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    Paris, je t'aime
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    Yetcha
    Yetcha

    881 abonnés 4 398 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 1 octobre 2010
    Il y a du bon et du mauvais dans ce long-métrage. Des choses très belles et poétiques et des moments plus longuets voire inintéressants. Le regard et les ressentiments des étrangers étant souvent curieux par rapport à Paris et aux parisiens.
    dougray
    dougray

    239 abonnés 1 904 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 1 janvier 2012
    Difficile exercice que le film collectif composé de différents courts-métrages, le risque de rendre une copie inégale et hétéroclite étant quasiment inévitable. Ce "Paris Je t’aime" n’échappe pas à la règle puisque, sous couvert d’une déclaration d’amour à la Ville Lumière, arrondissement par arrondissement, on découvre (ou redécouvre) des metteurs en scène au talent plus ou moins affirmé offrant leur vision de la capitale française en respectant un cahier des charges commun… avec des bonheurs divers et surtout avec un cloisonnement dommageable. Impossible dès lors de ne pas faire une critique séparée de chacun des courts-métrages. On commencera par les courts réussis, avec en tête "Les Tuileries" des Frères Coen qui ont su soigner l’image et le rythme et surtout qui retrouvent l’amusant Steve Buscemi en touriste américain maltraité. "La Madeleine" (avec Elijah Wood et Olga Kurylenko) étonne par son ton résolument gothique et sa touche de fantastique qui s’adapte finalement très bien à Paris. "Bastille" ose le pari du tragi-comique (un homme va annoncer à sa femme qu’il la quitte mais cette dernière lui annonce une grave maladie) avec une pertinence inespérée. Malgré un traitement un peu manichéen, "Place des Fêtes" (avec la magnifique Aïssa Maïga) bouleverse par son final injuste. Plus léger, "Le Père Lachaise" (de Wes Craven) est une rafraîchissante bouffée d’oxygène… dans un cimetière. Souvent cité en tête de liste, "Faubourg St Denis" s’avère plutôt original avec un traitement osé (alternance entre rythme lancinant et montage haché), un final plutôt malin et une superbe Natalie Portman.), "Quartier Latin" (signé Fred Aubertin et Gérard Depardieu qui apparaît) est l’occasion d’un superbe échange entre Gena Rowlands et Ben Gazzara. Enfin, Tour Eiffel et son histoire de mime remporte la palme du moment le plus poétique. En second lieu, on retrouve les courts plus imparfaits, à l’image de "Pigalle" qui, malgré un quartier emblématique et une histoire amusante, perturbe avec son couple mal assorti (Fanny Ardant et Bob Hoskins). "Les quais de Seine" (avec la débutante Leila Bekthi) aborde un sujet glissant traité avec trop de naïveté mais ponctué par un final attendrissant. "Loin du 16e" bénéficie d’un scénario au final plutôt inattendu mais s’avère assez "orienté" dans sa réflexion. "Montmartre", qui ouvre le film, est assez symptomatique des films d’auteurs français avec une réflexion assez nombriliste et des personnages pas forcément très crédible mais bénéficie d’une certaine légèreté appréciable. Plus prétentieux dans leur mise en scène, "Le Parc Monceau" (avec Nick Nolte et Ludivine Sagnier) se fend d’un long plan-séquence, prétexte à l’évolution de la perception des spectateurs quant à la relation entre les 2 personnages mais au final assez anecdotique, et "Quartier des enfants rouges" amorce une relation intéressante entre une actrice (Maggie Gyllenhal) et un coursier qui ne débouche sur pas grand-chose. Enfin, nous en arrivons aux courts ratés avec "Le Marais" (de Gus Van Sant) basé quasi-exclusivement sur le monologue étrange et décalé d’un jeune gay (Gaspar Ulliel) qui m’a plutôt ennuyé. Idem pour le "14e arrondissement" et son interminable monologue en voix-off en accent américain dont l’intérêt ne m’a pas semblé évident. Quant à