup de coeur) toujours sur fond d'histoire romantique on a meme une histoire sur fond de film d'horreur avec ellijah wood!! ( ce court est d'ailleurs d'une grande beautée visuelle).les courts restent aussi dans l'ambiance parisienne avec differents lieux de la ville a chaque courts un excellent concept la casting regorge d'excellents acteurs et de futurs espoirs pour ca c'est un sans fautes.conclusion paris je t'aime est une declaration d'amour au public au cinema une balade dont vous ne ressortirez pas indemne
Fresque Parisienne, ou une déclaration d'amour à une Ville qui n'est pas faite d'acier et de verre mais qui rayonne d'un charme que l'on ne trouve qu'en France (soyons chauvins, tant que ça fait du bien!). Découvrir Paris par la caméra de réalisateurs/auteurs français et étrangers nous donne l'occasion de voir Paris comme on le voit trop peu au cinéma. Il semble en effet que tous les appartements de tous les films américains aient vue sur la Tour Eiffel, charmant mais quelque peu décalé! Et parce qu'on ne peut échapper au senpiternel choix de son préféré, c'est trop bon d'en choisir un, mention spéciale pour Faubourg Saint-denis de Tom Tykwer, pour ses deux acteurs (magnifique Natalie), et enfin pour avoir réussi à condenser dans un lapse de temps imparti le plus long de tous les courts!
Très beau film... Les acteurs sont remarquables, les décors sublimes, la musique très jolie et les histoires d'amour magnifiques. Mis a part les deux ou trois courts-métrages qui ne m'ont pas plu, j'ai passé un beau moment de cinéma <3
1 ville, 21 réalisateurs, 18 courts métrages un très bon film. Un grand film d'amour. Bien évidement tous les courts métrages ne se valent pas, certains sont trop long d'autres trop courts, certain super d'autre moins bon. Mais c'est à voir quand même pour redécouvrir Paris.
Tout les courts-métrages ne m'ont pas touché de manière égale, mais certains sont de véritables réussites. Deux étoiles sur deux pour l'idée, une étoile sur deux pour les courts-métrages.
Peut-être qu'un ou deux courts sont moins bons que d'autres, mais dans l'ensemble ils sont très bons. Emouvants, drôles... De belles histoires, de belles images.
Les petites histoires d'amours sont bien pour certaines mais dans l'ensemble le film est ennuyeux. Plusieurs films qui donneraient les histoires complètes seraient mieux. A chaque changement d'histoires il y a un manque et on se demande se qui se passe ensuite.
La fin par contre est très bien faite. Une belle rencontre de toutes les histoires et avec une musique très bien faite.
La fin par contre est très bien faite. Une belle rencontre de toutes les histoires et avec une musique très bien faite.
L'amour entre un homme et une femme, l'amour entre une femme et son enfant, l'amour qui nous tombe dessus sans qu'on s'en aperçoive. Un regard, un instant futile et boum la magie opère.
C'est ça qu'on retrouve à l'écran. Sur les 18 courts métrages, certains sont très très très bons. D'autres un peu moins, mais au final, on ne retient qu'une seule chose : Paris est vraiment une chouette ville, et on a qu'une envie : partir se perdre dans les méandre de ses rues au charme si particulier.
Paris, la ville des amoureux, les bancs publics, les french kiss
C'est ça qu'on retrouve à l'écran. Sur les 18 courts métrages, certains sont très très très bons. D'autres un peu moins, mais au final, on ne retient qu'une seule chose : Paris est vraiment une chouette ville, et on a qu'une envie : partir se perdre dans les méandre de ses rues au charme si particulier.
Paris, la ville des amoureux, les bancs publics, les french kiss
Comment mettre une note à un film qui n'en est pas un ? En faisant une moyenne des 18 courts qui composent ces deux heures cinématographiques ? Ce serait un peu léger, mais c'est ce qui me parait le plus juste. Après avoir passé deux heures à voir défiler des grands (ou petits) noms de la réalisation mettant en scène des stars tous azimuts, j'en ressors avec une impression plutôt positive.
Il est dommage qu'il y ait tant d'inégalités et aucune continuité entre tous ces courts-métrages. Ce qui fait qu'au final, on en vient à les apprécier individuellement, mais on a du mal à se faire une idée du film lui-même.
J'aurais mis 4 étoiles au petit bijou des frères Cohen, au magnifique film de Sylvain Chomet ("cons de mimes"), à la jolie histoire d'Alfonso Cuaron ou à l'histoire d'amour entre Bob Hoskins et Fanny Ardant.
J'ai versé ma larme devant Juliette Binoche, ai été profondément touché par l'histoire entre Natalie Portman et son aveugle d'amoureux.
Je suis resté impassible devant Craven et Depardieu ; et le "clip" indigeste de Doyle ferait passer David Lynch pour un réalisateur de documentaires animaliers ultra explicités.
Mais ce qui me fait mettre 3 étoiles et quelques à l'ensemble de ces courts, c'est le "goût d'après" qu'il nous laisse. L'entrée dans le film se fait en douceur avec Podalydès, et la fin douce-amère, avec cette touriste bien seule, nous plonge dans une mélancolie sans nom.
Il y a donc beaucoup à retenir de ce recueil de courts-métrages, un peu à mettre de côté, mais ne passez pas à côté de ce petit OVNI du cinéma : vous y trouverez à coup sûr au moins une histoire qui vous parlera.
Il est dommage qu'il y ait tant d'inégalités et aucune continuité entre tous ces courts-métrages. Ce qui fait qu'au final, on en vient à les apprécier individuellement, mais on a du mal à se faire une idée du film lui-même.
J'aurais mis 4 étoiles au petit bijou des frères Cohen, au magnifique film de Sylvain Chomet ("cons de mimes"), à la jolie histoire d'Alfonso Cuaron ou à l'histoire d'amour entre Bob Hoskins et Fanny Ardant.
J'ai versé ma larme devant Juliette Binoche, ai été profondément touché par l'histoire entre Natalie Portman et son aveugle d'amoureux.
Je suis resté impassible devant Craven et Depardieu ; et le "clip" indigeste de Doyle ferait passer David Lynch pour un réalisateur de documentaires animaliers ultra explicités.
Mais ce qui me fait mettre 3 étoiles et quelques à l'ensemble de ces courts, c'est le "goût d'après" qu'il nous laisse. L'entrée dans le film se fait en douceur avec Podalydès, et la fin douce-amère, avec cette touriste bien seule, nous plonge dans une mélancolie sans nom.
Il y a donc beaucoup à retenir de ce recueil de courts-métrages, un peu à mettre de côté, mais ne passez pas à côté de ce petit OVNI du cinéma : vous y trouverez à coup sûr au moins une histoire qui vous parlera.
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