La Place des victoires (avec Juliette Binoche), son ton misérabiliste et son traitement onirique m’a profondément gonflé. Mais le plus mauvais court reste "Porte de Choisy", aussi caricaturale dans sa représentation de la communauté asiatique qu’incompréhensible dans son propos, le tout aggravé par la présence insupportable de Barbet Shroeder en VRP. "Paris Je t’aime" est donc un film imparfait au ton terriblement européen (certains réalisateurs étrangers s’étant visiblement trop laissé à leur culte pour la Nouvelle Vague qu’il tente maladroitement de reproduire) qui n’a pas su soigner son montage entre chacun des courts-métrages (une faute que la suite "New-York I love you", ne reproduira pas) mais d’où ressort une folle envie de visiter Paris et de tomber amoureux. …
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 22 juillet 2010
    Un concept original ! Mettre bout à bout les courts métrage de différents réalisateurs. Point commun Paris, fil conducteur l'amour sous toutes ses formes. On ne s'ennuit pas, c'est surprenant et parfois très beau... à découvrir sans hésiter... Il y aura forcément un moment de ce film qui vous surprendra, que vous adorerez ou même détesterez mais une chose est sûr ça ne peut pas laisser indifférent.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 5 février 2010
    Il n'y a rien de plus pénible que de se perdre dans Paris sans réellement savoir où l'on va. Amoureux de la ville, ce film avait tout pour me séduire mais pèche gravement d'une lenteur désordonnée qui, à vouloir transmettre une ambiance artiste romantique parisienne qui ne parle guère plus qu'aux touristes, tombe dans un faux intellectualisme polyglotte agaçant. Succession de très courts-métrages indépendants sans véritables fins, les enchainements en sont tellement brutaux et éclectiques que l'on finit par se perdre avant de se lasser. Et le tapis de célébrités n'y change rien, Paris je t'aime est creux, ennuyeux à vouloir chercher quelque chose qu'il n'essaye jamais d'atteindre. Car même si certaines séquences ne sont pas franchement mauvaises, il ne fera rien d'autre qu'alimenter le cliché du film français qui se veut pensé mais qui ne l'est pas. Dommage.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 4 février 2010
    Le court-métrage Loin du 16º fait partie de la série de courts-métrages du film Paris, Je t'aime. Les réalisateurs sont Walter Salles et Daniela Thomas.
    L'histoire commence avec une femme qui habite en banlieue. C'est une immigrée d'Amérique du Sud. Elle a un bébé. Elle doit le laisser dans une crèche toute la journée. Elle travaille comme bonne et nourrice chez une femme qui vit dans le 16º, le quartier le plus riche de Paris.
    Le titre est très symbolique. D'une part, il fait référence à la distance qui sépare deux mondes très différents, deux modes de vie. D'autre part, il souligne la distance physique entre la banlieue et le 16º.
    La mise en scène renforce la solitude de la femme immigrée. Il n'y a pas beaucoup de dialogues. Il y a seulement une scène dans laquelle les deux femmes sont ensemble mais la femme riche est en voix off. Les images renforcent la distance entre elles.
    Les réalisateurs illustrent parfaitement l' état psychologique de la femme immigrée à travers une berceuse. C'est à ce moment là que le spectateur connaît les origines du personnage.
    La mise en scène est très simple et sobre. Malgré tout, elle est efficace. Avec une brillante utilisation des images, de la voix off et du silence, les réalisateurs racontent une histoire individuelle mais aussi universelle.
    En bref, Loin du 16º est un très bon court-mètrage qui invite à réfléchir sur la situation des immigrées, sur la solitude, sur l'éloignement de la famille.
    C'est une histoire de perdants dans une société qui aime surtout les gagnants. C'est la vie de millions de personnes anonymes qui n'ont pas de choix.

    Susana, Rocío, Petra IF Madrid B12
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 28 décembre 2009
    Une 20aine de longs métrages tous uniques avec de fabuleux acteurs .
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 24 mai 2012
    ...trés trés inégal dans les courts. Et cette image de Paris carte postale/disneyland. On n'y crois pas un seul instant. Qui donne une vision bobo d'un paris idyllique et vraiment médiocre. Le mieux est celui de la baby-sitter, qui est assez poignant ...et le pire est vraiment celui de Gus Van Zantz avec son histoire du beau gosse chez l'imprimeur qui est à la limite risible avec sont dialogue pompeux...
    A éviter absolument pas de pitié pour les merdes.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 30 novembre 2009
    L’historie a lieu dans le Xeme arrondissement de Paris. Thomas, qui est aveugle, reçoit un appelle de sa petite copine Francine. Elle veut rompre avec lui et Thomas nous raconte leur rencontre et leur relation. Francine, interprétée par Natalie Portman, est un personnage très bien choisi. Elle contraste avec Thomas. Elle est actrice et son humeur semble changeante, contrairement à Thomas, qui est plus serein. Le spectateur s’identifie plus facilement avec Thomas. Le personnage évoque la tendresse. Bien que Francine n’évoque pas ce sentiment elle est nécessaire pour admirer la personnalité de Thomas.
    On aime la mise en scène parce que c’est dynamique, spécialement pendant la construction de l’histoire d’amour. La manière de raconter est magnifique. C’est très visuel et le réalisateur joue avec la répétition des lieux importants et des activités du couple à différents moments de leur relation. On voit ça clairement dans la scène de la gare. Au début ils se prennent dans les bras et finalement se tournent le dos.
    L’histoire d’amour se raconte par le monologue de Thomas où dominent les actions pour décrire leur relation. Par exemple: nager, crier, étudier… Au fur et à mesure que la relation avance les activités sont moins en couple et plus individuelles. Ces dernières sont plus fréquentes à la fin de l’histoire. Le montage des images avec ces activités nous permet de comprendre la relation en une minute.
    C’est un court-métrage amusant essentiellement grâce à la forme avec laquelle le réalisateur construit l’histoire. Il nous trompe, et il trompe aussi le personnage principal du film, Thomas. Ça donne une chute qui rend le court-métrage intéressant. On désire insister sur la fin du court-métrage. On aime le passage où Francine dit: "Tu m’écoutes Thomas?" et il lui dit: "Non, je te vois". Il "regarde" Francine avec sa main, ce qui représente à notre avis le fait qu’il a retrouvé l’amour et que Francine est une personne vraiment spéciale pour lui.
    Sara O.S.
    Abelardo A.I.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 30 novembre 2009
    "Loin du 16e" a été réalisé par Walter Salles & Daniela Thomas. Le film est interprété par una actrice colombienne qui a le rôle d'une jeune femme immigrée qui travaille dans un quartier chic et très cher à Paris.
    C'est un court-métrage français, le genne est dramatique avec un contenu politique et social.
    Le film a été produit en 2006. L'histoire est en relation avec l'actualité.
    L'actrice principale est une nourrice qui se lève très tôt le matin, ensuite elle laisse son bébé a la garderie. Rapidement, elle prend le bus et le métro pour arriver à son travail où elle garde l'enfant d'une femme riche qui habite dans le 16e arrondissement.
    Le scénario est irréprochable. L'absence de dialogue est très importante parce que ça fait réflechir sur la solitude et les differences sociales.
    Le jeu de l'actrice est excellant parce que son regard émeut les spectateurs. Elle a une grande force d'expression.
    Je trouve l'histoire intéressante et bien rendue. J'ai beaucoup aimé ce court-métrage parce qu'il m'a ému et m'a fait penser sur l'injustice sociale: l'opposition entre deux quartiers, deux femmes et deux enfants à Paris.
    Ça vout le coup de voir ce court-métrage parce qu'il ne te laisse pas indifferant.
    Je vous recommande aussi de voir ce film parce qu'il reussit à capter le caractère social parisien et donne un message solidaire.
    Le filmt te rend triste mais c'est la réalité quotidienne.
    Ester Moreno
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 30 novembre 2009
    C'est un court-métrage de comédie noire des frères Joel et Ethan Coen.
    L'histoire se situe dans le premier arrondissement, quartier des Tuileries.

    Au debut de l'histoire, sur le quai du métro, un touriste américain reçoit le baiser d'une parisienne qu'il a fixée dans les yeux.

    Le realisateur part d'une idée très simple, "croiser le regard avec quelqu'un", et la mène à une réaction bizarre, folle et paranoïaque.
    Mais, bien qu'au debut de l'histoire, il semble que le fiancé ait une réaction très agressive et paranoïaque, puis tu te rends compte que réellement, leur rapport est très passionnel et surtout adrenalinique et excentrique. Donc c'est une autre vision d'une relation amoureuse.
    C'est une façon d'exprimer l'intrigue très efficacement.
    Le contraste entre les deux parisiens bizarres et le touriste, très désorienté, confondu et dérouté est bien rendu.

    Le décor est très bien choisi pour raconter cette intrigue.

    Un personnage est situé sur un quai, les deux autres en face, un espace vide au milieu les sépare.

    Cet emplacement, aide indubitablement à développer le conflit, et il acquiert de la force.

    L'atmosphère et l'hostilité présentes est très bien rendue.

    Nous remarquons le brillant et très crédible jeu des acteurs français Axel Kiener et Julie Bataille.
    Et surtout la présence charismatique et talentueuse de Steve Buscemi. Son interprétation nous transmet toute l'expériendce du personnage. c'est très facile pour le spectateur de se mettre à sa place. Et c'est très bien pensé que la camera reste toujours sur le même quai avec lui.

    À mon avis c'est une histoire très amusante, tu ne peux jamais déconnecter; avec une ironie intelligente et avec un humour noir propre des frères Coen.
    Pour moi indéniablement c'est un des meilleurs courts-métrages de "Paris, Je t'aime".

    Lorea Benayas
    Amelia Mañas
    Gema Sánchez
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 3 décembre 2009
    Paris sous tous les angles. La capitale vue au-travers du regard d'une vingtaine de réalisateurs mettant en scène des tranches de vie certaines touchantes, d'autres drôles voire carrément délirantes. Au final, un résultat très inégal, voire brouillon et un sentiment d'inachevé.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 13 novembre 2009
    Surement du au format du film, la copie rendue est quelque peut décousu. Certains courts métrages font vraiment hors sujet, d'autres sont magiques. Dommage.
    Clémentine K.
    Clémentine K.

    192 abonnés 1 429 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 octobre 2009
    Certaines histoires sont vraiment belles, j'ai beaucoup aimé voir Paris sous un angle nouveau !
    jerry974
    jerry974

    14 abonnés 449 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 octobre 2009
    18 histoires d'amour qui ont toutes pour cadre Paris, racontées en quelques minutes par 18 metteurs en scène. Au fil de ces 18 courts-métrages, on retrouve des acteurs prestigieux, mais aussi de parfaits inconnus, avec une qualité inégale. On sent que les frères Cohen ou Wes Craven nous ont pondu un truc en quelques minutes, tandis que Gena Rowlands ou Bruno Podalydès ont souhaité nous raconté une histoire qui nous bouleverse ou nous régale. Dans leur cas, c'est très réussi. La série de courts se laisse voir et on peut s'amuser à chercher la patte de chaque réalisateur en quelques minutes. Un jeu de styles, en quelque sorte. Comme le film.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 12 septembre 2009
    Encore un film en plusieurs tableaux, comme les français aiment les faire depuis quelques années maintenant. Qui plus est, Paris, à la mode également. Au final, quelques brèves de vies parisiennes, positives et négatives dans la plus pure intimité des gens. Le casting est éblouissant. Les tableaux sont tous tournés avec des styles différents. Du bien et du moins bien.
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